Il faudra dire à ce philosophe qui réclame des policiers qu’ils utilisent leurs armes contre la racaille gilet jaune ; qui dit que la France ayant la quatrième armée au monde pourrait rapidement régler le problème... Que, durant des siècles un bon esprit français savait aussi en son temps traîter convenablement la déjà racaille de l’époque, en la faisant cuire sur de grands bûchers, et, que si le roi Louis XVI n’avait pas promulgué l’édit sur les non- chatoliques inspiré par Malesherbes, il n’aurait certainement pas terminé sans tête et aujourd’hui nous fêterions toujours la Saint-Jean plutôt que la fête de la musique. Nous ne serions pas dans nos rues le gilet jaune sur le dos à réclamer à la combustibilité le droit d’exister, d’être peuple et de diriger le cours de nos existences dans une aspiration commune.
Il faudra lui dire que sous les gilets jaunes, c’est le peuple, quoi qu’en disent les bêtes fauves aux visages humains, dont le dieu est si stupide qu’il leur a dicté un livre ignorant la chronologie de sa soi-disant propre création, faisant d’eux aujourd’hui un mirale incongru.
Lui dire, que d’être trop violent en acte et en parole contre ce mouvement populaire, qui ne veut ni être contrôlé ; ni dominé et encore moins structuré, c’est s’assurer de voir certaines gens qui le compose, entrer en résistance et se livrer au sabotage de nombre d’infrastructures indispensables à la vie commune, parce qu’ils en sont les mains ourières qui en connaissent les points faibles... que le système dont il est déjà largement démontré qu’il n’aurait pas, sans la bienveillane populaire, la possibilité de se maintenir ! Alors, dominer.
Lui dire, qu’un philosophe qui préconise la violence, avoue son imposture à la philosophie !
Toutes les objections du système contre le mouvement des Français en gilets jaunes, sont tombées, anéanties !
La femmelette de l’Intérieur aux larmes trop proches des paupières, est incompatible avec cette fonction qui nécessite virilité et non viscosité.
Est-ce qu’il y a une majorité de Français qui réclament l’euthanasie, la GPA, la marchandisation de l’enfance, non, et bien qu’on meurt mal en France, voilà qu’une majorté révèle qu’on y vit mal aussi, si tout cela est possible sans partis et structures, que ne peuvent les Gilets Jaunes ?
Est- ce que les homos ont eu besoin d’un parti pour imposer à la terre leurs volontés,non ! Mais, il y a plus de G.J en France que d’homosexuels.
Les manifs doivent devenir journalières.
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