Ceux qui pensaient que le petit Juan, le protégé de Richard Descoings à Sciences Pot, s’était affranchi de son mentor Jacques Attali, l’immigrationniste mondialiste, en seront pour leurs frais : dans cette vidéo hallucinante, que l’on croirait produite par ses adversaires qui maîtriseraient la technologie parfaite du morphing, on découvre le pseudo-opposant à Emmanuel Macron révéler toute sa fourberie gauchiste. Une sociale-traîtrise de grande amplitude de la part de ce bourgeois pas du tout anti-Système qui nous rappelle le proverbe préféré de Staline : la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre.
Du @nytimes https://t.co/gb5BrjCBOD au Himalayan Times (!) https://t.co/k2bm96pjBB, incroyable parcours de notre enquête sur l'UE pour crimes contre l'humanité en Méditerrannée. En France ? L'AFP, un article caviardé du Monde et Le Média. Crépuscule serait-il passé par là ?
— Juan Branco ✊️ (@anatolium) 6 juin 2019
Le New York Times, c’est la gloire. C’est aussi la grosse caisse du sionisme international.
Difficile de faire plus mondialiste dans l’âme, n’est-ce pas. Il ne manque plus que l’invitation dans l’émission de fausse liberté d’expression de Taddeï sur RT, la très mal nommée Interdit d’interdire, et la boucle de l’arnaque sera bouclée.
Car on en connaît qui sont interdits d’Interdit d’interdire et qui n’ont pas violé d’enfant ni tapé dans la caisse. Décidément, le Système n’est pas à l’abri de contradictions majeures. À moins qu’il ne soit justement une émanation du Diable, auquel cas tout est raccord : la droiture est dénigrée, la pourriture glorifiée !
Face à Onfray, Juanito n’a rien à craindre : nous sommes entre opposants sous contrôle et bien sous tous rapports.
Il est remarquable de voir la vitesse avec laquelle le Système a imposé Branco sur la scène politique, histoire de piéger les révoltés et autres Gilets jaunes qui commençaient à loucher sérieusement vers une opposition plus profonde que celle, factice, du Canard enchaîné.
Branco a été placé là où il fallait, là où le Système montrait de grosses failles qui permettaient une fuite de cerveaux massive vers la réinformation. Toute une frange de la jeunesse ne croit plus à l’élite politico-médiatique. Auparavant, pour colmater les brèches, il y avait Polony, Zemmour, Onfray, mais c’est déjà presque du passé.
Tout va si vite, sur l’Internet, que l’ingénierie « Branco » n’a pas mis six mois à monter au firmament pour s’effondrer aussitôt sur elle-même, après que les véritables tireurs de ficelles de la marionnette ont été dévoilés. C’est que la puissance des réseaux sociaux s’exerce dans les deux sens...