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bvoltaire.fr | Juin 2014 |34 | SantéSociété |
L’actualité nous réserve des coïncidences qu’on peine à croire involontaires. Le 24 juin 2014, alors qu’à Bayonne l’avocat général requérait une peine de 5 ans avec sursis contre le Dr Bonnemaison, accusé d’avoir tué sept patients en fin de vie, le Conseil d’État condamnait Vincent Lambert à mourir de faim et de soif, au nom de la loi Leonetti et du refus de l’acharnement thérapeutique. Le lendemain (...)
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D’expérience, les médecins se trompent très souvent dès lors que l’état physique de leur patient sors du champ de compréhension global de la médecine, et de leur capacité à trouver un traitement. Typiquement les patients dans le coma.
Il est clairement inadmissible qu’un individu sans rapport intime, familial, avec le soigné, puisse décider de sa vie ou de sa mort.
Je me rappelle avoir du combattre pendant des mois des médecins qui prédisaient la mort d’un membre de ma famille, et qui voulaient l’envoyer au mouroir (les services dont on ne revient pas) alors que ce dernier est aujourd’hui bien vivant, en forme, et avec toute sa tête. Je connaissais sa volonté de vivre, et pas eux. Nous avons du faire marcher nombre de relations (nous en avons, et nous sommes chanceux) pour le faire sortir du dictat d’une certaine administration hospitalière, et enfin de lui rendre la vie.
Je ne fais pas de généralité. Mais l’issue de ce procès est une honte. Il n’y a aucune compassion exprimée de la part des juges dans leur verdict, juste la validation d’intérêts qui sont au mieux économiques, au pire l’expression de personnes totalement déshumanisées et incapables de comprendre le sens d’une vie humaine.
Merci pour ce témoignage, et bravo pour le combat que vous avez mené pour sauver la vie de l’un de vos proches. Cela montre que certains médecins - pas tous - se prennent pour Dieu et s’arrogent facilement le droit de décider de qui doit vivre et qui doit mourir.
Oui mais bien souvent ce sont les medecins qui ont raison... et Dieu n a rien à faire dans cette histoire.... En conclusion on ne peut être contre l’euthanasie par principe serait inhumain comme pour le suicide chacun doit pouvoir choisir sa mort et lui seul.... Point barre.
francky :
Non, les médecins peuvent très bien être influencés par la pression de leur hiérarchie, et en matière d’euthanasie, comme annoncé depuis des années (j’avais lu cela sur le site de Claude Reichman commentant un article du Point), il y aura clairement une volonté de liquider automatiquement les patients jugés trop coûteux (c’était écrit explicitement) ! Bienvenue dans le Meilleur des mondes de Jacques « L’Unijambiste » Attali.
Quant au prétendu « droit » de se tuer, ce sont là des propos typiquement post-modernes et nihilistes correspondant bien à la mentalité inculquée par la propagande du Nouvel Ordre Mondial : pour toi, le critère ultime du bien est le désir individuel, rejetant (au moins en partie) les limites transcendentales traditionnelles, dont le caractère sacré de la vie.
L’euthanasie et le suicide sont rejetés par le catholicisme ; il y a une raison.
C’est une vie franchement d’être prisonnier d’un corps dont on n’a plus aucune maîtrise depuis des années et qu’aucun espoir ne peux lui rendre ?... La vie ça n’est pas de rester allonger complètement paralyser sans pouvoir communiquer pendant une éternité ! Ce qui doit paraitre pour sa conscience comme une éternité ! Une vie sans corps sur cette terre n’est pas une vie !
Vous ne pouvez le savoir tant que vous n’avez pas été vous-même dans ce cas (ce que du fond du cœur je ne vous souhaite pas). Vous ignorez, tout comme une très écrasante majorité d’entre nous (et dont je fais partie) l’étendue exacte de l’instinct de vie et survie.
La réaction logique et la plus humaine est donc de s’abstenir de prendre une décision dont les conséquences sont définitives alors qu’on a si peu d’éléments.
De plus, dans ce cas précis, imaginez le raisonnement du médecin : "Il ne réagit pas au traitement donc il veut mourir. Il n’y a absolument aucune chance pour que le traitement ne soit pas le bon, expliquant ainsi pourquoi il n’y réagit pas. Je suis l’autorité médicale, toute erreur m’est étrangère."
On en arrive à des aberrations d’une cruauté sans nom et qui sont le pas suivant dans le raisonnement. Imaginez demain : "Mon père refuse d’arrêter de vieillir, cela signifie donc qu’il a décidé de mourir. Le fait que je toucherai son héritage n’a rien à voir dans mon raisonnement."
Légaliser l’assassinat des mourants sous prétexte de leur épargner la souffrance, alors qu’il existe tout un arsenal pharmaceutique permettant d’effacer cette souffrance pour prendre le temps d’accompagner dignement des gens vers leur dernier voyage est un autre pas, pour notre civilisation, vers sa déchéance la plus crasse et la plus immonde.
Il ne faut pas se faire la moindre illusion, il n’y a là aucune considération d’humanité, ce n’est qu’une histoire ce coûts. Imaginez les économies faites sur les maisons de retraites et les mouroirs (car certaines ne sont rien d’autre que ça) lorsque les soins aux anciens se résument à une injection létale (qu’on refuse de toutes nos forces pour les plus vils membres de notre société mais qu’on nous pousse à accepter pour nos parents).
Les cas d’espèce médiatisés ne sont que des ouvertures, des "prises de températures" d’opinion afin de rendre l’idée acceptable petit à petit.
La GPA nous rapproche du Meilleur des mondes, l’euthanasie nous rapproche de Soleil Vert.
Cordialement.
Comme le dit nemo c’est bien une affaire de lois et non une affaire humaine pour les élites lucifériennes.
@nemo :
Vous tracez également des plans sur la comète avec vos propos. Etant donné que Vincent Lambert ne communique pas ,vous ne savez donc pas s’il souffre. Et pire que de donner la mort est de laisser souffrir pendant des années et des années une personne. Etre prisonnier d’un corps que l’on ne peux rien faire et forcément une souffrance. Il suffit d’avoir une conscience personnel pour le comprendre. La religion ,la lois n’a strictement rien à voir là dedans.
@VS :
S’il y a débat c’est bien que les lois montre leur limite à ce sujet.
Des élites luciférienne ? ... C’est quoi les élites lucifériennes ? ^^
@davh58
Vivre enfermé dans son propre corps est une souffrance, je ne puis que l’imaginer mais je veux bien admettre avec vous cet état de fait. Cependant comme il n’y a pas communication, comme vous le rappelez à juste titre, comment savoir où en est la balance entre souffrance et volonté de vivre ?
Je suis assez d’accord avec le professeur Ducrocq pour voir la survie sans alimentation pendant plusieurs jours de Vincent Lambert comme un signe fort d’une volonté de vivre malgré la souffrance justement.
Sa situation vous parait insupportable de votre point de vue d’homme valide. Et sur ce point je veux bien vous rejoindre également. Mais à sa place, souhaiterions nous mourir pour autant ? Le but de mon argumentaire est de dire que je n’en sais rien et que justement parce que je n’en sais rien j’éviterai de prendre une décision irréversible. Il n’y a là dedans ni religion, ni loi, mais du simple bon sens, de la conscience personnelle comme vous dites.
Si nous décidons que l’assassinat de Vincent Lambert est acceptable, ça ne sera qu’un premier pas vers une autre mise à mort acceptable. Et la porte sera ouverte. Je suis bien incapable de dire quand elle se refermera et quelles extrémités on aura atteint d’ici là. Voilà pourquoi je ne veux pas l’ouvrir.
Donc oui, je trace des plans sur la comète car c’est ma responsabilité en tant que citoyen et en tant qu’homme de prévoir les conséquences de mes actes. Il est de mon devoir d’y réfléchir.
Cordialement.
@nemo
Là dessus je suis d’accord avec la proposition du professeur Ducrocq. Mais je pense que forcément Vincent Lambert qui a conscience de son état doit se reposer complètement sur les décisions du corp médical. C’est difficile de s’imaginer être à la place de cette personne mais si on fait cet effort, on imagine qui si l’on est maintenue coute que coute dans cet état depuis si longtemps c’est qu’il y a une solution a therme. Et que donc celà doit représenter un espoir effectivement dans la conscience de cet homme. Hors la réalité est que ce n’est pas le cas ! On maintiens en vie une personne alors que l’on a aucune solution de lui rendre son corps. J’ai conscience que se sont des questions personnels ,je ne cherche surtout pas à imposer mon point de vue mais si l’on était capable de faire comprendre à Vincent Lambert qu’il n’y a pas d’espoir de lui rendre son corps, je suis sur qu’il accepterait de mourir.
Quand à la loi Française sur l’euthanasie, de nombreux exemples prouvent que nous somme un pays totalement immature et dépassé par ces sujets. J’en veux pour exemple il y a quelque années cette femme qui avait un syndrome qui lui provoquait des déformations aux visage avec des souffrances insupportables et qui ne supportant plus les doses de morphine souhaitait mourir ,et se trouvait dans l’obligation d’aller en Suisse (ou en Belgique) pour pouvoir en finir dignement avec l’aide d’un médecin.
Biensur c’est le cas du choix de la personne, mais même dans ce cas la loi Française dit clairement que l’on préfère que les gens souffre (mais loin des caméras quand même svp ^^) plutôt que d"assassiner". Alors que la plupart des gens préfère la mort que la souffrance. Nous somme un pays très arriéré de ce point de vue !
Eric Zemmour qui est résolument contre l’application de la convention européenne des droits de l"homme et des décisions de la cour eDH en France devrait réfléchir à ce qui se passe. Si la France n’avait pas ratifié la convention, Vincent Lambert aurait été euthanasié.ces donneurs de leçons de la télé - Zemmour n’est pas le pire- m’agacent. il y a des gens en France dont personne ne parle jamais mais qui font fonctionner le pays. Ecouter le professeur Ducrocq me rassure. Quant au Conseil d’Etat , depuis la jurisprudence Dieudonné en référé, c’est une juridiction qui semble bien aux mains des lobbys. dons le Conseil d’Etat n’est plus crédible. Heureusement que la Cour EDH a pu être saisie...mais quelle sera sa décision sur le fond ? La France va très mal ; entre le service de madame delepine que le pouvoir veut fermer et la décision du Co,nseil d’Etat concernant vincent Lambert, on voit bien qu’il faut une révolution car ceux qui décident veulent notre anéantissement
Surrealiste ! Quelqu un qui veut vraiment mourir y parvient toujours ! Vincent selon ce medecin qui le cotoie depuis un an, se bat, resiste et le rapporteur public est convaincu d acharnement therapeutique ?
Ca tourne au grand n importe quoi ! La justice est proceduriere jusqu au boutisme quand il s agit de couvrir les pires forfaits et se montre totalement laxiste quand il s agit de defendre les plus faibles a commencer par ceux qui comme Vincent sont totalement dépendants ! De ce fait la justice se trouve a l exact oppose d un concept qu elle est sensee incarner !
L euthanasie n est meme pas legalisee, qu a cela ne tienne on faira sans ! Debut des derives !
Il faut ecouter radio Courtoisie, le Journal de l’Identite du 27 Juin 2014. La maman et l’avocat s’expriment sur la malhonnete mediatique et le retour de la "peine de mort".
J’ai une pensée toute spéciale pour la maman de Vincent Lambert, qui se fait traiter de "catholique intégriste" par les Merdias éternellement liés à Israël :
Ce qui dérange le plus dans le concept de "catholique intégriste", c’est l’idéel d’intégrité du catholique qui se dérobe à l’intégrisme idéologique goyiste.
Ce qui séduit le plus dans le concept "économiste intégriste", c’est l’idéale intégralité du banquier qui possède l’intégrisme idéologique anti-goys.
Effrayant. Aujourd’hui en France, on peut être condamné à mort pour avoir le tort d’être gravement handicapé suite à un accident. Même si vos parents veulent continuer à vous alimenter, même si vous survivez à un mois de non-alimentation.
C’est la suite logique de la loi Weil : si un embryon n’est pas une personne digne de vivre dès lors qu’il dérange, pourquoi les non-productifs (vieux, handicapés) auraient-ils le droit de vivre ?
Il vaut mieux être un tueur ou un violeur en série : là, les assoces gauchos vous défendront au nom de la lutte contre la barbarie, parce que, quand même, chacun a le droit de s’épanouir dans les activités de son choix.
A ceux qui diront : "pfff, à quoi bon vivre quand on est vieux, sénile, ou loué sur un lit d’hôpital...", je les attends quand ils seront à leur tour vieux ou handicapés, et qu’ils découvriront qu’ils ont quand même envie de vivre. Car alors, la loi sur l’euthanasie qu’ils auront soutenue permettra à leurs héritiers d’abréger (par gentillesse et compassion, bien sûr) leur existence inutile et indigne (cf. les dérives épouvantables en Belgique, où beaucoup de patients sont euthanasiés sans leur accord).
La valeur de la vie (sauf peut-être quand il ne s’agit pas d’innocents mais de criminels qui mettent en péril la vie des autres) et celle de la personne humaine ne peuvent pas se négocier, sinon tout part en vrille. Elle doit être un principe absolu, ou nous tombons dans la barbarie.
Saint-Exupéry disait qu’on surestimait bien trop le courage physique, car quand on se trouvait réellement en danger de mort, finalement on vivait la situation mieux qu’on ne l’aurait pensé. Les anciens disaient aussi que la pensée de la mort était plus douloureuse que l’agonie elle-même. Nous, qui sommes en bonne santé, disons facilement "Je préférerais mourir que d’être comme un légume qui ne peut pas bouger", mais nous ignorons ce que nous ressentirions réellement dans cette situation. Le polyhandicapé Pozzo di Borgho a dit que si on lui avait posé la question avant son accident, il aurait facilement signé pour être euthanasié en cas de handicap grave. A présent, il est très heureux d’être en vie, parce que la vie ne se limite pas à pouvoir bouger, piquer un cent mètres, faire des repas plantureux, avoir des relations sexuelles, etc. Tout cela est agréable mais ce n’est pas l’essentiel. Et rappelons que la loi actuelle permet tout à fait de refuser l’acharnement thérapeuthique, qui vient de la même ambition prométhéenne.
Bonjour. Je suis d’accord avec vous. J’étais dans le coma quand j’avais 17 ans, un médecin de l’hôpital à Paris, a dit à mes parents que je n’allais pas sortir du coma, et que même si je sortais du coma, je serai comme un légume, il était sadique, cruel de dire ça à mes parents, c’était un enfoiré et un menteur, car au bout de trois jours de coma, je me suis levée de mon lit d’hôpital, je marchais, je parlais correctement, et je faisais tout toute seule, les infirmières n’en revenaient pas, elles me regardaient avec étonnement, une infirmière amicale m’a dit : "je n’arrive pas à croire que tu sois debout." elle était gentille avec moi. Je n’ai pas vu le médecin qui a dit les paroles affreuses à mes parents, il m’évitait le lâche, peut-être qu’il était déçu de ne pas avoir vendu mes jeunes organes. Je suis rentrée en autobus avec ma mère au domicile de mes parents. Un jour Odile Groueff une amie chrétienne qui avait prié en Espagne à Torremolinos pour moi, quand j’étais dans le coma, alors que je ne la connaissais pas, mais elle me connaissait, m’a offert une sainte Bible que j’ai lu en un an. Six ans après mon coma, je me suis mariée avec un français magnifique et j’ai fait huit enfants avec lui. J’ai 52 ans en 2014, je suis en assez bonne santé pour faire ce que je dois faire. Les médecins ne connaissent pas l’avenir, certains médecins sont malhonnêtes, il faut se méfier d’eux. Je vous salue cordialement. Béatrice
Une journaliste du Figaro m’a questionné la semaine dernière sur le cas Vincent Lambert. Une majorité de personnes souhaite que l’on mette fin à ses jours. Mon expérience et mes recherches sur les comas me permettent de dire que, quoi qu’en disent les meilleurs experts du cerveau, personne n’est aujourd’hui capable de dire ce que ressent ou perçoit un comateux. Par exemple lors d’une de mes conférences, une femme nous raconta qu’elle avait assisté à une terrible discussion de deux médecins ; l’un voulait la débrancher et l’autre voulait poursuivre la réanimation. Que ressent Vincent Lambert ? Faut-il le laisser mourir lentement de faim et de soif en stoppant son programme de perfusions et d’apport calorique ? Des milliers de patients sont à l’heure où j’écris ces lignes dans le même état que lui. Faut-il tous les tuer ? Je vous pose la question. L’article du Figaro sera publié cette semaine. Je ne sais pas encore quel jour.
Je ne sais pas ce qu’il en est réellement des patients actuellement dans le coma. Mais a titre personnel, si je devrais être mort et que la seule chose qui me maintienne en vie soit du matos électronique de précision, je ne le vivrais pas bien du tout. A mon avis, ça vient du rapport à la mort qu’a l’homme moderne pour qui la mort est la fin de tout et non pas juste celle de la manifestation matérielle, corporelle. Ensuite, la mort est un tragédie pour les "vivants", ceux que le mort laisse derrière lui. Pour sa propre personne, refuser ou craindre la mort, c’est comme si un embryon ou un bébé refusait de naitre, c’est aussi absurde.
Maintenant, une question pour l’importateur français du "phénomène" (selon la définition guénonienne) des NDE : Comment se fait-il qu’il n’y ait aucun témoignage de NDE chez les musulmans ?
Les expériences de NDE seraient-elles, comme tous les phénomènes new age visant à faire adopter à l’homme de nouveaux paradigmes pseudos spirituels, syncrétismes d’influences psychiques en réalité, mondialisation version spirituelle, une particularité des occidentaux américains d’abord puis européens ensuite, qui suivant leurs habitudes récupèrent les sornettes américaines avec 10 ou 20 ans de retard ?
Au delà même du problème de l’euthanasie qui va de paire avec l’avortement et s’inscrit dans la culture de mort de notre société dite occidentale (même si elle ne ressemble plus à rien), je dois vous faire part de mon expérience douloureuse et personnelle.
Mon papa a été très mal pris en charge par les hopitaux, il avait à peine 65 ans et sa pathologie n’était pas si avancée.
Ce qui m’a le plus choqué c’est la totale déshumanisation des divers service.
La volonté de "libérer des lits" pour "les suivants" , je l’ai observée aussi.
Mon père n’a pas été réanimé alors qu’il était lucide la veille de sa mort et ne souffrait pas !
Quand je compare à Monsieur Schumacher qui est objectivement un légume riche, je suis outré !
selon que vous serez riche ou pauvre la médecine française vous soignera ou non !
c’est comme ça !
alors ne venez plus me parler de révolution française ! avoir remplacé des aristocrates légitimes pour des bourgeois gras et décadents, vous trouvez cela tellement bien ??
le cas de Vincent est une ignominie du système, ce jeune homme veut vivre !
c’est son droit !