Normalement, on regarde TF1 une fois ou deux fois par an, pour les grands matches des Bleus. Là, on a jeté un œil inquiet sur la 2e saison d’HPI, la série qui cartonne avec Audrey-les-gros-nichons qui joue une consultante flic au gros QI (160). Comme souvent en France en matière de télé ou de cinéma, à partir d’une bonne idée, on fait de la merde. Par paresse (intellectuelle), par soumission (au progressisme), par mépris (du public).
Autant la saison 1 valait par son côté léger et agathachristien, autant la 2 est pourrie par le woke. Pas un épisode où le wokisme ne s’est introduit, comme un ver, dans le fruit. Le pire, c’est l’épisode 4, avec l’histoire du transgenre. On préfère ne pas résumer, mais l’agriculteur de père est un gros con de franchouillard sexiste, le fils un artiste si sensible qu’il veut devenir une fille, tout est à vomir dans cette mise en scène de la trans-souffrance.
Non, le vrai truc à voir cette semaine, c’était la victoire de la jeune Française Diane Parry (19 ans) contre la tenante du titre, la Tchèque Krejcikova, en trois sets, une tchèque qui n’avait il est vrai pas joué pendant trois mois. Ça relativise la performance, mais la Française, en état de grâce sur le court devant le public français, s’est lâchée au troisième set, nous faisant admirer son potentiel.
WHO DID THIS pic.twitter.com/C3PTNXWLCk
— Matthew Willis (@mattracquet) May 20, 2022
Ah non, erreur d’archive sur Roland Garros. On reprend :
Dans la vie, il faut lâcher ses coups, ce qu’on est à l’intérieur, prendre confiance en soi et donner le meilleur de soi-même (bon, si c’est un serial killer, ça pose problème). Curieusement, le journal en ligne Frustration considère que les valeurs du sport, calquées sur celles du capitalisme, seraient mauvaises. On les écoute :
Mais le sport est surtout un profond allié idéologique (et historique) du capitalisme. Les « valeurs du sport » sont en réalité les valeurs du capitalisme. Le « goût de l’effort », la « confiance en soi », le « dépassement de soi », « l’intégration » ou même « la solidarité », sont-ils des mots d’ordre issus d’un séminaire de coworking, ou d’un terrain ? Émanent-ils du manageur ou de l’entraîneur ? Si ces expressions sont totalement transposables d’une situation à l’autre, ce n’est pas un hasard. Remplaçons « sport » par « travail » dans le discours sur « les valeurs » et le tour est joué : la magie du sport, la magie de l’entreprise. Le sport n’obéit qu’à une seule chose, la performance : il la mesure, établit des records – qui n’existent que pour être battus –, exigent toujours plus de nos corps et instaure une concurrence permanente entre tou·te·s les individu·es. Le capitalisme ne fait pas autre chose : il pressurise les corps pour dégager toujours plus de profits, exige à chaque instant une meilleure productivité, davantage d’efforts, et met en compétition tou·te·s les travailleurs et les travailleuses les un·es contre les autres.
Bon, déjà, l’écriture inclusive, on oublie. Et puis confondre les nobles valeurs du sport avec l’exploitation capitaliste, c’est un peu court. Si l’homme n’avait pas en lui ce sens du dépassement, de la transcendance (et pas trans en danse), qui lui vient de l’imagination – toujours mieux, toujours plus loin –, on en serait encore à porter des pierres sans la roue ou à bouffer des fruits pourris en se battant contre les singes à variole dans les arbres.
On revient justement sur HPI et son niveau dramatiquement bas, ce qui est assez comique : une série sur l’intelligence supérieure pour gros cons ! Il y a même des vrais HPI ou des Mensa qui ont gueulé contre la série, dans Le Progrès, mais pour de mauvaises raisons :
« Si la personnalité hors-norme de ce personnage nourrit le mélange des genres entre série policière et comédie, Morgane Alvaro ne fait pas l’unanimité. « Étant moi-même HPI, je suis ulcéré par ce scénario ultra-caricatural. C’est quoi l’idée ? Laisser entendre que les HPI sont des fous à 18 de tension ? Je râle souvent pour rien mais là, je suis consterné », s’indignait ainsi sur Twitter l’ancien chroniqueur de TPMP Clément Garin en avril 2021 en marge de la diffusion des premiers épisodes sur TF1. Un an plus tard, l’avis du journaliste est toujours aussi tranché : « je continuerai d’être contre cette série pour les raisons que j’ai déjà évoquées (la caricature faite des HPI me blesse, ça ne me fait pas rire d’être dépeint comme une bête de foire) », a-t-il tweeté au lendemain du lancement de la saison. »
Le problème n’est pas là, il est dans la médiocrité de l’écriture des personnages et de la réalisation. Les profils sont grossiers, alors que dans les séries de qualité, ils sont imprévisibles, comme dans la vie. Là, pour le public de TF1, la production propose des caricatures à tous les étages : la flic vicieuse (celle de l’IGPN), la flic cool (la commissaire), le flic à l’ouest (le lieutenant Mehdi Nebbou), le flic con (l’enquêteur qui bégaye), la fliquette efficace (celle qui fait les recherches sur PC). Quant au flic de base, c’est carrément du niveau des gendarmes de Saint-Tropez !
Au-delà du wokisme – qui inclut le féminisme et son effet secondaire, l’antimasculinisme –, on baigne dans l’idéologie anti-flic de base. Qui a dit que TF1 était une chaîne de droite ?
Circulez, le flic ou le surdoué à la télé, c’est aussi représentatif qu’un ministre ou qu’un député. Le pays est vraiment coupé de sa représentation. Le wokisme, cette application de l’idéologie gauchiste injectée de force dans le cul des populations occidentales, c’est aussi le LGBTisme. Qui ne présente pas que des garanties de bonne santé mentale ou physique.
ALERTE INFO - Le risque de contagion de la variole du singe est "très faible" dans la population en général mais "élevé" chez les personnes ayant plusieurs partenaires sexuels, selon l’agence de l’Union européenne chargée des maladies. (BFMTV) #VarioleDuSinge #monkeypox
— Mediavenir (@Mediavenir) May 23, 2022
Merci les gays pour ce cadeau ! Faut dire que l’exemple vient d’en haut.
c'est une idée du chef schwaby je parie pic.twitter.com/i18nn2VXou
— zimzum FREXIT=Sortir de la MAFIA UE⚡ (@zuuuumz) May 24, 2022
À Davos, chez Schwabie, il s’en passe de belles, artistiquement parlant. Pendant que nos élites s’éclatent, en bas, la vie devient de jour en jour plus difficile. On appelle cette avancée progressiste la paupérisation. Rien à voir avec Popper (l’imbitable Karl) ou les poppers des backrooms : paupérisation vient de pauper, pauvre, en latin.
Il y a quelques semaines, notre reportage sur Michel qui peinait à joindre les deux bouts avec une retraite de 850 euros par mois a déclenché un immense élan de solidarité. On est retourné le voir à Toulon. Grâce à vos dons, voici ce qui a changé dans sa vie. pic.twitter.com/teTxukXG2K
— Brut FR (@brutofficiel) May 18, 2022
Il va y avoir du sport
Où que vous soyez, les Michel, on vous souhaite d’avoir du courage, car il va en falloir. Le pauvre, au moins, développe ces qualités qu’on ne trouve pas forcément en haut. Le courage en fait partie, et ça rejoint les valeurs du sport qu’on aime bien. Le courage, c’est le booster personnel qui peut changer son propre destin.
On a parlé de Schwabie, alias Nosferatutu, dans le même genre, on a la grosse Tedros, qui aime danser en slip et soutif, mais qui fait surtout chier le monde avec ses fake news sanitaires. Ici, il essaye de nous faire, à nous Terriens, un bébé dans le dos. Mais un bébé vraiment pas beau : un bébé à gueule de Gates.
Quand Tedros dit "Malheureusement,un petit groupe minoritaire fait des déclarations trompeuses et déforme les faits"Comprenez qu'on est beaucoup à contester le #traité de pandémie de l'#OMS, qui reviendrait à laisser un groupe non élu décider de fermer un pays si ça leur chante pic.twitter.com/gnuA9uLKCp
— M*m*tch* (@mmtchi) May 23, 2022
Pendant que les membres de l’hyperclasse tentent de nous éliminer par empoisonnement, les larbins de ces GMI (grands maîtres internationaux), les GM, nous baratinent pour empêcher toute prise de conscience massive :
Amélie de Montchalin : "J'appelle à une mobilisation générale de tous les Français pour que nous fassions de l'écologie notre projet national" pic.twitter.com/BcYDgFH4nU
— BFMTV (@BFMTV) May 20, 2022
Dans ce monde à l’envers, retourné par le Diable, il faut se méfier de tout, des sourires, des paroles, et même des actes. Regardez cette magnifique brune :
Eh bien elle – élevée par sa mère et sa conjointe – fait partie du staff diabolique de Schwabie.
Première ministre de la Finlande à 37 ans , Young Leader de Davos et maintenant elle jette de l’huile sur le feu . Vous pigez maintenant la cabale infernale qui nous mène en enfer pour une utopie de leur secte 2030 ???? pic.twitter.com/xn4rNRtypL
— Patrice Nicoleau (@PatriceNicoleau) May 14, 2022
À côté de Sanna, même notre Borne nationale a l’air saine !
Franchement, plus on voit les mondialistes, plus on aime les chiens, et aussi les chats, quand même. Qui ne méritent pas leur réputation d’animal du Diable.
Very smart good boy ! pic.twitter.com/wjqN2UKE4x
— Figen (@TheFigen) May 25, 2022
Don't touch him ??!! pic.twitter.com/A4g5vIZd9s
— Animals Being Jerks (@Animalbelngjerk) May 10, 2022
Tu dois quand même te demander ce que tu fous là de bon matin... pic.twitter.com/SZO4WlY10s
— Théo Roumier (@theoroumier) May 23, 2022
On ne vous a pas épargnés avec ce défilé de démons mondialistes (démondialistes ?), on va se rattraper avec un shoot de beauté et de pureté. Voici Börte, la femme de Temudjin, alias Gengis Khan. Dans un film, hein, parce que ça date de 800 ans.
Et puis maintenant, notre hommage à Mauricette, qui s’est battue jusqu’au bout contre la maladie injectée par les mondialistes.