L’essentialisme, du moins le communautarisme, est plus fort que la raison chez Alain Finkielkraut. Pour un soi-disant philosophe, ça craint.
La paille et la poutre : Finkielkraut voit la violence verbale des LFI, mais reste aveugle sur la violence réelle, meurtrière, massive, de l’armée israélienne qui s’attaque à 2 millions de civils.
Le camp de concentration de Gaza compte désormais 100 000 morts et blessés. Mais ce qui préoccupe le « philosophe », ce sont les mots des mélenchonistes, qui n’ont tué personne.
BHL avait dit un jour, à propos de l’antisémitisme : « Les mots peuvent tuer ». C’est quand même plus facile avec des chars et des avions.
Finky tente désespérément de nazifier ceux qui dénoncent le génocide à Gaza, avec les vieilles ficelles : peine perdu, les sionistes sont passés du côté des bourreaux. Et ils iront « jusqu’au bout », dans la bouche de leur chef complètement fou. Ça s’appelle une extermination.