« Le silence c’est un aspect essentiel de notre vie parce que c’est ce qui permet en fait à notre vie intérieure de se développer. Le silence c’est le lieu idéal pour une rencontre avec le Seigneur, parce que le Seigneur vient nous rencontrer dans notre cœur, au plus profond de nous-mêmes... C’est aussi la possibilité pour nous de nous mettre à l’écoute de la parole de Dieu. Le Seigneur montre son Fils en nous disant “voilà mon Fils bien-aimé, écoutez-le”. Le silence permet à la parole de résonner en nous, et de porter du fruit en nous, au fond de nous habiter. Nous avons un travail manuel, c’est aussi le propre de notre vie monastique, le travail manuel occupe nos mains et libère notre pensée, justement pour que ce silence permette à la parole de Dieu et au dialogue avec le Seigneur de résonner en nous, de prendre si possible toute la place. »
« C’est un silence qui est plein de Dieu, rempli d’amour, ce n’est pas un silence de repli sur soi... » On est loin des turpitudes de la Macronie, cette espèce de loge porno-maçonnique de l’Impureté en folie, qui a fait du mensonge son catéchisme. Si ses murs tombaient soudainement, le peuple assisterait ébahi aux ébats des membres de cette congrégation diabolique, cet entre-soi manipulateur et tordu lui-même, et après il y a en qui incriminent le « tous pourris »... Quand on ment à ce point, on a affaire à une élite qui rabaisse, pas une élite qui élève.
Ces sœurs lancent un appel :
« C’est un peu une start-up du XIIe siècle mais façon XXIe siècle »
Et voici le projet en images, la construction d’une grange pour la fabrication de pâtés, de fromages et de confitures, un bâtiment à 1,5 million d’euros (personnellement on les a pas mais il y a encore des catholiques bourgeois qui mettront la main à la poche, n’en doutons pas, sinon le Seigneur les repérera, et gare à eux) :
Le Jour du Seigneur a consacré une émission entière à la communauté de Boulaur en 2018, on les voit ici en pleine messe :
Nous sommes dans le Gers, une bien belle région, et l’abbaye, un site classé, est magnifiquement située. Depuis 1906, l’État ne finance plus les congrégations religieuses, alors il faut trouver de l’argent dans les dons et dans la revente du patrimoine de l’Église. Boulaur devient alors par la force des choses une unité de production, un peu comme les moines de l’Ordre des Chartreux, qui fabriquent et vendent la Chartreuse, cette recette alcoolisée qui mélange des dizaines d’herbes. Les voici, en images et en musique :
Quand on voit sur les premières images la sœur monter au milieu d’un champ vers l’abbaye, on est dans un autre temps. C’est ce lien avec le passé que les forces mondialistes essayent de couper définitivement, car ce lien entre Terre et Ciel, cette transcendance s’oppose à leur projet de rabaissement. Courage, les sœurs !