Le Paris d’Anne Hidalgo, faux maire mais grande amie d’Israël aux mains liées, simple porte-parole de puissances occultes, coche toutes les cases du mondialisme : ville-monde occupée par une élite dégénérée servie par une armée de larbins du quart-monde (en ce moment les bonniches font grève), la classe moyenne déportée en banlieue, les migrants qui rongent les quartiers populaires – ce qui fait fuir les derniers Parigots – avant d’être chassés à leur tour quand les prix auront bien baissé pour voir arriver encore plus de bobo-gentry, la vitrine dégueulasse de la putarisation anglo-saxonne avec son idéal de commerce-roi, le recul de la culture véritable, le remplacement des valeurs pluricentenaires par la dégueulasserie progressiste, la destruction programmée des symboles chrétiens, tout concourt à faire de la capitale une nouvelle Sodome et Gomorrhe qui va mal finir. Ça sent les flammes, la purification, le brûlis avant les jeunes pousses.
Il n’y a plus rien d’authentique dans cette ville qui se dégrade et se défrancise à vitesse grand V. Le plus marrant, c’est que c’est la gauche ou prétendue telle qui a ouvert la porte à la contamination idéologique américano-sioniste. La gauche internationaliste (ou antinationaliste) est bien le cheval de Troie de la destruction des valeurs nationales, et c’est pourquoi Paris est la première des batailles, pas une bataille politique mais une bataille eschatologique, sur le long terme, ce que Saint Louis avait déjà compris il y a 800 ans. Le retour des Gilets jaunes en décembre 2018 dans la capitale est une première tentative de récupération matée dans le sang. Il y en aura d’autres, plus sérieuses.
Aujourd’hui, la dernière avancée en matière de mœurs c’est la libéralisation du cannabis, dont Paris peut devenir la ville-test. Oh, rien de mal dans un petit pétard, joint, bédo, spliff, stick, cône... C’est moins grave qu’un verre d’alcool mais le problème n’est pas là. La fumette autorisée est un calmant social, et si l’oligarchie nous la prépare, c’est bien qu’elle a une petite idée politique derrière la tête. Il s’agit d’enfumer, d’endormir une partie supplémentaire de la population, car les tensions sociales risquent d’augmenter d’un ou deux crans encore.
La question de la légalisation, nous apprend Le Parisien, sera débattue au Conseil de Paris du 8 au 11 juillet sous proposition des Radicaux de gauche centre et indépendants, un groupe président par Laurence Goldgrab. Le tout, bien sûr, dans un « encadrement strict ».
La grosse blague de la répression
L’État n’est pas contre cette légalisation puisqu’elle pourrait lui rapporter 2 milliards supplémentaires. Les gauchistes, eux, apportent un élément non négligeable : 50 ans de répression n’ont jamais empêché les Français, jeunes ou moins jeunes, de fumer. La stat officielle donne un mineur sur deux qui a déjà fumé un joint et 10% d’entre eux sont des consommateurs réguliers. Qu’on se rappelle seulement que même Pasqua, l’homme de toutes les répressions (de façade), voulait légaliser le cannabis. Les flics ont autre chose à faire que de choper les consommateurs de drogues douces : il faut taper sur les récalcitrants de la casse sociale !
Naturellement, cette proposition a mis le feu aux poudres à droite, alors que les écolos sont très contents de cette avancée qui se profile. L’article du Parisien nous a fait sourire car il se termine sur le rappel de la loi, avec laquelle tout le monde se torche :
Actuellement posséder du cannabis, même en faible quantité, est un délit. Les sanctions peuvent aller jusqu’à 1 an d’emprisonnement et/ou 3 750 € d’amende (article 3421-1 du Code de la santé publique). Si vous revendez du cannabis ou même si vous en donnez à un ami, vous serez considéré au regard de la loi comme un trafiquant. À ce titre vous encourrez une peine pouvant aller jusqu’à 10 ans d’emprisonnement et 7 500 000 € d’amende (article 222-37 du Code Pénal). Ces peines sont doublées lorsque le cannabis est vendu à des mineurs.
Qu’on sache seulement que l’élite contrôle le deal et se défonce la gueule avec des produits autrement plus puissants, mais c’est son affaire. Il doit y avoir deux animateurs télé qui n’ont pas le nez dans le saladier à coco, quant aux politiques, pour être bon et rester au niveau, comme pour les cyclistes, eh bien on se dope avant un meeting, un passage télé. Le dealer des stars Gérard Fauré l’a assez rappelé, même s’il n’a pas voulu nous répondre. Téméraire mais pas trop le gadjo !