Depuis le début des attentats qui ont ensanglanté Paris, certaines officines communautaires n’attendaient qu’une chose : une occasion de pouvoir attirer les projecteurs vers elles.
Suite à la prise d’otages dans une épicerie cachère, l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a immédiatement senti le bon coup et tiré à elle une partie de la couverture via sa page Facebook, dans une compétition victimaire d’une laideur morale à peine croyable :