Dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 décembre, des groupuscules d’extrême droite et des antifas et se sont affrontés dans le centre-ville du Mans, en marge de la commémoration annuelle du souvenir vendéen. Mais contrairement à ce que beaucoup avancent, le centre-ville est loin d’avoir été « saccagé ».
La commémoration du souvenir vendéen, qui se tenait en soirée samedi 14 décembre au pied de la muraille du Mans, a débouché plus tard dans la soirée à des échauffourées entre nationalistes et antifas. Le collectif de la Marche du souvenir vendéen et le mouvement royaliste et nationaliste Action française participaient à l’évènement, mais ont nié toute implication dans les violences qui ont suivi. Selon les participants, des hooligans des clubs de football de la région et de Paris était venus spécialement au Mans pour en découdre, après l’annonce d’une contre-manifestation antifa sur les réseaux sociaux.
Cocasse de voir toute la kabbale médiatique contre la marche du souvenir vendéen et l’@actionfrancaise quand, en face, ils publient ça (Smash signifie : frapper et éclater en plusieurs morceaux) : pic.twitter.com/bPSN14sF7D
— Philippe (@philippedvde) 16 décembre 2019
Une commémoration qui se déroule dans le calme, encadrée par les forces de l’ordre
Déclarée officiellement en préfecture, la commémoration devait être une marche aux flambeaux. En raison des possibles troubles à l’ordre public dues à une contre-manifestation organisée sur les réseaux sociaux, les organisateurs optent finalement pour une commémoration statique, encadrée par un détachement de gendarmes mobiles. Aucun antifasciste ne se manifeste et aucun incident n’est alors à signaler.
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