Les affaires d’intimidation, de vexation et d’humiliation de ce type font souvent l’objet, par la suite et en catimini (mode silence gardé), d’un classement sans suite. Il n’y aura donc pas de renvoi en correctionnelle.
En revanche, certaines procédures d’intimidation, d’humiliation et de vexation réclamée par les procureurs de la république française qui, rappelons-le, ne sont pas indépendants du pouvoir exécutif (ils sont hiérarchiquement placés sous le contrôle indirect ou direct du garde des sceaux, sinistre d’état de l’injustice qui gouverne également leur carrière professionnelle), peuvent faire d’objet d’une persécution judiciaire complète aboutissant à des condamnations pénales (peines privatives de liberté) prononcées à l’occasion de parodies de justice et de mises en scène théâtralisée de l’action publique répressive irrémédiablement suivie de lourdes peines d’amendes.
Après l’action pénale, vient l’action civile qui entre en scène sous l’éclairage ininterrompu du film de la pièce solennelle, ritualisée et pleine de majesté où les acteurs principaux que sont les juges, procureurs, greffiers et bon nombre d’avocats font tourner le manège de la de "justice d’apparat" politisée à souhait et que vient sublimer le verbiage jargonneux s’accordant à la narration officielle reprise en boucle depuis les centres de propagande médiatique que sont le grandes rédaction à la solde du pouvoir politique et faisant écho au pouvoir profond.
Rendue selon la matière (compétence matérielle), la sentence peut être prononcée par un collège de trois magistrats ou un juge unique, et ces derniers peuvent infliger aux prévenus et au bénéfice d’associations malveillantes et nocives grassement subventionnée par l’état et les autorités territoriales des dommages-intérêts complétée par les dépens et les frais irrépétibles.
Les associations de défense d’intérêts particuliers qu’elles affichent sous les traits convenus et maquillés par une fausse bienveillance sont souvent animées par des préoccupations autres et à vocation politique et punitive confiant au grotesque et au ridicule.
Par ailleurs, elles participent de la persécution d’état en instrumentalisant le « temple » corrompu de la justice dont les jugements et arrêts sont rendus sans vergogne au nom du peuple français. Les associations prétendument antiracistes sont au premier rang de la répression des opposants dont le discours raisonnable déplait auxdites associations et à l’état œuvrant main dans la main
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