« Et le monde garde le silence »
Le leader libanais Hassan Nasrallah évoque la grève de la faim de 1 500 prisonniers palestiniens qui demandent juste à Israël le respect des droits humains de base, dans l’indifférence totale de l’opinion internationale et des grandes institutions dites humanistes, qui promeuvent pourtant les valeurs dites universelles.
Et à propos des takfiristes qui commettent des attentats quotidiens au Proche-Orient :
« Le monde sait bien qui soutient ces gens, qui les finance, qui les couvre et qui les aide médiatiquement jusqu’à maintenant »