à Lucie ferraille
C’est peut-être en rapport avec le métabolisme. Quand vous dites africain, je suppose noir africain. Leur constitution physique est plus adaptée à l’effort qu’à l’immobilité ou à un rythme ralenti ; indispensables pour réduire la consommation en oxygène dans le cas de l’apnée. C’est pour cela d’ailleurs que tous les sprinters de haut niveau sont noirs, que la majorité des joueurs de jeu d’équipe, qui demandent un effort soutenu le sont également.
Le caucasien se trouve à mi chemin entre la capacité à l’effort et l’inertie, les asiatiques sont sur l’autre l’extrémité.
C’est comme faire une course avec un semi remorque ou une compétition de traction avec une Ferrari, l’un comme l’autre ne sont pas adaptés à la tâche demandée.
C’est une généralité qui présente bien sûr beaucoup de nuances et les comparaisons ne doivent se faire que sur une base équivalente. Un bon entrainement (jusqu’à une certaine limite) peut changer la donne.