C’est le mois des hommages pourraves : il ne fait pas bon mourir en septembre 2021, sept mois avant l’élection présidentielle de 2022. On est sincèrement désolés pour les fans de Johnny et de Bebel – quasiment les trois-quarts des Français –, mais on a vécu les heures les plus sombres avec la Macronie, cette percheronne en gros sabots, qui a besoin de raccrocher les wagons du populo, après l’avoir bien tabassé pendant la révolte des Gilets jaunes (2019-2020) et la répression absurde de la dictature sanitaire (2020-2021).
Vous aimez Johnny et Bebel ? Alors ne regardez pas ce qui suit.
Dès que l’oligarchie s’empare d’un truc, et d’un beau truc, ça se transforme immanquablement en merde. Ces sagouins prennent de l’or, ils en font de la merde. Ce sont des désalchimistes. Le correcteur va sûrement nous engueuler, mais pas mieux, comme dit le moustachu des Chiffres et des Lettres, l’émission préhistorique de la vie d’avant.
On a remis la gonzesse en une parce que des gens – sérieux – ont gueulé et voulu nous envoyer une équipe : « où qu’elle est la bimbo ? » On a même reçu des menaces de mort (économique) : « si vous remettez pas la pute, adieu le financement participatif ». Autant dire que dans la minute, on a été pécher la première grosse pouf qui fait le trottoir sur Google, et c’est tombé sur Lagherta, enfin, Katheryn Winnick, qui n’est pas suédoise mais ukrainienne d’origine.
Naturellement, Vikings n’échappe pas à l’impératif capitaliste féministe : il faut une femme puissante, qui bute ceux qui tentent de la violer et qui arrache les mecs qui lui plaisent. Elle se tape même une nana, nous dit-on dans l’oreillette. Ça aussi, c’est un passage obligé dans la fiction 2021, il faut promouvoir l’homosexualité (féminine, car c’est une branche du féminisme).
La fiction, ça permet de tordre la réalité, c’est sa force : dans un documentaire, impossible de changer la réalité, il y a toujours 99 % d’hétéros.
- On se consolera en se disant que la petite ne risque rien
Reconnaissons que le mariage homo est un poil plus chic que le mariage hétéro :
La fiction, elle n’est pas qu’au cinéma : regardez ce titre du Figaro du 19 juillet 2021 :
Au-delà de cet article censé alimenter la psychose, il faut savoir que la variole, dite aussi petite vérole, c’était vraiment une sale maladie, un truc à plusieurs centaines de millions (de morts), et pas un ou deux comme la grippe mondialiste.
- Là, le vaccin, 100 % d’accord
Comparer la variole au covid, c’est comme comparer les Beatles ou les Stones à Bilal Hassani. Qu’on a retrouvé en bonne compagnie.
De deux choses l’une : soit Bilal n’a pas Internet, du coup il n’est pas tombé sur l’un de nos articles spécialisés, soit Bilal aime les… les… les hommes qui aiment les jeunes. Allez, on va rester polis, c’est notre BA du jour. Mais il n’y en aura pas d’autre.
On reste dans la Famille, comme dirait Jérôme Rodrigues, qui a perdu un œil au profit du NPA, avec la rencontre au sommet entre Richard Ferrand, qui n’est pas en taule, et Badinter, qui sauve les assassins d’enfants.
#DirectAN 40 ans d’abolition de la peine de mort célébrés aujourd’hui.
C’est avec émotion et respect que j’accueille Robert Badinter, qui nous honore de sa présence.
Il s’exprimera pour commémorer cette loi historique et porter son combat en faveur de l’abolition universelle. pic.twitter.com/FWNn8aTKjO
— Richard Ferrand (@RichardFerrand) September 15, 2021
On va poser la question à la con : doit-on retirer la vie à celui qui a retiré la vie à quelqu’un ? La réponse est dans une autre question : doit-on tolérer 200 000 avortements par an (et 300 000 immigrants) ? Si de nombreux avortements sont compréhensibles (viol, enfant trop lourdement handicapé, mineure enceinte par accident), la plupart pourraient être évités.
Mais dans le règlement interne du mondialisme, il faut favoriser quoi qu’il en coûte la baisse des naissances. Chez nous, pas au Niger, le champion du monde de la fertilité avec pas assez de ressources pour nourrir 7 grosses par femme, ou fille, d’où un sacré déversement à prévoir.
"La contraception sera désormais gratuite pour toutes les femmes jusqu'à 25 ans" annonce @olivierveran, ministre de la Santé
▶ #Les4V avec @Caroline_Roux pic.twitter.com/YBOs448ON0
— Info France 2 (@infofrance2) September 9, 2021
On parlait de sexe et de mort, vous ne devez pas connaître l’histoire de cette actrice allemande Ingrid van Bergen – qui, trompée par son amant, un jour l’a tué. Elle n’a pas été décapitée (on est en Allemagne mais plus dans les années 30, quand les SS à Plötzensee débitaient les opposants au régime à la hache), elle est sortie de prison après avoir tiré 4 ans sur 7 ferme. Depuis, elle s’occupe d’animaux, comme BB, et elle est devenue bouddhiste. On n’a pas entendu les féministes hurler au masculinicide.
Au fait, les bouddhistes sont-ils tous d’anciens meurtriers, dans leur karma ?
- Fais gaffe, Klaus !
- On t’avait prévenu, Klaus...
Message à tous les mecs : on ne trompe pas une Allemande ! Normalement là on aurait dû enchaîner avec une info sur Merkel ou les Grünen, ou Hitler, mais c’est calme sur le front germanique actuellement, et on a du matos chinois, alors on va parler de la Chine.
Le 9 septembre, c’était l’anniversaire de la mort de Mao, que personne ne pense à fêter en France. Même les maos ferment leur gueule, où est le respect ?
On reparlera de Mao et de son ascension dans un autre article, car ça va prendre de la place et les Français connaissent mal l’histoire de la prise de pouvoir de l’homme de Yan’an, de ses lieutenants et de ses troupes sur une période de 30 ans, face aux nationalistes du Kuomintang, aux Soviétiques, aux Américains, aux Japonais... C’est fascinant, c’est renversant, c’est chinois.
C’est le moment de passer au Brésil, un autre géant : un collègue nous faisait justement remarquer deux manifs que les médias français, ces timides, n’ont pas trop commentées.
Des centaines de milliers pro-Bolso contre des centaines anti-Bolso... Ça nous a inspiré une petite réflexion : ce qui emmerde les médias français (de nom, seulement) dans cette raclée, c’est que le Brésil, ce pays ô combien métissé, soit actuellement de droite populiste.
- Un Maracana pour Bolsonaro
Comme quoi rien n’est perdu, même si les décideurs mondialistes poussent à la roue du métissage chez nous.
Le patriotisme peut surgir là où on ne l’attend pas.