La Cour de cassation a définitivement confirmé mercredi 30 juin la culpabilité de Patrick et Isabelle Balkany pour blanchiment de fraude fiscale aggravé, mais la haute juridiction a ordonné dans un arrêt qu’un nouveau procès ait lieu, uniquement concernant le quantum des peines.
[…]
[…] Mercredi, la plus haute juridiction de l’ordre judiciaire a rejeté leurs recours concernant leur culpabilité, la rendant ainsi définitive. Elle a néanmoins estimé que la cour d’appel de Paris ne pouvait pas prononcer la confiscation du moulin de Cossy, à Giverny (Eure), dans la mesure où la demeure appartient aux enfants du couple, qui n’en a que l’usufruit.
Elle a aussi jugé que la juridiction n’avait pas suffisamment motivé sa décision pour condamner les Balkany et leur fils à payer un million d’euros de dommages et intérêts à l’État. En conséquence, elle a donc ordonné un troisième procès, qui portera uniquement sur les peines.
[…]
Lire la suite de l’article sur lemonde.fr
Isabelle, éternellement liée à Patrick
[…]
[En 1996] leur mariage bat de l’aile et les Balkany sont même séparés durant plusieurs mois, refusant néanmoins le divorce. Patrick Balkany se met alors en couple avec une jeune femme, conseillère municipale à Boulogne-Billancourt. Mais les choses ne se passent pas bien […] :
« Ça va très mal se passer entre lui et sa maîtresse, un soir elle est retrouvée à demi-nue dans la rue par les policiers et elle va accuser Patrick Balkany d’avoir tenté de la violer en lui imposant une fellation avec un Magnum sur la tempe » raconte un journaliste auteur d’un livre sur le couple. La victime présumée finira par abandonner les poursuites, après avoir notamment vu... Isabelle Balkany prendre la défense de son mari : « Parmi les gens entendus par les policiers, il y a notamment Isabelle Balkany, séparée de Patrick, fâchée avec lui, elle va avoir cette phrase qu’elle confirmera elle-même par la suite, de dire "mon mari n’a pas besoin d’un Magnum pour se faire tailler une pipe" et ça ne va pas aller plus loin » ajoute le journaliste. […]
Lire l’intégralité de l’article sur voici.fr