Commençons par expliquer pourquoi l’affaire Jeffrey Epstein fait tant parler d’elle. C’est Epstein qui a présenté Melania à Donald, c’est Epstein qui est nommé dans le tristement célèbre procès « Jane Doe » comme ayant sexuellement agressé une fillette de 12 ans avec la pleine participation de Donald Trump. C’est pourquoi l’histoire d’Epstein domine l’actualité étatsunienne, elle est considérée comme un moyen de faire tomber Donald Trump.
Mais l’histoire d’Epstein touche bien au-delà, elle discrédite la justice américaine, les médias américains, pénètre jusque dans la Maison-Blanche, peut-être par le biais de plusieurs de ses occupants, et finit par retomber, devenant mystère permanent, car toujours protégé par des médias sous contrôle, non pas d’un mais de 20 milliardaires, et par une société secrète liée à Epstein, qui représente le pouvoir d’Israël sur les gouvernements américain, britannique et canadien.
Cela rend la résolution du mystère Epstein essentielle pour comprendre les événements qui se rapprochent de plus en plus d’une guerre susceptible d’éclipser les conflits post 11 septembre 2001.
Quelle est la véritable histoire ? Tout d’abord, le sexe avec des enfants n’est pas nouveau en Amérique. Le sexe avec des enfants était la norme lorsque les pèlerins débarquèrent à Plymouth Rock en 1620 et peu de choses ont changé, si ce n’est qu’il est devenu un outil pratique pour calomnier les opposants politiques.
Pendant deux siècles, des filles d’à peine 12 ans ont régulièrement été mariées, parfois de force, à des hommes de 70 ans, tandis que d’autres ont été vendues comme esclaves pour travailler dans les moulins ou rejoindre les innombrables hordes qui servent dans les bordels américains.
Toutes les villes et tous les villages d’Amérique ont encore des bordels, généralement des chambres ou des caravanes de camping derrière des librairies pour adultes ou des salons de massage. Des services similaires sont disponibles dans les meilleurs hôtels de New York, Washington et ailleurs, il suffit de demander au concierge. L’hypocrisie n’est pas uniquement américaine mais elle s’épanouit en Amérique, enveloppée dans le drapeau et la bible, comme nulle part ailleurs sur terre.
Pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire d’Epstein, tout a commencé en 2003 avec une écrivaine de Vanity Fair, Vicky Ward, qui a écrit l’histoire d’une personne mystérieuse, nommée Epstein, qui prétendait être milliardaire. Epstein avait peu d’éducation officielle mais, pour des raisons inconnues, a quand même décroché un poste d’enseignant prestigieux et est ensuite passé à des opérations corrompues style Ponzi, à Wall Street. Derrière cette façade se cache l’histoire de plus en plus colorée d’Epstein, qui violait des enfants, avec l’aide présumée de Ghislaine Maxwell, fille du célèbre Robert Maxwell, magnat des médias britanniques et maître chanteur présumé du Mossad, qui a été assassiné en 1991.
Nos sources disent qu’Epstein et Maxwell opéraient à partir d’un fabuleux appartement new-yorkais appartenant à un leader de l’industrie de la vente au détail de vêtements et partisan israélien. La nature de leur relation, certainement « très personnelle », voire plus, est interdite de publication dans les médias américains. Il suffit de savoir qu’Epstein a reçu en don cette propriété à New York, dont on dit qu’elle vaut plus de 50 millions de dollars et, de plus, la plus grande partie de la richesse publique d’Epstein proviendrait de fonds investis pour ce même client, celui avec qui Epstein avait cette relation très personnelle, une amitié masculine très étroite.
Pendant deux décennies, voire plus longtemps, Epstein, Maxwell et d’autres, dont Donald Trump, l’avocat Alan Dershowitz et même le prince Andrew ont été accusés de violer des enfants et de construire un réseau pour attirer des écolières dans leur toile et les soumettre à toutes les perversions imaginables.
Pendant ce temps, les médias n’en ont guère parlé, voire pas du tout, malgré des plaintes criminelles et des poursuites civiles interminables. Des preuves montrent maintenant que des témoins ont été payés, que la police a été intimidée par un grand cabinet d’avocats de Washington et qu’une agence de renseignement étrangère a bloqué une poursuite, en 2008, ce qui a récemment conduit à la démission du secrétaire américain au Travail, Andrew Acosta.
Acosta affirme qu’il a ordonné une poursuite genre « tape sur la main » contre Epstein, suite à de nombreuses accusations de viol d’enfant, parce qu’Epstein travaillait pour une agence de renseignement, mais pas américaine. Nous comprenons qu’Acosta avait supposé que la probable co-accusée d’Epstein, Ghislaine Maxwell, a longtemps été réputée pour être un officier de haut rang du Mossad.
Cependant, il n’y a aucune preuve pour confirmer cela ou le fait qu’Epstein et Maxwell faisaient chanter des membres du Congrès, des juges de la Cour suprême et des « capitaines d’industrie » depuis des décennies. Pourtant, ces rumeurs et allégations reviennent sans arrêt.
Ce qu’il est important de noter, c’est que jusqu’à il y a quelques jours, l’histoire d’Epstein était taboue pour la presse américaine. Voyez-vous, Epstein connaissait « tout le monde », Benjamin Netanyahu, Rupert Murdoch, Mick Jagger, Donald Trump, qu’on disait être un compagnon régulier, certainement l’ancien président Bill Clinton et presque toute la noblesse « trash » d’Europe. Voici un extrait tiré du New York Post, propriété de Rupert Murdoch, en date du 15 juillet 2015 :
Epstein, qui est un investisseur dans une entreprise de mannequins de Manhattan, a été accusé par les procureurs d’utiliser ses relations avec la société de mannequins pour "auditionner" des filles en leur faisant faire des massages qui aboutissaient souvent à des abus sexuels."Au fil des ans, il semble qu’Epstein se soit appuyée… sur le mannequinat pour trouver des filles mineures à des fins sexuelles", écrit Conchita Sarnoff, journaliste d’investigation, dans son livre "Trafficking".
Un ancien modèle basé à Manhattan, qui a parlé sous couvert de l’anonymat, a également allégué qu’il s’agissait d’un système de proxénétisme entre Epstein et Victoria’s Secret. (Victoria’s Secret est une chaîne de magasins appartenant au milliardaire israélien Leslie Wexner, prétendument l’un des architectes de l’invasion américaine de l’Irak en 2003. Dans d’autres procédures judiciaires, Maxwell et Epstein sont accusés d’avoir violé des mineures au domicile de Wexner dans l’Ohio, des victimes qui étaient détenues par le personnel de sécurité de Wexner, selon des témoignages écrits. Wexner dirige Mega, un groupe de 20 milliardaires israéliens américains qui financent les efforts de lobbying d’Israël pour soutenir l’action militaire contre les nations musulmanes.)
"Il [Epstein] se présentait comme la porte d’accès pour faire entrer une fille chez Victoria’s Secret. Certaines filles ont été admises ", raconte-t-elle. Un autre gérant d’agence de modèles de Manhattan a déclaré au Post que Maxwell (présumé violeur d’enfants et maître chanteur du Mossad) était un habitué des événements de Victoria’s Secret.
« Il y avait toujours de ces spectacles vraiment trash, avec pleins d’hommes riches dans le public", ajoute-t-elle. "Ghislaine agissait comme une sorte de garde nazie, disant à tout le monde où s’asseoir dans le public et qu’elle avait de nouvelles "pop tartes", comme elle appelait les jeunes modèles. (Ghislaine Maxwell a été accusée d’avoir agressé sexuellement deux enfants, tous deux de sexe féminin, lors d’un procès.)"
Les répercussions sur la sécurité nationale des États-Unis ici sont sans fin. Tout d’abord, nous avons une première dame à la Maison-Blanche, ou du moins présente à certaines occasions publiques, qui a une certaine affiliation avec Epstein et qui en a peut-être elle-même été victime.
Cela pourrait être utilisé pour influencer la politique américaine de tant de façons et pourtant rien n’est remis en question, ce qui indique un appui de haut niveau pour camoufler l’affaire.
Ensuite, il y a Acosta, l’ancien procureur américain déshonoré et secrétaire du travail peu qualifié, qui a peut-être été nommé à ce poste ministériel pour acheter son silence sur Epstein. Ce n’est que maintenant qu’il nous dit qu’il s’est senti menacé personnellement et qu’il a donné à Epstein une « petite sanction » parce qu’Epstein était un « espion ». Le problème, c’est qu’Epstein était probablement un espion contre les États-Unis, pas « pour » les États-Unis.
Lié à cette histoire, bien sûr, est l’endroit d’où vient l’argent, des plus grands noms des affaires américaines et directement aux plus hauts niveaux de l’AIPAC (American Israeli Public Affairs Council) et de l’ADL (Anti-Defamation League), organisations souvent citées et même soumises à enquête pour leurs actions nuisibles aux États-Unis, actions faites « en agence » pour le compte d’un gouvernement étranger.
Pendant ce temps, les mêmes noms, avec leurs milliards, leur influence, poussent les États-Unis vers une guerre contre l’Iran.
Malheureusement, alors que les médias cherchent un moyen d’embarrasser le président ou la première dame, le vrai problème pourrait bien être la corruption, le chantage et le réseau d’espionnage qui pousse le monde au bord de la destruction.
Les dessous de l’affaire Epstein
Jeffrey Epstein, milliardaire juif américain (qui a fait fortune dans la finance), a été inculpé à New York, le lundi 8 juillet 2019, d’exploitation sexuelle de dizaines de jeunes filles mineures.
Selon l’acte d’accusation rendu public par le procureur fédéral de Manhattan, Jeffrey Epstein est accusé d’avoir, entre 2002 et 2005 au moins, fait venir des mineures dans ses résidences de Manhattan (à New York) et de Palm Beach (Floride) « pour se livrer à des actes sexuels avec lui, après quoi il leur donnait des centaines de dollars en liquide ». Certaines d’entre elles n’avaient pas plus de 14 ans...
« Il en a aussi payé certaines pour qu’elles recrutent d’autres filles afin qu’elles soient elles aussi abusées par Epstein », ajoute l’acte d’accusation.
Le fait d’inciter des mineures à la prostitution est un crime selon la loi fédérale, avec ou sans consentement. Jeffrey Epstein encourt jusqu’ à quarante-cinq ans de prison.
Mais ce qui confère à cette affaire une dimension sans précédent, ce sont les liens étroits d’ Epstein avec les riches, puissants et célèbres d’Amérique. Parmi ces personnalités importantes se trouvent : Bill Clinton (qui aurait effectué 26 vols avec le jet privé d’Epstein – surnommé le « Lolita Express » par ses amis). Le magazine web Gawker a publié le carnet d’adresses de 92 pages d’ Epstein qui contient les noms du prince britannique Andrew, de l’ancien procureur spécial Kenneth Starr, de l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair, de l’ancien Premier ministre israélien Ehud Barak, des acteurs Alec Baldwin, Kevin Spacey et Ralph Fiennes, de feu Ted Kennedy, du milliardaire David Koch et de la chanteuse Courtney Love. Epstein était également un bon ami du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane.
Epstein, un agent israélien ?
Epstein a déjà été condamné pour des faits similaires. En 2008, il a fait des aveux pour des accusations de prostitution. Il a ainsi pu éviter un procès fédéral et il n’a été condamné qu à 13 mois de prison (aménagés), grâce à un accord conclu avec le procureur de l’État de Floride, Alex Acosta, qui est aujourd’hui ministre du Travail dans le cabinet de Trump.
Lorsque Alex Acosta a été préparé par l’ équipe de transition de Trump pour les questions que le Congrès lui poserait au sujet de sa nomination comme ministre du Travail, on lui aurait posé la question suivante « L’affaire Epstein peut-elle être un problème ? » selon la journaliste Vicky Ward, qui travaille sur ce dossier depuis des années pour Vanity Fair. Acosta a alors expliqué qu’à l’époque, il n’avait eu qu’une seule réunion sur l’ affaire Epstein, et qu’il a mis un terme aux poursuites parce qu’on lui avait dit de se retirer et qu’Epstein était au-dessus de ses moyens. « On m’a dit qu’ Epstein était membre des services de renseignements et que je devais donc le laisser tranquille », a répondu Acosta aux enquêteurs.
Vicky Ward s’étonne que :
« Pendant près de deux décennies, pour une raison nébuleuse – qu’il s’agisse de ses liens avec les services de renseignements étrangers, de ses milliards, ou de ses relations hauts placées – Epstein, dont les déviances sexuelles horribles agressions contre des femmes sans moyens ou capacités de se protéger, sont bien connues dans son entourage, est resté intouchable. »
Vicky Ward parle de services de renseignements étrangers, et non pas américains. De quel pays s’agit-il ?
Le journaliste d’investigation Panamza écrivait, le 16 juillet 2019, à ce propos que « plusieurs éléments d’ informations – exhumés des archives de la presse en ligne – permettent de corroborer l’identification d’ un ancien réseau israélien haut-placé (qui transitait par le Canada et le Congrès juif mondial...) autour d’ Epstein, cet américain titulaire (en bon espion) de différents patronymes et d’une résidence saoudienne si l’on croit son passeport « étranger » (dont le pays est passé sous silence par la justice et les médias américains...). Premier exemple : la demeure dans laquelle des viols ou des abus sexuels ont été commis par Epstein (selon plusieurs accusatrices) appartenait à un oligarque juif-américain proche d’Ariel Sharon et co-fondateur (en 1991) d’ un club occulte pro-israélien (dénommé Mega et soupçonné d’avoir manipulé Bill Clinton en faveur de l’ affaire Monica Lewinsky) qui a notamment utilisé (via un think tank de propagande) la mystification (israélienne) du 11 Septembre pour lancer l’invasion (profitable à Israël) de l’Irak. »
Le procureur Alex Rossmiller a déclaré que le passeport en question découvert chez Epstein est un faux passeport saoudien. Ont été trouvés également des centaines de photos de femmes et de filles nues, des douzaines de diamants et des piles de billets.
Les liens entre Epstein et Israël ne manquent pas. Le site d’information britannique Dailymail publiait des photos (datant de janvier 2016) de l’ancien Premier ministre israélien Ehud Barak, le visage masqué, entrant dans le manoir de Jeffrey Epstein à New York. Quelques heures après l’arrivée d’Ehud Barak, de jeunes beautés ont été repérées entrant dans la résidence du milliardaire juif américain.
Par ailleurs, rapporte le journal israélien Haaretz, Jeffrey Epstein a investi en 2015 des millions de dollars dans l’entreprise d’Ehud Barak nommée Carbyne (anciennement connue sous le nom de Reporty Homeland Security qui développe des logiciels de géolocalisation pour des services d’urgence. De fait, Epstein et Barak sont des associés (de cette entreprise israélienne basée à Tel Aviv), qui est « une plateforme nationale de communication d’urgence qui utilise la technologie la plus avancée en matière d’ infrastructure d’urgence » et dont le capital s’ élève à 23,9 millions de dollars.
Une recherche plus poussée révèle que cette société est directement liée à l’appareil d’État israélien, car un des principaux investisseurs n’ est autre que le Bureau scientifique en chef du ministère de l’Économie de l’État hébreu, qui est en charge de l’exécution de la politique gouvernementale de soutien à la recherche et au développement industriel.
Nous avons là la preuve d’un lien direct entre Epstein et l’État d’Israël.
Où se situe Donald Trump dans tout cela ?
Les médias américains tentent de mouiller Trump avec cette affaire, ressortant des photos datant de plus de 20 ans où on le voit en compagne d’Epstein, ou encore une interview de Donald Trump datant de 2002 (cinq ans avant la première inculpation) accordée au New York Magazine, où l’actuel président faisait l’éloge d’Epstein : « C’ est un type génial. On s’amuse bien avec lui. On dit même qu’il aime les belles femmes autant que moi. Et beaucoup d’entre elles sont jeunes. »
Mais le Washington Post rapporte (dans un article du 8 juillet 2019) que Donald Trump a coupé les ponts avec Epstein en 2007, lorsque la première affaire a éclaté, et le journal américain de préciser :
« La relation (entre Trump et Epstein), quelle qu’ elle soit, semble s’ être re- froidie en 2007. Alan Garten (un des avocats de la Trump Organization) a déclaré dans une interview que même si Epstein n’a jamais été un membre de Mar-a-Lago (le club de Trump à Palm Beach), Trump lui a interdit de visiter le club à cette époque, en réaction aux accusations criminelles qui avaient été déposées contre Epstein. "Il lui a interdit de mettre les pieds dans la propriété", dit Garten. Il a déclaré que les avocats privés de Trump n’ont pas été contactés au cours de l’ enquête plus récente sur Epstein, qui a abouti à un acte d’accusation fédéral de 14 pages non scellé. »
D’ ailleurs, à l’époque, quand Epstein a été pour la première fois confronté à la justice, Donald Trump s’est rapproché d’ un des avocats des victimes, Bradley Edwards. Une démarche qu’ il a été le seul à entreprendre, comme l’a révélé Bradley Edwards au cours d’une interview :
« Donald Trump est le seul qui, en 2009, lorsque j’envoyais des assignations à comparaître à beaucoup de personnes – ou au moins que j’ indiquais à des personnalités que je souhaitais leur parler – a pris son téléphone et m’a dit : ‘"Discutons, autant de temps que vous voulez. Je vais vous dire ce que vous devez savoir". Il a été très utile dans les informations qu’il a révélées, sans pour autant donner la moindre indication qu’ il était impliqué dans quoi que ce soit d’important. Il disposait de bonnes informations, cela nous a aidés. »
Risquant 45 ans de prison, Epstein pourrait bien, afin de parvenir à un accord, faire des révélations sur ces célébrités et personnalités politiques a qui il a fourni des filles mineures.
Pour l’avocat des victimes, David Boies, cité par le média américain Daily Beast, Epstein n’est qu’un des acteurs d’une affaire qui en compterait bien d’autres :
« Nous espérons que les procureurs ne s’ arrêteront pas à monsieur Epstein, parce que beaucoup d’autres personnes ont pris part à ces activités avec lui, et ont facilité cette exploitation sexuelle ».
D’ailleurs, en 2015 déjà, Donald Trump avait attaqué Bill Clinton et évoqué Epstein lors de la conférence annuelle des conservateurs :
« Bill Clinton a énormément de problèmes qui vont lui tomber dessus avec une fameuse île (Litte Saint James Island appartenant à Epstein et où se déroulaient ces orgies) et avec Jeffrey Epstein. Beaucoup de problèmes. »
Il n’est pas à exclure que Donald Trump soit à l’origine de l’explosion de cette affaire. Une façon pour lui de faire du « nettoyage », neutraliser le clan Clinton, et envoyer un message au lobby pro-israélien qui fait violemment pression sur l’administration Trump pour entraîner les États-Unis dans une guerre contre l’Iran.
Le 16 juin dernier, un mois seulement avant l’affaire Epstein, Trump avait envoyé un message d’ avertissement aux Israéliens, menaçant de révéler l’identité des véritables responsables des attentats du World Trade Center. Lors d’une interview accordée au média américain ABC depuis la Maison-Blanche, le président des États-Unis a fait allusion à sa connaissance du dossier des attentats du 11 septembre 2001 :
« Au fait, la destruction du World Trade Center, ce n’était pas les Irakiens... Ce n’ était pas l’Irak, c’ était d’ autres personnes. Et je pense savoir qui sont ces autres personnes. Et il se peut que vous le sachiez aussi. »
À suivre.