Hommages justifiés autant que justifiables, pour Alain Soral !
A.S. le sapeur infatigable, dont les tranchées ont bel et bien fini par atteindre les fondations mêmes de certaine forteresse soi-disant inexpugnable, mais dont les remparts ne sont - en fait - que chantage et culpabilisation insupportablement outranciers, ce dont prennent - enfin !? - conscience de plus en plus de personnes, toutes obédiences confondues...
A.S. le brillant autodidacte, passeur pédagogique du "Mens sana in corpore sano", et du "Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine", la preuve vivante de ce que les surdiplômés universitaires ne font pas forcément preuve d’intelligence et de discernement, loin s’en faut - il suffit d’écouter les pathétiques bornée ou poudré pour en être définitivement convaincu... - ni la condition sine qua non pour écrire des ouvrages en tous points dignes d’intérêt, pas plus que pour faire de sa vie un parcours remarquable et remarqué.
A.S. le principal fondateur du site E&R, cet endroit unique et inimitable, dont les invités et les auteurs du quotidien - mêlant discours savant, politique, humour, et plumes acérées - en font un lieu de culture dans son sens le plus noble et le plus large, mais aussi de détente bienvenue par les temps qui courent, totalement à part dans le monde de la Dissidence/Résistance.
Et question - qui se veut pertinente, autant que faire se peut... - au/pour le Maître des lieux, l’homme de conviction, qui - lui - n’a jamais plié le genou ni courbé l’échine :
"A quand un entretien aussi passionnant que passionné dans le ton, ou un "Dialogues désaccordés" - peut-être pas si désaccordés que ça, d’ailleurs... - avec Bégaudeau ?
PS pour les grincheux et les aigris, je précise que Frédérique est un prénom de fille, et que je suis donc ... une femme ! ;-D
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