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Guerre en Ukraine : l’utilisation des mines anti-personnelles au cœur d’une polémique

L’Ukraine a été mise en garde par l’ONG Human Rights Watch sur l’utilisation des mines anti-personnelles puisqu’elles sont interdites et que le stock ukrainien aurait dû être détruit.

 

La ville d’Izioum, libérée par les forces ukrainiennes en septembre 2022, a été l’objet d’une enquête. En effet, les chercheurs de l’ONG Human Rights Watch ont retrouvé des mines anti-personnelles, à l’image de mines dites "papillon". Ce sont des objets d’à peine une dizaine de centimètres qui déclenchent une explosion lorsqu’une personne marche dessus. L’ONG Human Rights Watch estime que les mines retrouvées ont été utilisés par l’armée ukrainienne.

 

Une cinquantaine de civils blessés

Selon des estimations, une cinquantaine de civils auraient subi des blessures à cause de mines anti-personnelles dans la région d’Izioum. Parfois, des victimes ont dû se faire amputer d’un membre après avoir été blessées dans l’explosion d’une mine. Le droit international interdit l’usage des mines anti-personnelles et l’Ukraine avait signé une convention garantissant leur suppression. L’Ukraine n’a pas démenti formellement en avoir utilisé, bien qu’elle assure respecter « ses obligations internationales ».

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