« La meilleure manière de célébrer l’année 2020 c’est de se donner les moyens de passer à une année 2021 plus normale, plus libre » (Olivier Véran)

Qu’est-ce qu’une dictature ? C’est un système politique dans lequel le gouvernement fourre son nez dans tous les détails du quotidien, mais pas de son quotidien à lui, du quotidien de tous ses administrés. Résultat il n’y a plus de liberté, plus d’espace personnel. Rien n’échappe à ce gouvernement, qui surveille et organise tout, le travail, les loisirs, jusqu’à la vie intime, et la mort. Bientôt, un cas positif n’aura plus le droit d’entrer en contact avec un cas négatif. Y aura-t-il un signe pour reconnaître les cas positifs, une crécelle, une sonnerie, un rond, un carré, une étoile de couleur ? Mais on y est déjà, c’est l’appli TousAntiCovid !

Le ciel nous tombe sur la tête

C’est bien la dictature qui s’abat aujourd’hui sur les Français, sous prétexte de leur faire du bien, de les protéger d’un virus à moitié naturel, produit, amélioré, augmenté en laboratoire au sens du médecin fou Laurent Alexandre, le Mengele du transhumanisme.

En moins d’un an, ils sont passés d’une démocratie il est vrai claudicante, agonisante, à une jolie petite dictature qui ne dira jamais son nom, illusion démocratiste oblige. Mais tout l’attirail est là, les preuves du grand remplacement (politique) s’accumulent.

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, annonce que plus de 100.000 forces de l’ordre, policiers nationaux et gendarmes, sans compter les policiers municipaux, seront mobilisées, le 31 décembre étant considéré comme une « journée normale de contrôle intensif ». Une attention particulière sera faite à la lutte contre les fêtes sauvages et les rassemblements intempestifs. (Le Figaro)

Les fêtards seront pourchassés

Pour un Français qui viendrait du passé – mettons les années 60 – et débarquerait en France aujourd’hui – le 11 décembre 2020 – comme on débarque sur Terre, le choc serait rude. Un Premier ministre gag à tête de Dupontel explique que 100 000 fonctionnaires (dont une bonne partie est en colère contre ce même gouvernement, qui lui préfère les blacks blocs, les antifas, les racailles et les clandestins) vont fliquer les fêtes de fin d’année, et le ministre de la Santé à tête d’euthanasiste rivotrilien menace les cas positifs d’intrusion d’équipes pluridisciplinaires à domicile.

« Chaque personne diagnostiquée positive au virus se verra proposer une visite à domicile par une équipe pluridisciplinaire comprenant un soignant qui pourra réaliser des tests antigéniques auprès de l’entourage qui partage le foyer de la personne positive. À l’occasion de cette visite, seront prodigués des conseils sur les conditions d’isolement, seront données des garanties si la personne est isolée, qu’elle ne peut pas faire ses courses, etc. »

Et encore, on n’est pas passé loin de l’internement forcé des « malades », le Revier, l’infirmerie de sinistre mémoire !

Le premier ministre insiste sur le renforcement du « tester-alerter-protéger », et notamment sur le fait d’assurer « l’effectivité de l’isolement des personnes positives avec un accompagnement renforcé ». Si le gouvernement a, un temps, évoqué la possibilité d’un isolement obligatoire avec sanction en cas de manquement, cette idée n’a « pas fait consensus », le risque étant que certains hésitent à se faire dépister. L’exécutif préfère ainsi mettre en place un accompagnement renforcé de ces personnes, qui va être détaillé par Olivier Véran, ministre de la Santé. (Le Figaro)

Si la définition de la démocratie a changé, alors qu’on nous donne la nouvelle. Pour l’instant, on ne se voit pas appeler ça démocratie. Si encore cette dictature mettait de l’ordre dans le pays – racailles aux travaux forcés et clandestins à la maison – mais non, c’est le contraire : elle injecte du désordre en permanence, à doses de plus en plus fortes. Désordre sanitaire, policier, social, économique, et surtout moral, la courbe des suicides en atteste déjà, et ce n’est que le début.

Mais voilà, devant une telle infamie, il n’y a pas que la fuite dans l’Au-Delà, il y a aussi la réflexion et le combat, la conscience et l’action.

En bon lâche, le Président se cache derrière le Premier ministre, qui prend tout dans la gueule

Ceux qui sont aujourd’hui dans le viseur du gouvernement seront applaudis plus tard, comme les résistants de l’an 40, en qui personne ou presque ne croyait. En attendant, les futurs héros sont cloués au pilori, mais dans cette France à l’envers, ce sont bien les premiers qui sont les derniers (des salauds) et les derniers qui seront les premiers (des bons).
Quand une masse critique de Français aura compris ça, les masques tomberont tout seuls, en haut comme en bas.

Pendant que les migrants envahissent notre territoire,
la police réprime les fêtards

C’est Le Figaro qui nous explique que faire la fête, c’est pas bien, et que ça peut mettre la vie d’autrui en danger :

À l’heure où les Français sont appelés à redoubler de prudence avant de se retrouver en cercle restreint pour le réveillon, la préfecture de police de Paris vient de démanteler une équipe qui organisait d’extravagantes fêtes clandestines dans la capitale et sa proche couronne.
Des soirées monstres tenues en plein confinement dans des endroits secrets comme à l’époque de la prohibition, pour y boire et y consommer de la drogue en dansant au son de la musique électronique. Et ce, au plus grand mépris des précautions les plus élémentaires, en cette période de crise sanitaire, que sont le port du masque et le respect des gestes barrières.
Selon nos informations, plusieurs centaines de « teufeurs » se sont ainsi mis dans l’illégalité. Trois suspects, dont l’organisateur des fiestas géantes et le responsable d’une billetterie en ligne, ont été placés en garde à vue. Entendus notamment dans le cadre d’une enquête ouverte pour mise en danger de la vie d’autrui, ils encourent un an d’emprisonnement et 15.000 euros d’amende.