Les grosses fortunes qui apparemment ne sont pas intéressées par le suivi du programme de mondialisation et de ce qu’il cache, perçoivent tout de même quelques dangers pour leur patrimoine. Ils cherchent donc à se mettre à l’abri des autorités politiques qui, aux ordres de la finance via les Marchés, ont pour mission d’aspirer la richesse des patrimoines des Français.
Pour le moment, il y a quelques mesurettes douloureuses pour tout un chacun, mais le plus gros du programme de racket concerne 2013-2016, si aucun grain de sable ne vient perturber le scénario de l’establishment mondialiste… bien sûr.
Très probablement le conflit qui éclatera au Moyen-Orient mettra le feu aux poudres.
En attendant, c’est sauve qui peut. Les fortunes liées à la haute finance ont déjà pris leur précaution depuis la fin de l’été 2012 pour les retardataires. Les riches fortunés qui n’appartiennent pas à cette caste privilégiée commencent seulement à réagir. La presse médiatique s’intéresse par exemple en ce moment à l’acteur G. Depardieu.
Nous n’entrerons pas dans les détails qui ne nous regardent d’ailleurs nullement ; nous n’avons pas la fibre communiste de la jalousie (voire de la haine) comme certains. Le point intéressant à relever est que ces personnalités riches en patrimoine immobilier ne parviennent pas à vendre. Voilà l’un des éléments marquant pour les prochains mois en France. L’immobilier donne des signes de plafonnement : marché anémique ou acheteurs et vendeurs s’examinent…
« Vent de panique chez les grandes fortunes françaises… » A en croire les grands réseaux immobiliers de luxe, de plus en plus de riches propriétaires peinent à se défaire de leurs duplex et autres villas de rêve dans l’espoir de partir à l’étranger et d’échapper au tour de vis fiscal du gouvernement.
« En sept mois, les mandats de ventes des biens immobiliers à plus d’un million d’euros sont passés de 700 à 1200. Du jamais vu en trente ans de carrière ! », lâche Charles-Marie Jottras, président du réseau Féau.
Même son de cloche chez Barnes, autre grande enseigne spécialiste dans le luxe, où l’on assure qu’un tiers des mises en vente de biens de plus de 3 millions d’euros a pour motivation l’exil fiscal.
Problème : les propriétaires doivent faire face à une pénurie d’acheteurs. Entre juin et août les transactions de biens immobiliers à plus d’un million d’euros ont chuté de 16% sur un an, et celles à plus de deux millions de 38%, selon les notaires. Blocage qui s’est encore amplifié depuis la rentrée de septembre.
Demain, et cela a même commencé selon quelques spécialistes de l’immobilier et un agent de la fiscalité qui nous fréquente en ce moment, les biens situés entre 100 000 et 250 000 euros connaîtront eux aussi un marché anémique, car les banques refuseront les prêts en cascade.