La catastrophique Najat Vallaud-Belkacem va bientôt dégager de la rue de Grenelle, mais les œufs maléfiques qu’elle et ses amis de la théorie du genre ont pondus éclosent encore dans les collèges et les lycées. Avec Roméo et Julien, on descend d’un cran dans le ridicule et la perversion : une classe de collégiens de l’Eure a travaillé 2 ans – deux ans ! – sur une comédie musicale destinée à déconstruire un « tabou », l’homosexualité.
À ce tarif, pourquoi pas un Roméo et Juju, l’histoire d’un adulte amoureux d’un enfant ?
« Dans les cours des établissements scolaires justement, l’homosexualité reste bien souvent un tabou, pour essayer de casser les stéréotypes, une classe de collège de La Saussaye, dans l’Eure, a travaillé pendant deux ans sur l’écriture d’une comédie musicale, la pièce s’intitule Roméo & Julien »
Les fous dangereux qui sont à l’origine de cette manipulation mentale sont à chercher du côté des théoriciens du genre qui squattent depuis Mai 68 au ministère de l’Éducation nationale, mais aussi dans toute la chaîne hiérarchique des fonctionnaire abrutis ou soumis qui relayent la parole dominante ou en prennent l’initiative à la base.
Quand on voit les deux jeunes garçons se ridiculiser (ils n’auront aucune chance avec les filles, aucune) à chanter des paroles connes à crever pour faire plaisir à deux « auteurs » dont la seule qualité est d’être gays, on se dit que la France est en train de devenir folle (oups). Aux dernières nouvelles, toujours pas de manif de parents d’élèves devant ce bahut transgenre. Les gens ne devraient pourtant pas laisser faire cela, même si un changement de régime va probablement tout balayer.
Quoique, si Macron passe, nous ne sommes pas sûrs qu’il revienne sur les acquis diaboliques de la théorie du genre belkacémique. Quand on pense que les élèves ont perdu 3 heures par semaine pendant 2 ans sur ce « projet », que les cours d’histoire ont été réduits, que les cours d’allemand ou de latin disparaissent en douce des programmes, on a envie de pleurer, ou de voter contre le PS, cette machine à appauvrir les parents et à abrutir les enfants.
Mais la colère n’y changera rien. Il ne nous reste qu’à dénoncer ces initiatives locales qui sont le fait de profs qui croient bien faire, et qui anéantissent en vérité la noblesse de ce travail. L’avantage de voir ce que vous allez voir, c’est que la propagande nous explose à la gueule. Impossible d’y échapper, ou de ne pas y croire.
- « On me montre du dooiiiiigt »
Plutôt que de devenur fous, on préfère prendre le parti d’en rire (à 2’16) :
« On me montre du doiiiigt
Ça fait partie de moaaaa »
...chantent les deux jouvenceaux (sans en comprendre le sens figuré), à qui l’on conseille de s’éloigner prudemment des deux immenses auteurs de ce texte quasi-sacré.