@Michel
Je ne mélange rien mais vous semblez confondre intention et destination.
Ou alors je me suis mal exprimé.
Je n’ai pas prétendu que cette femme agissait sciemment pour le compte de l’état profond en écrivant sur la vie de son frère, entre autre. Bien que cela serait raisonnable à prétendre étant donné sa niche sociale.
Après tout on peut lier l’utile au désagréable dans des récits cathartiques et opportunistes, cela s’est déjà vu.
Mais il faut penser à son entourage hautement impliqué dans la vie politique et aux "agents" avisés des maisons d’édition. Lesquelles participent à l’écriture des partitions imposées avec le métronome qu’on leur octroie par victime interposée, d’ailleurs souvent issues du marais français (journalistes, avocates, intellectuelles).
J’indique simplement que cette affaire aura pour vocation à faire naître un énième mouvement sur les réseaux sociaux, avides de proies, à peu de frais. Et ce, dans le but de continuer d’alimenter le narratif anti patriarcat en ayant pour cible privilégiée l’homme blanc. Il ne doit pas se tarir.
Je ne me fais pas devin pour autant, cela reste assez triviale comme supposition mais en ces temps d’alertes tous azimuts, il est parfois nécessaire de rappeler l’évidence que l’on peut perdre de vue.
Et je constate qu’un nouvel article allant dans ce sens vient de fleurir sur la prairie fertile d’ER. N’étant pas moi-même sur les réseaux de la discorde.
Ne me faites donc pas dire ce que je n’ai pas dit et de grâce ne soyez pas si sentencieux.
Essayons au moins ici d’exprimer une certaine neutralité bienveillante.
@Emmanuelle
Je ne suis pas convaincu de prime à bord par l’aspect MK-Ultra de cette situation, je n’ai pas d’éléments pour en attester.
Bien que je comprenne et partage la portée de vos propos concernant les perversités héritées d’un certain milieu social et même ethnique.
Ce qu’il y a de stupéfiant dans les familles de la haute bourgeoisie c’est leur capacité hors du commun à préserver les intérêts matériels et leur position sociale coûte que coûte, y compris en abdiquant sur le bien-être de leurs proches et des autres.
Il faut éviter de fragiliser la structure dominante et référente en sauvant les noms, les dynasties et les carrières dépendantes dont elle est composée.
Sans cette cohésion et les moyens de coercition ad hoc, la vérité sortirait nue du puits comme une faconde. Et le peuple sauvage s’en emparerait pour s’en repaitre.
Cela fait partie du manifeste de cette classe.