Bonjour à l’équipe e&r,

merci d’avoir mis en lien le livre de GEORGES SOREL.
C’est quelqu’un que j’aime bien.

mes amours,

maryam.

Répondre à ce message

Mimran ne se rend meme pas compte de l ’ignominie de ses propos ; du fait fait qu’il assimile la situation( économique et boursièere) à celle( plus immédiate et sans amélioration réelle) des peuples :
" la situation des pays du sud de l europe est moins catastrophique qu avant."
" il va falloir qu’on voie de la croissance... des entreprises européennes , qu ’elle vienne de l exterieur ou de l ’interieur de l europe" .
En gros , que total , grand défiscaliste devant l eternel , fasse des benefices a l etranger sans que ça donne du travail aux eurpoéens , voire,( crime de lese- européanité) aux français, ça ne compte pas.
le tout est que les bourses montent...
ces gens qui n ’ont connus pour eux meme que le plein emploi dans leur vie ( sans renier leur mérite) ne sont pas a meme de commenter la "situation " economique des peuples.

Répondre à ce message

Il sont gentils de parler de croissance américaine et espagnol...

L’Espagne qui a pour ministre de l’économie Luis de Guindos, qui en 2006 était president exécutif de la légendaire Lehman Brother. Mais pour combler ses défcit budgétaire l’espagne a dû vendre un quart de son patrimoine, rien que ça...

Pour ce qui est des Etats-Unis, leur économie ne tient que grâce à l’effondrement des économies Européennes. C’est limpide...

Microsoft vient de racheter Nokia, la Western Union étend sa toile en Europe, le marché automobile américain gagne du terrain en Europe (Chevrolet, Dodge), GM qui a déjà divisé le salaire de ses ouvriers par 2, est en train de s’accaparer l’ensemble des marques automobiles, dont les groupes Peugeot-PSA(Citroën), et Renault(Nissan) grâce a l’étranglement Américano-Européen, qui avaient forcé Peugeot-PSA et Renault-Nissan à abnadonner le marché Iranien. Ce dernier vient d’être repris par les Etats-Unis. Nous avons des atlantistes aux gouvernements, qui ont sciemment trahi les intérêts Français.
Les allemands finiront par y passer.

Répondre à ce message

Bravo quand-même encore à M. Sapir pour la clarté de son analyse.

Répondre à ce message

E&R a abandonné Delamarche ? Il passe toujours sur BFM, en même temps que d’autres intervenants certes, mais il est là.

Répondre à ce message

Ouais lui je l’écoutes plus. Il se plante sans arrêt à vouloir donner des dates, il annonce la fin de l’euro et l’effondrement toutes les semaines. C’est le genre de mec qui dé crédibilise tous les gens sérieux. Moi j’écoutes Delamarche le lundi et P.Béchade. Ce sont les seuls selon moi à ne pas raconter de conneries.

Répondre à ce message

Autrement dit, on est bien d’accord, c’est l’en cours des crédits qui mène la danse, permettant l’investissement. Ouvrir ou fermer le robinet du crédit, de qui cela dépend-il ? Il est certain, Mr. Fabra ne démentira pas, que lorsque l’état est de plus en plus endetté, et qu’il se sert le premier sur les marchés financiers, ce qui reste pour le privé est moindre et plus cher. Et il suffit d’aller dans une préfecture pour voir ce que l’état fait en termes d’investissement productif. La sortie de l’étalon métallique a produit un changement de nature pour la monnaie, de nature. D’une nature concrète qui assurait une référence internationale, elle est passée à celle d’une dette sans valeur. Les chambres de clearing qui assuraient les sas de décompression entre économies nationales ont disparu. La monnaie a perdu tout lien avec le réel, au point que l’économie financière représente des volumes incommensurablement supérieurs à ceux de l’économie réelle. Autrement dit, on joue au casino un moment, et ensuite on s’achète des actifs tangibles, avant que l’on siffle l’arrêt de la course dans cette grande partie mondiale de chaises musicales. C’est un délire qui vise à accaparer tout ce qui est une valeur en ce monde, car son fondement est une cration de valeur ex-nihilo. Revenir au réel d’un étalon métallique serait pour l’économie dollar, pire que le sevrage pour un drogué invétéré. L’ennemi de la danse du vent est dans ces banques centrales qui accumulent des réserves de plus en plus grandes jusqu’à atteindre les volumes de leur économie interne, réservant le vent au vent. Celles qui ne le font pas font ipso facto le jeu de la Fed. C’est l’ours contre la baleine.

Répondre à ce message