« Bonjour à tous, au générique ce matin Bernard-Henri Lévy qui dénonce l’emballement collectif de ces derniers mois, ce virus qui rend fou ; Renaud Dely qui raconte les Macron au Touquet ; Daniel Cohn-Bendit qui a filmé son périple en Israël et dans les territoires palestiniens, son documentaire Nous sommes tous des juifs allemands est diffusé ce soir, et Sam Bernett qui publie ses souvenirs d’animateur radio et des nuits parisiennes, Toute ma vie pour la musique, voilà le programme. »
Patrick Liste Noire Cohen, après le flop de sa matinale sur Europe 1 après un transfert de star de la station publique France Inter, a conservé une hebdomadaire dans laquelle il invite qui il veut. Et ce 31 mai 2020, il donne la parole à trois coreligionnaires, Renaud Dely, un sioniste télévisuel, ancien directeur de la rédaction de Marianne devenu commissaire politique chez Élisabeth Quin (28 minutes, Arte), et le pédophile qu’on ne présente plus, Daniel Cohn-Bendit, agent israélo-américain de la révolution orange américano-sioniste de 1968 dirigée contre le général de Gaulle et sa politique jugée trop souverainiste par l’Empire. Les personnages sont en place, le débat peut commencer.
Naturellement, l’homme qui faisait des listes sur le service public, là où devrait régner le pluralisme le plus total, refait des listes sur Europe 1, mais là, on ne peut plus le lui reprocher. Et d’ailleurs, la station ne le lui reproche pas, donnant la liberté d’expression totale au socialo-sioniste, préférant couler plutôt que de donner la parole à des non-Cohen, on ne parle même pas d’anti-Cohen. Europe 1, le navire en perdition, continue de s’enfoncer à cause du sionisme qui pèse trop lourd dans ses cales. Personne pense à lâcher du lest car, comme dans la mafia italo-américaine qui récupère un commerce (par la violence ou le racket), exploite la bête par le système des entrées/sorties et, une fois vidée, on jette la peau.
Europe 1 ou Radio J ?
Il est à craindre que la prestigieuse Europe 1, la grande radio populaire des années 70, finisse comme le pauvre restaurant italien du film Les Affranchis : autrefois prospère, « protégé » par la mafia, il finira en flammes.
BHL revient avec un nouveau livre, Ce Virus qui rend fou (il parle du Covid, pas du sionisme, NDLR), et il fustige la prise de pouvoir du médical sur le politique et la psychose qui s’en est suivie. Il ne va bien sûr pas jusqu’à dénoncer la petite clique au pouvoir politico-médical en France, à savoir l’axe Buzyn-Lévy-Salomon-Véran, qui a conseillé le Président et qui a mis la France dans une merde noire. BHL ne peut pas s’attaquer au pouvoir sioniste, c’est au-dessus de ses forces et surtout, de son logiciel sioniste.
Les choses sérieuses commencent à 8’25 :
Liste : « Vous avez été l’une des rares personnalités à dire très vite sur les réseaux sociaux qu’il fallait écouter et prendre au sérieux Didier Raoult, et je vous sens un peu plus en retrait aujourd’hui ? »
BHL : « Ah non, je ne suis absolument pas en retrait, bien sûr qu’il fallait écouter et considérer le professeur Raoult ni plus ni moins que les autres, ce qui a été fait. Sauf que le cas Raoult, voilà un autre exemple de cette folie, cette espèce de débat dont on a été tous les témoins et les otages, entre les raoultophiles et les raoultophobes, avait lui aussi quelque chose de ridicule. Raoult c’est un grand macrobiologique, c’est un grand médecin et y a eu autour de lui une espèce de festival de tartufferies, de jalousies, de fixation sur son personnage, et le Depardieu de la médecine, et ainsi de suite, qu’est-ce que tout cela avait à faire avec l’urgence de sauver des vies, premièrement, et avec l’urgence de faire en sorte que notre démocratie ne sorte pas en calebar de cette affaire, c’était ça le problème. »
Au grand dam de Liste Noire, BHL prend fait et cause pour Raoult et rappelle la nullité ou la corruption de la publication The Lancet et de l’étude Discovery faites spécialement pour démolir le protocole de soin de l’infectiologue marseillais. Pour une fois, sans le faire exprès, BHL parle avec ses tripes plutôt qu’avec son logiciel sioniste. Mais il peut aussi penser à soigner sa notoriété, car la popularité du Pr Raoult est telle en France que l’affronter médiatiquement peut faire perdre beaucoup de crédit.
Patrick Liste Noire lui, ne craint plus rien : sa popularité est à zéro. Les Français n’aiment pas qu’on crache sur leurs idoles, que ce soit Johnny, Bardot ou Raoult. Qu’on le veuille ou non, Raoult est aujourd’hui la réincarnation de Charles de Gaulle, celui qui rend un peu de son honneur à la France, un honneur bafoué, piétiné, souillé par les trois derniers présidents de la République : Sarkozy avec sa soumission à l’OTAN, Hollande avec sa visite à une racaille, et Macron avec sa répression féroce des Gilets jaunes.
BHL a ensuit beau jeu de dénoncer la folie médiatique, lui qui profite de ses entrées à l’Elysée et ses relais dans les médias pour lancer ses guerres :
11’12 – BHL : « Le virus qui rend fou ça veut dire aussi ça, ça veut dire cet emballement médiatique auquel se sont prêtés les médecins mais pas seulement, et qui fait que les chercheurs parfois n’avaient pas le temps de réfléchir. Alors heureusement, y en a qu’on n’a pas vu à BFM mais qui bossaient, et qui soignaient, et qui soignaient, et qui risquaient leur vie pour sauver la vôtre et pour sauver la mienne, et pour sauver nos vies à tous. »
Nous ferons ici la distinction entre les médecins des villes, qui étaient disponibles pour soigner mais que les mandarins n’ont pas sonnés, prouvant par là que la politique sanitaire avait bien un but politique plus que médical. Incroyable quand même de voir BHL savater BFM... Ce qui nous fait penser de plus en plus sérieusement qu’il tente une opération de sauvetage de popularité.
BHL : « Mais ce débat autour de Raoult était mais absurde ! Et il reste absurde. »
Liste : « Ses pratiques ont fait débat aussi. Ses pratiques ont fait débat. C’était un débat médical, mais enfin bon on va pas, on va clore là-dessus. »
Non, le débat autour de Raoult n’était pas absurde, au contraire, il était essentiel, et central : c’est le débat qui oppose le peuple français à son élite, tout simplement, et on comprend que BHL ne veuille pas y entrer. Et si l’on suppose que BHL est un politique, et un politique influent, plutôt qu’un philosophe, médiocre d’ailleurs, sans aucune influence, alors on peut comprendre une chose, qui rend son discours insolite cohérent : il essaye de ramener le sionisme vers Raoult, il essaye de combler la fracture évidente entre les Buzyn-Salomon-Lévy et un peuple qui a été littéralement baladé par les fausses informations du pouvoir, tout ça pour faire se tenir tranquilles les Français, les endormir avec une seringue hypodermique, les racketter avec un vaccin hypothétique et leur faire les poches avec la destruction économique.
La fracture entre la dominance sioniste et un peuple goy dominé est apparue au grand jour et à un tel niveau d’évidence qu’il est tout à fait probable que BHL ait pris la mesure du danger : c’est cette image déplorable d’une dominance sioniste mensongère et meurtrière qu’il faut effacer au plus vite, afin de faire baisser le risque d’une insurrection qui s’en prend à ces vrais responsables. En prenant la défense de Raoult, BHL pense faire baisser une tension qui va probablement monter dans les mois qui viennent, comme dans l’affaire du 11 Septembre. La prise de conscience du peuple qui a subi ce triple terrorisme médical, médiatique et politique, prendra un peu de temps, mais elle est inexorable. Les versions non officielles de l’ingénierie du Covid-19 vont fleurir et les responsables seront désignés nommément, comme dans l’affaire du sang contaminé, ou dans les épisodes terroristes sous faux drapeau.
Un petit moment très insolite, c’est quand BHL dénonce l’aveuglement du monde (qui a les yeux tournés vers le coronavirus) devant le démembrement de la Libye par la paire Erdoğan-Poutine... Le résultat inattendu d’un conflit de 10 ans qui a été initié par les sionistes, dont BHL, Kouchner et Sarkozy, avec la bénédiction anglo-américaine ! Mais Liste ne reprendra pas le faux philosophe à la volée, ce n’est pas le moment de fâcher son invité.
L’invité suivant c’est l’éditorialiste de France Info (ils changent de média comme de slip) Renaud Dely, archi-sioniste limité, qui sort avec Marie Huret un livre essentiel sur les Macron au Touquet. Là on est dans la révélation politique pour les nuls, on apprend par exemple que Macron a « développé des trésors de séduction », notamment sur ses aînés, et qu’il aime jouer au tennis au Touquet. Sans oublier sa popularité au Touquet, où il réunit « 85 % » des gens. Énorme. Mieux : on apprend que son film culte est Les Tontons flingueurs, « dont il connaît toutes les répliques quasiment par cœur ». Un livre bon pour le Canard enchaîné, pas pour les habitués de Kontre Kulture, qui ne restent pas à la surface des choses, l’info pour les goyim, quoi...
Enfin, dernier invité, le pédophile qu’on ne présente plus, Dr Braguette ès petites filles, le pavé de Mai 68 dans la gueule du Général, l’escroc à l’écologie, l’européiste pro-américain, l’agent sioniste indéfectible, le gauchiste en charge de la destruction de la gauche sociale française, l’immigrationniste du centre européen de la Banque (Frankfurt), Daniel Cohn-Bendit.
24’44 – Liste : « Vous êtes l’acteur et l’auteur d’un documentaire qui sera diffusé ce soir sur France 5 à 23 heures, Nous sommes tous des juifs allemands, récit de voyages et de réflexions sur Israël, les territoires palestiniens et votre identité juive. Est-ce qu’il y avait chez vous une identité juive avant le slogan de Mai 68 qui a figé chez vous ce qualificatif ? »
Pédo : « Consciemment non, vraisemblablement il y avait une identité juive mais que, disons, je refoulais ou qui ne me venait pas à l’esprit. »
Sûrement pas, surtout que la révolution étudiante fomentée par un groupuscule sioniste gauchiste a eu lieu 5 mois à peine après la déclaration antisioniste du général de Gaulle... Voici la version i24news :
« Le 22 mai, l’affaire d’Aqaba, fâcheusement créée par l’Égypte, allait offrir un prétexte à ceux qui rêvaient d’en découdre. (…) Le 2 juin, le gouvernement français avait officiellement déclaré qu’éventuellement il donnerait tort à quiconque entamerait le premier l’action des armes. Et c’est ce qu’il répétait en toute clarté à tous les États en cause. C’est ce que j’avais moi-même, le 24 mai déclaré à Monsieur Ebban, ministre des affaires étrangères d’Israël, que je voyais à Paris. Si Israël est attaqué, lui dis-je alors en substance, nous ne le laisserons pas détruire, mais si vous attaquez, nous condamnerons votre initiative. Certes, malgré l’infériorité numérique de votre population, étant donné que vous êtes beaucoup mieux organisés, beaucoup plus rassemblés, beaucoup mieux armés que les Arabes, je ne doute pas que le cas échéant, vous remporteriez des succès militaires. Mais ensuite, vous vous trouveriez engagés sur le terrain et au point de vue international dans des difficultés grandissantes, d’autant plus que la guerre en Orient ne peut pas manquer d’augmenter dans le monde une tension déplorable et d’avoir des conséquences très malencontreuses pour beaucoup de pays. C’est à vous, devenu des conquérants, qu’on en attribuerait peu à peu les inconvénients. On sait que la voix de la France n’a pas été entendue : Israël, ayant attaqué, s’est emparé en six jours de combat des objectifs qu’il voulait atteindre. »
De Gaulle craignait que
« les juifs, jusqu’alors dispersés, et qui étaient restés ce qu’ils avaient été de tout temps, c’est-à-dire un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur, une fois qu’ils seraient rassemblés dans les sites de son ancienne grandeur, n’en viennent à changer en ambition ardente et conquérante les souhaits très émouvants qu’ils formaient depuis dix-neuf siècles : “l’an prochain à Jérusalem”. »
Il ne se trompait pas. Et du 27 novembre 1967 au 13 mai 1968, date officielle du début de la révolution orange israélo-américaine, avec allumage de foyers de contestation par des groupes d’étudiants trotskistes formés à la guérilla médiatique, à peine six mois s’écoulent.