Si certains ont pu croire un temps que Philippe Douste-Blazy était un honnête défenseur du professeur Raoult et de tout ce qu’il représente, son retournement à propos de sa participation au film Hold-Up tend à confirmer ce que d’autres pressentaient : l’ancien ministre de la Santé n’est qu’un agent envoyé par l’oligarchie pour encadrer la contestation populaire vis-à-vis de la fausse pandémie du covid-19, à l’instar de deux autres personnalités, Bernard-Henri Lévy et Christian Estrosi...
Il suffit de revisiter le C.V. de Philippe Douste-Blazy pour s’en convaincre : à l’échelon national, ce cofondateur de l’UMP rallié à Emmanuel Macron en 2017 est un épigone de la droite libérale ; à l’international, cet ancien ministre de la Culture parachuté aux Affaires étrangères (les fonctionnaires du Quai d’Orsay s’en souviennent encore) est un adepte de la « diplomatie humanitaire » tendance atlanto-sioniste (comme son « successeur » Bernard Kouchner)...
Surtout, ses liens avec Bill Clinton et Bill Gates le rapprochent dangereusement du réseau de manipulation de Jeffrey Epstein : le cardiologue de formation est en effet en partenariat avec les deux Bill au sein du conseil d’administration de l’organisation Unitaid, un « fonds » ayant pour but le « financement innovant d’achats de médicaments par une taxe prélevée sur les billets d’avion ». Une taxe publique donc, qui finissait dans les caisses de... la Fondation Clinton ! Fondation également financée par Gates et Epstein.
La Fondation Clinton, qui est officiellement une ONG à but « humanitaire », a notamment fourni de nombreux « sujets de travail » à Bill Clinton (lutte contre le VIH, développement économique de l’Afrique, etc.) pour lesquels il empruntait le Lolita Express, l’avion privé du délinquant sexuel à la tête d’un réseau de prostitution de mineures Jeffrey Epstein. L’ancien président des États-Unis Bill Clinton qui a été, rappelons-le, accusé à de multiples reprises de harcèlements sexuels, d’agressions sexuelles et même d’appartenance à un réseau de trafic d’enfants et de pédocriminalité (l’affaire du Pizzagate)...
L’ancien maire de Toulouse (son prédécesseur à la tête de la ville rose était Dominique Baudis, lui-même accusé dans l’affaire Alègre) Douste-Blazy a-t-il lui aussi « voyagé » à bord du Lolita Express avec ses « amis » ?
Disons que les forts soupçons de pédophilie à son égard ne jouent pas en sa faveur. Rappelez-vous des accusations proférées par Luc Ferry en 2011 à propos d’un « ancien ministre s’est fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons ». Les fameux secrets de La Mamounia.
De qui Luc Ferry parlait-il ? Plusieurs noms circulent (Jack Lang, Frédéric Mitterrand), celui de Douste-Blazy revient régulièrement.
De quoi alimenter la thèse comme quoi le lauréat 2011 de la Clinton Global Initiative (une ONG fondée par Bill Clinton, Doug Band et... Jeffrey Epstein ; ONG étrangement fermée en 2017) est bien lié au Nouvel Ordre mondial oligarchique qui tente d’imposer sa dictature terminale aux peuples occidentaux par le biais de la « pandémie » de covid-19.
Rappelons également que Philippe Douste-Blazy enseigne depuis 2016 à la Medical School de Harvard (haut lieu de recrutement pour l’État profond américain) et qu’il était pressenti la même année pour prendre la tête de l’OMS de son « partenaire » Bill Gates (c’est finalement le bouffon Tedros Ghebreyesus, lui-même ancien associé de la Fondation Clinton, qui deviendra président).
Bref, Philippe Douste-Blazy est un homme tenu (à l’instar de Christian Estrosi) qui n’avait d’autre but dans sa défense de l’hydroxychloroquine et du professeur Raoult que de calmer et contrôler la colère du peuple français, qui a toutes les raisons du monde de se déchaîner contre l’oligarchie à l’heure du reconfinement totalitaire et du Great Reset. Le reniement du film « complotiste » et désormais « antisémite » Hold-Up le prouve une bonne fois pour toutes !