On s’attendait à un article anti-psychose relayé par France 24, mais nos espoirs se sont effondrés : en fait, « les » (plutôt des) parents espagnols qui rechignent à envoyer leurs enfants, petits ou grands, dans les écoles, c’est parce qu’ils trouvent que la sécurité sanitaire n’est pas assez assurée ! Il s’agit donc d’un article qui incite à encore plus de répression sanitaire, à aller encore plus loin dans le délire liberticide, et qui pousse évidemment à se coucher devant la psychose qui arrange les gouvernements obligés et leurs puissants sponsors.
Une démonstration pas vraiment massive à rapporter à celles des antimasques de Madrid ou Berlin :
« Alors que l’Espagne connaît une explosion des cas de Covid-19, de nombreux parents rechignent, voire refusent, de renvoyer leurs enfants à l’école. Et ce, malgré les menaces de sanctions brandies par les autorités.
"Pour apprendre, tu as toute la vie, mais la santé, tu n’en n’a qu’une !" Mère de deux garçons, Aroa Miranda ne cache pas son agacement face à la gestion de la crise sanitaire et de la rentrée scolaire en Espagne, où l’épidémie de Covid-19 est à nouveau virulente. Comme de nombreux parents, elle a décidé qu’elle ne remettrait pas ses enfants à l’école.
"Ils sont en train de faire une expérience pour voir ce qu’il va se passer, comme avec des cochons d’Inde", s’indigne cette femme de 37 ans qui vit à Castellon de la Plana, dans l’est du pays. "Pour mon fils de 8 ans, j’essaierai d’inventer des excuses, dire qu’il est malade", explique Aroa alors que la scolarité est obligatoire dans le pays de 6 à 16 ans. Quant à son fils de 3 ans, elle n’a pas hésité à le désinscrire de l’école.
Selon elle, le masque obligatoire à l’école dès 6 ans, à tout moment, et les mesures de distanciation, ne suffiront pas. "Si je n’ai pas le droit de réunir plus de dix personnes chez moi, je ne comprends pas pourquoi mon fils devrait être avec 25 enfants dans une classe", s’étonne-t-elle. »
La crainte parentale transformée en propagande pro-Covid
France 24 nous a trouvé, pour sa démonstration propagandiste, des parents encore plus terrorisés que les autorités terroristes (ou terrorisantes) ! Cette histoire de Covid-20 (la suite du 19) prend donc des proportions de plus en plus délirantes. Il n’y a plus de limites à la propagande, qui se vautre dans sa propre fange. Pourtant, l’idée d’une ou de plusieurs journées de retrait de l’école est en train de prendre forme du côté de parents qui eux, ne supportent pas les mesures inqualifiables du gouvernement à l’encontre des enfants qui, on le rappelle comme le Dr Robert Cohen, ne risquent quasiment rien. Il s’agit forcément d’une mesure de rétorsion à l’encontre des gens et des plus fragiles d’entre eux, ceux qui impriment le plus profondément dans leur esprit pas encore bien défendu des possibilités de domination future.
Nous ne disposons pas des statistiques réelles de la contestation positive – on appellera ainsi ceux qui s’opposent à la politique « anti-Covid » gouvernementale parce qu’ils la trouvent pas assez répressive – par rapport à la contestation négative de la politique sanitaire du gouvernement espagnol, mais on constate que cet article surgit au moment où les images d’Espagnols anti-masque se répandent dans toute l’Europe. Et impactent les esprits qui doutent, qui se demandent s’ils ne se font pas avoir...
France 24 nous explique que les autorités, devant cette montée de demandes de retraits de l’école, hésitent sur la conduite à tenir : plus ou moins de répression ? Faut-il récompenser les « bons » parents, ceux qui flippent grâce à la propagande ? Ou au contraire les punir (de 1 à 3 ans de prison !) parce qu’ils vont trop loin, et dans une sorte de dérision, foutent en l’air le programme de protection-domination du gouvernement ? Tout devient tragi-comique, dans cette histoire sans fin :
« Depuis plusieurs semaines, manifestations et pétitions de parents se multiplient en Espagne pour demander plus de garanties sanitaires dans les écoles. D’après une enquête internationale de l’institut Ipsos publiée fin juillet, l’opinion espagnole est à contre-courant de ses voisins européens. Une majorité de sondés en Espagne est en faveur d’une diminution du nombre de jours de cours présentiels, et un quart préférerait attendre "entre 4 et 6 mois" avant de renvoyer les enfants à l’école.
Face à l’inquiétude, les autorités oscillent entre messages rassurants et menaces de sanctions. "Les écoles sont bien plus sûres que les autres endroits même s’il n’y a pas de risque zéro dans une épidémie", a ainsi insisté mardi le chef du gouvernement, Pedro Sanchez, "mais il y a un risque que nous devons éviter : l’exclusion sociale".
"Les enfants ne peuvent pas vivre dans des bulles", a plaidé l’épidémiologiste en chef du ministère de la Santé, Fernando Simon. "Ils peuvent aussi bien attraper (le virus) au parc, ou quand ils vont voir leurs cousins ou par leur père qui s’est contaminé au travail".
Dans un pays où près d’un quart de la population vit sous le même toit qu’un proche de plus de 65 ans, selon le sondage d’un institut public de 2018, de nombreux parents craignent d’exposer leurs aînés. »
Chez nous, le débat fait rage. Alors que Perronne et Toussaint durcissent leurs positions, en apportant des éléments statistiques et scientifiques de leur opposition au covidisme (l’idéologie du terrorisme pro-Covid), les pro-Covid se lancent dans la contre-contre-propagande.
Ce 7 septembre 2020, des médecins (à vérifier pour certains) interviennent sur Twitter pour nous expliquer que l’explosion des cas va à nouveau saturer nos places de réanimation dans les hôpitaux :
Tension majeure depuis 24h sur les lits de reas dans les BDRhone..Préservez nos capacités hospitalières en appliquant les mesures barrières . HELP !! Nous avons besoin de vous pour contenir la vague . @aphm_actu est sur le pont 24/24 avec les établissements de soin @ARSPaca https://t.co/JSU26ykBTu
— Dominique Rossi (@PrDRossi) September 6, 2020
Les anti-Covid sont visés par les pro-Covid, autrement dit les collabos du pouvoir :
Je pense que ce soir, dans les Bouches du Rhône, les réanimateurs doivent beaucoup apprécier ces propos délirants. Pareil dans le Bas Rhin. Un grand ménage est à faire chez ces invités buzzer de plateaux. pic.twitter.com/b1KNPFY0So
— Le Doc (@Le___Doc) September 6, 2020
Mais en face, ça tient sur des lignes de résistance bien préparées et qui n’ont toujours pas été prises par le camp du pouvoir :
“J’estime que 80 % des diagnostics de covid sont faux, surtout sur les causes de décès”, la lettre d’un médecin pneumologue “à bout de nerfs” https://t.co/XnPISMIFcN
— #TseTse Montse (@TsetseMontse) September 7, 2020
Des généraux de l’armée pro-Covid se retrouvent carrément prisonniers :
Dt Martin Blachier : « Je ne reçois aucune rémunération personnelle des laboratoires ou autres ... mais mon entreprise travaille autant avec des acteurs publics que privés »
Oui surtout privé !!
471k€ de Gilead entre autre pic.twitter.com/7OrmJEVBaq— Asclépius (@medicalfollower) September 6, 2020
Tant qu’il y a du débat, de la confrontation, il y a de l’espoir. Mais on sent bien que le plan oligarchique, ourdi depuis longtemps, consiste à conduire le troupeau vers l’enclos de la vaccination obligatoire. Les labos et l’UE nous attendent au tournant, et ces empressés qui s’énervent de plus en plus ouvertement – et de manière exponentielle – sont en train d’accélérer le couple propagande-répression, car la résistance n’a que trop duré !
La Commissaire en chef Von der Leyen prépare la vaccination de masse européenne :
- 225 millions de doses commandées chez CUREVAC (All.)
- 300 millions chez SANOFI (Fr.)
- 400 millions chez Johnson & Johnson (USA)
- 300 millions chez ASTRA ZENECA (UK et Suède) pic.twitter.com/QXGua5TzaE— Julia Cerisi (@JuliaCerisi) August 28, 2020