En faisant son alyah, le psychanalyste et essayiste Gérard Haddad pensait s’épanouir dans un État démocratique, libre, ouvert et tolérant ; il n’a finalement trouvé en Israël qu’une « espèce d’exaltation nationaliste et raciste qui créé un État d’apartheid ». Amère découverte qui pousse même le séfarade disciple de Lacan et Leibowitz à citer l’une des nombreuses sentences controversées du Talmud pour illustrer sa vision du pays : « Tout ce qui est à toi est à moi, tout ce qui est à moi est à moi. »
« Israël sous le poids des contradictions » : un extrait à revoir de Soral a (presque toujours) raison – Épisode 9 :