Bonjour,
@ Amb
"Y a néanmoins de vraies victimes. A Bruxelles notamment ce fût bien réel."
C’est facile de dire qu’un "faux attentat" est un faux attentat lorsqu’on a les images comme ici, ou l’on voit les fausses victimes se mettre à terre et crier.
Si une personne disait ,cependant,(sans avoir vu la scène ou les figurants se positionnent ) que c’était un faux attentat on l’aurait pris pour un fou.
Ce qui est néanmoins instructif dans cette vidéo c’est justement l’importance d’avoir une preuve vidéo du carnage et pas seulement une vidéo de l’après ;car comme on le voit il y a une possibilité de manipulation et/ou de montages.
J’ai moi même analysé plusieurs "attentats" ces dernières années et un peu comme Saint-Thomas j’ai tendance à ne croire que ce que je vois et pas ce qu’on me dit uniquement.
Ainsi même si il est généralement admis que les attentats de Toulouse,Bruxelles (Musée Juif ,Métro et Aéroport),Paris (Charlie,Bataclan) et Nice sont de vrais attentats il est curieux de constater qu’aucun de ces attentats n’a de traces vidéos du moment ou il se déroule.
A Nice quelques images floues circulent (il est vrai) mais pas les vidéos des vidéosurveillances que l’on a voulu détruire pour ensuite les mettre sous scellé. A Toulouse Yardeni ,Jean Paul Ney affirment avoir vu Merah prendre un fillette par les cheveux et lui mettre une balle dans la tête. Pourtant Elfassi nous a seulement montré des images d’une personne avec un casque qui tire sur l’enceinte de l’école.
A Bruxelles et à Paris aucune image du moment du massacre ne circule ,alors qu’il y avait des caméras partout ...
L’argument du respect des victimes pour ne pas montrer les vidéos ne tient pas la route car d’une part il est possible de flouter les visages des victimes et que d’autre part nous sommes confronté à des images horribles comme par exemple les décapitations que relaye le site internet Site de l’israélienne Katz.
Même si cela semble fou , il est important d’exiger que les images vidéos de tous ces "attentats" soient visibles pour tous de manière "floutée" et sans "floutage" par des citoyens tirés au sort comme dans un jury ; afin qu’aucun doute ne subsiste sur la réalité de ces attentats.