« La France ne peut être la France sans la grandeur », écrit le général De Gaulle dans ses Mémoires de guerre. Il me semble donc, à l’aube de 2014, que la France n’est plus. Mais qu’est-elle donc devenue ?
Elle est diverse. Elle est cette élite issue d’une communauté organisée particulière qui impose ses idées, ses intérêts, allant souvent à l’encontre des intérêts du petit peuple de France. Elle est ce jeune, plus ou moins aisé et « éduqué » suivant les préceptes de la « bienséance », qui se sent protestataire et marginal en regardant Le Petit Journal de Yann Barthès sur Canal+, et qui, comme tant d’autres, s’est vu affublé d’un déterminisme de détestation de la race française, qu’il regarde de haut comme ignorante et raciste. Elle est cet Arabe ou ce Noir de banlieue, qui la « nique », la « baise » en écoutant du Booba ou du La Fouine, cette victime tantôt racaille à nettoyer au karcher, tantôt meurtrier islamiste. Elle est ce raciste, tout ignorant, qui vote le Front national de l’OAS et des nazis. Elle est aussi, et surtout, malgré l’image que lui assignent les médias et les livres d’histoire, un peuple de politiciens avérés, qui ont porté en eux l’exception mondiale dans les périodes les plus sombres comme les plus éclairées, toujours à la marge du conformisme international. Mais pourquoi la France n’est elle plus que l’ombre d’elle même ?
La communauté sioniste
La communauté sioniste, contrairement à ce que laisseraient penser les médias et les institutions dites antiracistes, est une communauté essentiellement composée de juifs, mais n’est pas la communauté juive en son intégralité, et n’en représente qu’une parcelle. Elle est incarnée par le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), par des Bernard-Henri Lévy et des Alain Finkielkraut.
Pourquoi cette communauté juive organisée, et non la communauté antillaise de France ? Car ce lobby, dans sa toute puissance, est à la tête de la politique, de l’économie, et des médias français (ce qui, en soi, n’est pas un problème), et promulgue des idées, « vérités incontestables », et des lois, qui vont à l’encontre des valeurs et des intérêts de la République (ce qui est le problème). Celles-ci tendent plutôt à conforter l’idéologie sioniste, et la politique d’Israël.
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