Egalité et Réconciliation
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L’apocalypse des sexes

Un jour, un genre est un compte parodique qui se moque avec brio des délires LGBT.

Mais l’affaire du monsieur ou madame de la SNCF est authentique.

 

 

La Rédaction d’E&R

 


 

La SNCF bannit «  Monsieur  » et «  Madame  ». Le Conseil d’État invoque «  l’évolution de l’identité de genre  ». Et demain   ? L’effacement pur et simple de l’homme et de la femme de notre langage commun. Ce n’est pas un débat anecdotique  : c’est le cœur même de notre civilisation qui vacille. Défendre «  Monsieur  » et «  Madame  », c’est défendre le bon sens, la science et l’humanité telle qu’elle est.

 

Il est des séquences qui donnent à voir, mieux que de longs discours, la dérive dans laquelle nous glissons. Dans une récente vidéo (voir ci-dessous), un « personnage » – puisque l’on n’a plus le droit de dire un homme ou une femme – crie au scandale car il ne trouve pas de toilettes dignes de lui au musée du Louvre. Il explique ne pas être «  humain  », il a pourtant un pénis avoue-t-il, mais il se définit comme «  non-binaire ascendant X   »  : comprenez ascendant tracteur, béton ou musée. Bonne nouvelle pour le Louvre   : il refuse d’être «  ascendant musée du Louvre  ». Nous voilà rassurés.

 

 

Chacun est libre de se rêver autre que ce qu’il est. Si l’on veut se penser cheval camarguais, camion-benne ou piscine municipale, grand bien nous fasse. Mais faut-il que toute la société se plie à ces fantasmes  ? Certainement pas. Car la réalité, elle, demeure  : sur Terre, il n’existe que deux sexes, nous sommes binaires, XX ou XY. C’est biologique, médical, scientifique  : on est homme ou femme. Point final. Ce n’est pas une opinion  ; c’est un fait.

En suivant cette logique de fragmentation identitaire, pourquoi ne pas créer des toilettes pour Noirs – triste souvenir d’une Amérique ségrégationniste ou de l’apartheid en Afrique du Sud –, pour Blancs, pour Asiatiques, pour obèses, pour chauves ou pour myopes  ? Et si l’on passe du biologique aux croyances personnelles, pourquoi pas des toilettes pour juifs, pour orthodoxes, pour bouddhistes, pour gauchers contrariés ou pour ceux qui se croient plus intelligents que les autres  ?

La liberté individuelle s’arrête là où commence la cohésion collective. Une société qui adapte son langage, ses formulaires et ses règles de vie communes à la subjectivité de chacun devient ingouvernable. Elle se dissout en une mosaïque d’identités mouvantes où plus rien ne rassemble.

La dérive est sans fin. Et voici que, sur injonction du Conseil d’État, la SNCF n’a plus le droit d’utiliser «  Monsieur  » ou «  Madame  » dans ses courriers. Motif  : «  meilleure prise en compte des évolutions de l’identité de genre   ». Sérieusement  ? Dans quel monde vivons-nous  ? Que ceux qui doutent de l’existence du binaire sexuel aillent voir un médecin  : ils sauront de quel sexe ils sont.

Le problème n’est pas que certains se prennent pour des vaches laitières savoyardes ou des pigeons parisiens. Libre à eux. Le problème est qu’ils exigent de la société entière qu’elle valide cette fiction personnelle, qu’elle modifie sa langue, ses institutions, ses services publics pour se conformer à leur ressenti.

Or le langage n’est pas neutre  : il façonne la pensée. En effaçant les mots qui désignent l’homme et la femme, on efface la reconnaissance publique de leur existence. Demain, ce seront les formulaires d’état civil, les manuels scolaires, puis le droit lui-même qui perdront cette distinction. Nous parlons de l’ossature même de notre civilisation.

Il ne s’agit pas d’exclure qui que ce soit, ni de nier des parcours de vie personnels. Il s’agit de rappeler que la langue est un bien commun, façonné par des siècles d’histoire, garant de la clarté de nos rapports sociaux. La remplacer par un lexique flou, soumis aux revendications minoritaires, c’est rompre le fil qui nous relie à notre culture et à notre bon sens.

Exigeons de nos responsables politiques que l’usage de «  Monsieur  » et «  Madame  » soit réaffirmé ; exigeons que la loi protège le droit d’employer les mots «  homme  » et «  femme  » dans la vie publique  ; exigeons que la France reste fidèle à sa langue, à son héritage et à la vérité du réel.

On ne joue pas impunément avec les mots. En les perdant, c’est notre monde que l’on défigure. Que 99 % de la population se soumettent en silence à ces 1  % de minorité militante est intolérable*. Défendre «  Monsieur  » et «  Madame  », ce n’est pas défendre une formule désuète  : c’est défendre l’humanité telle qu’elle est, et non telle que certains voudraient la réinventer.

La tolérance, oui. La soumission, jamais.

Prince Charles-Philippe d’Orléans

 

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50 Commentaires

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  • #3553930
    Le 17 août à 07:49 par jacques
    L’apocalypse des sexes

    QUESTION : en excursion , en montagne ou à la campagne , cet individu il pisse de quelle manières ??




    _ : comme une femme , accroupi derriére un arbre
    ou comme un homme ,debout derrière le même arbre
    ou derriére un arbre pour non binaire une jambe repliée en l’air
    et l’autre tendue posée au sol



    les chats ont tout compris eux ils ne discutent pas dans le vide
    quand un matou croise un chat castré , il le sent puis il le chasse car il ne le reconnais pas comme femelle /ni mâle
    quand une chatte croise un chat castré elle le sent puis elle le chasse car elle ne le reconnait pas comme mâle / ni femelle
    c’est pour cela qu’en général les castrés reste plus à la maison il sont rejetés de la société des chats vive les chats
    les gens sensés font comme les chats seuls les bobos écolos gauchistes perdent du temps avec ces aberrations L G B T ++++++

     

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  • #3553948
    Le 17 août à 08:45 par Anonyme
    L’apocalypse des sexes

    A force de minimiser ce phénomène, on va vraiment finir par devenir sodome et gomhorre, et ça va mal finir, divinement parlant.

     

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  • #3553959
    Le 17 août à 09:42 par Chanduloe
    L’apocalypse des sexes

    On pourrait quand même faire un pas vers elleux, non ? En bon chrétien je propose à la SNCF :
    " Madame, Monsieur, Tarés, bonjour ! "

    De rien....

     

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  • #3553970
    Le 17 août à 10:39 par FREDERIQUE
    L’apocalypse des sexes

    Quel pitoyable dégénéré !?
    Et cette pauvre bille incapable de se rendre compte de l’évident second degré de son accueil au commissariat...
    Comment peut-on descendre aussi bas, et s’en vanter publiquement ?!

    Ce tragique élément de cette ultra-minorité ultra complexée devrait quand même comprendre que
    - s’il était si bien que ça dans sa peau de non-binaire - ??! - il n’aurait pas besoin d’étaler son cas pour essayer de se donner de l’importance,
    - quoi qu’il fasse et quoi qu’il dise, il restera un XY jusqu’à la fin de ses jours...

    Quant à l’abandon du monsieur/madame, il est parfois dommage que le ridicule ne tue pas...

     

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  • #3554033
    Le 17 août à 15:15 par JeremyD
    L’apocalypse des sexes

    Le service des impôts on déjà franchis le cap. Dans les courriers c’est : Bonjour "Patronyme + Prénom". Mais ça n’empêche pas de les payer.

     

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  • #3554258
    Le 18 août à 09:26 par Gonzoboy
    L’apocalypse des sexes

    "Mâle et femelle Il les créa..." - donc tout ce qui brouille cette distinction claire et nette établie par le Créateur est l’oeuvre de Satan.

    Cette "chose" est un enfant du diable...

     

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  • #3554315
    Le 18 août à 12:31 par Gonzoboy
    L’apocalypse des sexes

    Quand on voit ce genre d’être, on se dit qu’il va quand même falloir une GROSSE enquête sur les perturbateurs endocriniens...

     

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  • #3554401
    Le 18 août à 16:27 par Actionz
    L’apocalypse des sexes

    Pour moi c’est déjà classé, je fais partie des "anciens". Mais j’ai sauvé les miens, leur scolarité est entièrement germanique et ce depuis 20 ans. J’avais senti le vent tourner déjà à l’époque.

     

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  • #3554498
    Le 18 août à 23:40 par René
    L’apocalypse des sexes

    La tolérance n’est pas une "valeur", même républicaine.
    C’est une injonction, républicaine pour le coup, faite à des populations qui n’ont plus rien en commun, et qui opère socialement comme un sédatif.

     

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  • #3555866
    Le 25 août à 11:57 par Michelly58
    L’apocalypse des sexes

    Non Monsieur d’Orléans commençons par réafirmer ses trois intitulés majeurs : Monsieur, Madame et Mademoiselle pour les jeunes filles. Car c’est l’introduction insidieuse du Madame pour tout le monde que ça a commencé. Depuis toujours on utilise le Mademoiselle afin de distinguer Madame sa mère rien qu’en utilisant le Madame pour toutes ça créer des confusions entre le statut marital de la mère et sa fille ce qui est déjà d’une perversité inouïe. Tous cela afin d’éviter de heurter la sensibilité de femmes frustrée d’être non mariées à 40 ans quand ce n’est pas la fin du monde, une fille n’est pas la femme de son père et rien que se changement était déjà douteux.

     

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