Traduction ? Nous allons, progressivement bien entendu, vers un scénario à la grecque. C’est-à-dire des coupes massives dans les dépenses de l’État (Rachida a commencé avec le SPA), les dépenses sociales s’entend, celles que les néolibs qui occupent notre État considèrent comme non rentables.
Commence à perdre ton ventre et après on fera des efforts
le clown @bayrou a un plan : réduire la dette en augmentant les dépenses militaires pic.twitter.com/CA3zgdAvML
— Ulyss (@achabus) July 15, 2025
ALERTE INFO
« Nous sommes le pays le plus pessimiste au monde [..] parallèlement les pays qui ont fait des efforts sont plus heureux » déclare Bayrou.
Je rêve ou il est en train de nous vendre le modèle grec ?
— Tribune Populaire (@TribunePop23) July 15, 2025
Ce sont donc les ménages qui vont trinquer, et pas les entreprises, pardon, les grandes entreprises. Les petits patrons et les petits propriétaires doivent en revanche s’attendre à un tsunami fiscal. Elle est pas belle, la France de Bayrou et de Macron, la France de la Banque qui nous fait suer pour ses intérêts ? Qui a dit années 30 ?
On le voit très bien sur le graphique que nous montre Bayrou pour illustrer son discours lénifiant sur l’exploitation qu’il veut nous imposer, que le problème c’est la baisse drastique des recettes due aux cadeaux aux riches
Rendez l’argent et cassez-vous !#BayrouDémission pic.twitter.com/e12wQr6roP— Marcel (@realmarcel1) July 15, 2025
On a encore eu notre banquier ce matin au téléphone, qui a refusé de nous faire une fleur de 24 heures. Eh bien la haute Banque, celle qui gagne de l’argent sur la revente de la France à la découpe, fait pareil, mais à un niveau stratosphérique, qu’un pauvre ne peut même pas oser imaginer. Tenez, voilà un pauvre, une macronisée, pour qui 60 balles, ça compte.
« Ça coûte cher d’être pauvre »
@eo.nomine Être pauvre va finir par me coûter la vie
Là où Bayrou nous escroque, c’est que les ménages prennent cher pour les cadeaux faits aux grandes entreprises, notamment le CAC 40. Chaque année on nous extorque la somme exacte donnée aux amis du gros business.
Alors que Bayrou cherche 40 milliards, les baisses de prélèvements depuis 2014 ont coûté 450 milliards !
Le CICE puis sa transformation en baisse de cotisations sociales, la suppression de l'ISF, la flat tax, la baisse de l'impôt sur les sociétés... ont creusé la dette publique. pic.twitter.com/X0xKj8NvHl
— Attac France (@attac_fr) July 14, 2025
Quand un économiste sérieux veut expliquer en plateau d’où vient le problème que le gouvernement veut imputer aux Français, soudain, la journaliste lui met des bâtons dans les roues. L’explication aurait pu tenir en deux minutes, elle en mettra dix à l’arrivée. Pas facile de dire la vérité sur un média collabo !
Jacques Généreux : la présentatrice de Franceinfo, l'empoche de parler.
" Où a-t-on vraiment trop dépensé ? Pas
seulement deux ou trois milliards. Des centaines de milliards ont été.
Dépensés depuis trente ans dans la dépense fiscale. Voilà, cela fait plus de trente ans
qu'à… pic.twitter.com/36Gdp5NEIO— L'oeil Medias (@LoeilMedias1) July 12, 2025
Quelle valeur ont encore les paroles de cette bande de mis en examen, de truqueurs fiscaux, de corrompus et d’éco-traîtres à la nation ?
Philippe Pascot, auteur du livre "Pilleurs d'État, encore et encore" :
"Les conflits d'intérêts dans le gouvernement Macron, j'en ai jamais vu autant depuis 1958." pic.twitter.com/lGb7bqLybp
— Citoyen initié (@CitoyenInitie) July 14, 2025
L’extraordinaire enrichissement des banques et des multinationales françaises ces vingt dernières années, en gros depuis l’élection de Sarkozy, a pour corolaire la baisse de pouvoir d’achat des ménages, qui payent en inflation (les grandes entreprises sont à l’abri de ce point de vue), les petits patrons subissant une pression fiscale sans précédent, sans même parler des indépendants et autres autoentrepreneurs.
Macron pourrait reprendre le slogan de Staline, « la vie est devenue meilleure ». C’est vrai, mais pas pour tout le monde.