Faux ! Archi faux ! Ils leS rendent sauvageS pour mieux s’amuser avec ensuite !

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Et bien oui, à force de remplacer les mathématique et l’apprentissage du français par des TPE, de l’ECJS et autres matières aux acronymes amusants, les élèves se retrouvent sans bases de logiques ou de grammaire.

Heureusement qu’il reste encore les classes préparatoires, enfin plus pour longtemps. Les filières scientifiques représentent le meilleur moyen d’ascension sociale fonctionnel aujourd’hui.

Un ex-MP.

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Pour résumer, au plus on est con, au plus on est manipulable.
Et comme on est en démocratie, l’oligarchie a encore de beaux jours devant elle.

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... fabrication de chaires à canon... savoir abstrait... motivation mensongère...

travailles...
travailles mon enfant,
travailles pour gagner beaucoup d’argent,
tu verras la vie sans argent,
ça vaut pas l’déplacement,
Alors, bosses, fait ton trou et après tu verras,
tu verras toute ta vie, tu en profiteras,
faut qu’tu piétinent tous ces cons,
qui s’contentent de c’qu’ils ont !

Merci professeur Maboulette.

...

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Je suis tout à fait d’accord avec les propos tenus par monsieur Brighelli.
Le "roi" et sa cour, ne veulent pas dévoiler les rennes du pouvoir au peuple.
Ils brident, volontairement, l’accès à la connaissance pour rester en place.
On perd un savoir important, par oubli, dut au manque d’enseignement.
Le respect de l’enseignant n’existe même plus, c’est accablant.

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Autre aspect important ; il est évident que la hausse de la délinquence immature est bien sûr dûe à la baisse drastique du niveau scolaire, pour une raison simple :
plus vous possédez une grille de lecture intellectuelle complète, ainsi qu’une palette de mots la plus étendue possible, moins vous aurez besoin de vous comporter de manière instinctive et violente ; l’un peut pallier à l’autre : cet aspect cognitif est primordial.
La théorie de gauche( délinquance dûe à la pauvreté cf V.Hugo) a vécue.
Les causes sont plus variées, et une vision "psychologisante "peut l’expliquer bien mieux ;
c’est à dire que l’accumulation de petits morveux dès la maternelle, contestant déjà les adultes(estimant avoir plus de droits que de devoirs), allié à une inculture de masse, donne des êtres ne maitrisant plus ce que Freud appelait le surmoi.(à savoir l’instinct moral et contraignant ; ceci dû ausi à la fragilité actuelle du rôle du père et de manque de repères affectifs)
J’ai passé mon bac L il ya 15 ans, et il etait encore (relativement) difficile : (langues, philo,histoire, classiques tel Rousseau, Baudelaire...)
A chaque décade, le niveau baisse et ne filtre plus rien, à l’image d’une société de moins en moins structurée .....

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Il a raison, mais il ne dit pas tout. Il faudrait aussi parler de l’importance que l’on donne au diplômes dans le monde du travail ; un abruti parfait et illettré peut obtenir un poste valorisant, ce qui est injuste car beaucoup de jeunes quittent le système scolaire car ils ne s’y sentent pas bien. Parmi eux, on trouve des gens doués qui savent compter et écrire, et qui ont une soif de savoir (ce qui est loin d’être le cas de tous ceux qui ont choisi de faire de longues études), mais voilà, quand on est boulanger ou maçon, le système n’accorde aucun crédit, et du coup, c’est pour la vie.
À l’heure d’internet, le rôle de l’école devrait d’être de donner les savoir de base et d’inciter les gens à apprendre à apprendre. La télé pourrait aussi servir de relais pour l’éducation, plutôt que la tv réalité (dans un dictature, c’est possible). Mais la réalité, c’est que de nombreux étudiants décident de devenir prof car la place est bonne (pas trop de mise à l’épreuve, vacances, horaires, salaire...), que beaucoup de parents sont content de trouver l’école pour garder leurs moutard (c’est moins cher). On pourrait aussi parler de la féminisation de l’école qui est un véritable drame pour tous les petits garçons et les petites filles, qui bien souvent reçoivent une fausse idée de l’humanité par ce fait, si leur parents ne se chargent pas de leur donner une bonne image...
Bref, dans ce contexte, je ne peux que conseiller à ceux qui sont coincés dans ce système de s’intéresser à l’enseignement à distance (CNED, entre autres) : ce genre d’organisme vous envoie la totalité du programme et vous travaillez à votre rythme, les profs sont à votre disposition si vous avez des questions et vous n’avez pas à surmonter toutes les entraves que l’ont subit dans une école (le chahut, les meufs en mini-jupe et décolleté (moi, ça me déconcentre)). Après, ce n’est pas facile de se mettre au travail lorsqu’on est seul, mais dans la vie c’est comme ça.
Évidemment, on peut dire que KontreKulture est également un bon tremplin pour le savoir, mais ça reste un enrichissement personnel, la plupart du temps.

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Où est le problème dans le fait de transmettre des compétences plutôt que des connaissances ? Savoir se cultiver et se former soit-même c’est quand même mieux que d’avaler des concepts et des dogmes tout faits. Bien sûr cela doit concerner les plus grands, à l’école primaire c’est encore trop tôt.

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la solution est de s’éduquer soi-même.
retour à l’éducation à la maison.

Ainsi les femmes de demains auront deux travail s :
 femme au foyer
 professeur a (son)domicile

et elle gérera son emploi du temps comme bon lui semblera.

chaque femme se spécialisera dans 2 ou 3 matières,
et prendra un groupe de 10 enfants.
Et la solidarité reviendra :D

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L’Education Nationale se tourne vers la suppression des notes, remplacées par des évaluations par « compétences ». Un bon nombre de ces compétences sont formulées de façon à être transdisciplinaires (exit les disciplines : l’étape d’après ?)

Il s’agit d’évaluer les élèves, non plus les productions d’élèves. La nuance est de taille. Dans le premier cas, on évalue un enfant : de quoi il est capable, de quoi il n’est pas capable. Cette évaluation lui colle à la peau, et elle interpelle son égo. Alors que dans le deuxième cas, on évalue un travail, une performance. Production avec laquelle l’enfant peut prendre ses distances, et qui peut aussi être source de saine fierté.

L’Agence pour l’emploi, autre institution nationale chérie, pousse des gens à présenter leur CV selon cette même grille ; ce n’est pas ce que vous avez fait qui intéresse votre potentiel employeur, qui se moque de vos réalisations et de votre parcours, mais vos fameuses compétences, qui lui montrent par quels bouts il peut vous utiliser. La logique capitaliste suit son cours.

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