Après une régularisation massive de ses immigrés, le gouvernement Zapatero craint la « saturation », dans un marché du travail en crise.
Celestino Corbacho, le nouveau ministre socialiste de l’Immigration et du Travail espagnol, a amorcé un virage à 180 degrés de la politique sur l’immigration. En 2004, au début de son premier mandat, José Luis Zapatero avait décidé la régularisation massive de 500 000 immigrés, provoquant un tollé en Europe. Aujourd’hui, avec la nette dégradation de la situation économique, le temps paraît venu de resserrer les vis. L’Espagne n’est plus cet Eldorado, où le florissant secteur de la construction offrait du travail à tout nouveau venu (18 % de l’emploi). La crise du marché de l’immobilier espagnol touche tout particulièrement les immigrés : 40 % des nouveaux chômeurs sont étrangers et ils sont 52 300 à avoir perdu leur emploi entre septembre et décembre 2007.
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Celestino Corbacho, le nouveau ministre socialiste de l’Immigration et du Travail espagnol, a amorcé un virage à 180 degrés de la politique sur l’immigration. En 2004, au début de son premier mandat, José Luis Zapatero avait décidé la régularisation massive de 500 000 immigrés, provoquant un tollé en Europe. Aujourd’hui, avec la nette dégradation de la situation économique, le temps paraît venu de resserrer les vis. L’Espagne n’est plus cet Eldorado, où le florissant secteur de la construction offrait du travail à tout nouveau venu (18 % de l’emploi). La crise du marché de l’immobilier espagnol touche tout particulièrement les immigrés : 40 % des nouveaux chômeurs sont étrangers et ils sont 52 300 à avoir perdu leur emploi entre septembre et décembre 2007.
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