Les QAnon ont jusqu’au bout espéré la défaite du candidat grabataire pédophile corrompu. Las, Dieu n’a pas exaucé leur vœu le plus cher, rendre l’Amérique aux Américains et la Maison-Blanche à Donald. À la place, l’Amérique a été reprise par le pouvoir profond, sioniste et belliqueux, et les ploucs sont rentrés chez eux, non sans avoir montré que le Capitole, qui renferme les deux Chambres, leur appartenait. C’était le 6 janvier, et ça nous a mis du baume patriote au cœur.
Voilà la vraie démocratie, quand le peuple reprend les lieux de pouvoir. Ouh, que les médias n’aiment pas ça ! Les Gilets jaunes, un samedi de décembre 2018, avaient failli investir les lieux de pouvoir. Ce n’est que partie remise, un premier essai, un brouillon. La masterpiece arrive !
La journée de la désobéissance citoyenne a donc floppé, mais les grands fleuves commencent toujours par de petits ruisseaux. Le truc, c’est quand les ruisseaux se rejoignent. On peut les en empêcher un temps, mais pas toujours. Là encore, partie remise.
Sous attaque sanitaire depuis un an, et avant cela sous attaque terroriste, le peuple français se remet à peine de plusieurs KO. Mais il se relève, et c’est là l’essentiel. Le régime peut le rouer de coups, il se relèvera toujours.
Cette jolie restauratrice n’a peut-être pas ouvert son resto, mais le cœur y était, et de toute façon, ça bout sous le couvercle de la cocotte. Le 16 septembre 1920, puisqu’on parlait de l’Amérique, une charrette tractée par un cheval s’arrête devant la banque JP Morgan, la plus puissante du pays.
Il est midi dans le quartier de Wall Street, centre de la nouvelle domination financière de l’Amérique sur l’Europe. Elle y déverse son trop-plein de dollars, c’est parfaitement décrit dans le livre de Delaisi, puis il y aura la fameuse crise de 29, le NSDAP qui passe en un an de 2,6 % à 18,6 % du corps électoral, le grand b(l)ond en avant !
Soudain, tout explose. Des dizaines de morts et de blessés, la charrette était bourrée de dynamite et de pièces de métal. Il y a un siècle, la lutte des classes, mine de rien, fait rage aux USA. Les grèves sont très dures, la répression encore plus : ça fusille de l’ouvrier à tout-va. L’explosion, comme souvent avec les actes terroristes nébuleux (ici attribué à l’anarchiste italien Mario Buda, qui d’ailleurs ne sera pas véritablement inquiété, hum, hum…), va au contraire accroître les capacités de l’État en matière de lutte antiterroriste, c’est-à-dire de lutte antisociale, autrement dit la traque des résistants au capitalisme. C’est à cette occasion qu’un jeune avocat, répondant au doux nom d’Edgar Hoover, se fera un nom dans le renseignement.
La morale de cet attentat ? Il n’a pas servi le peuple américain, les QAnon d’hier.
- Les anars de 1920, c’est autre chose que les antifas de 2020
Ce petit détour historique pour dire que la lutte armée contre le pouvoir, aussi injuste soit-il, est vouée à l’échec, le pouvoir utilisant la moindre velléité de micro-soulèvement armé (voir le cas Fiorile ou même les auteurs des attentats de 2015-2016) pour resserrer encore les boulons du couple surveillance-répression. Alors, quelles sont les armes du peuple, d’un peuple soumis à un régime de plus en plus ignoble, comme on le voit aujourd’hui en France ?
Il reste le boycott et l’information. Le boycott, c’est un truc très simple, très efficace et anonyme : arrêter d’acheter la propagande officielle, arrêter de la nourrir, la laisser crever de faim. Regardez ce qu’est capable d’écrire un salarié de l’AFP, centrale de toutes les salades mainstream :
Et voyez comment la courageuse et compétente Martine Wonner se fait traiter par le microbe de Conspu Watch :
Mais ça, ça fait partie du combat quotidien, de la résistance contre les disciples de Satan. Attendez, qu’est-ce que Satan vient foutre là-dedans ? N’allez pas imaginer des croix sur le sol avec des flammes et des chats noirs : Satan est le mot fourre-tout pour les saloperies que la dominance mondialiste nous inflige et nous prépare. Regardez ce titre alambiqué de Society, le canard socialo-sioniste qui a eu les honneurs d’une invitation à l’Élysée sous Hollande :
Sauf que des pédos, ça pullule dans l’hyperclasse actuellement ! Chaque jour il y en a un qui tombe de l’arbre ! C’est à se demander si à un certain niveau de pouvoir, ce ne serait pas ça le pass, la carte, la clef. Society, qui ne croit pas au Diable, devrait sortir un peu, s’intéresser aux prolongements de l’affaire Epstein. Pourquoi pas un numéro spécial, comme celui consacré à Dupont de Ligonnès, sur Jeffrey Epstein, Ghislaine Maxwell, le Mossad, le chantage sexuel, l’île aux pédophiles, et les éliminations crapuleuses qui ont suivi la mort étrange de Jeffrey ? C’est vendeur, les gars, il y a là de quoi remplir des dizaines de pages... faire du blé ! Manque juste le courage...
L’humour qu’on faisait sur les dirigeants du monde, ceux de l’organigramme non officiel, rejoint carrément la réalité. Le réel d’aujourd’hui est devenu la déconne d’hier.
Le combat sera donc – pour l’instant – informationnel, et l’adversaire le sait. C’est à qui gagnera le plus de têtes. Eux ont l’argent et le mensonge, nous la vérité (sous « nous », entendre l’Internet non aligné). Pendant que des stars de l’info ou de la réinfo émergent sur le Net, et constituent la nouvelle élite naturelle, le Système, à bout de souffle, produit ses propres héros, des héros à l’image du Système, de plus en plus nazes...
Depuis la victoire trafiquée de Joe-le-pédo flanqué de sa colistière à mâchoire de cheval, la presse mainstream essaye de nous vendre la belle-fille de Kamala en beauté mode. Laquelle, avec une barbe, ressemblerait étrangement à Cédric Herrou, le héros récompensé par la LICRA pour avoir violé les lois françaises et fait entrer des clandestins sur notre territoire, parmi lesquels, un jour, on retrouvera au moins un violeur ou un assassin.
Une chose est sûre, si la vérité n’est pas du côté de Satan, la beauté non plus.
Dernière héroïne grotesque fabriquée par l’hyperclasse mondialiste, la Suédoise Greta, alors que les Suédoises sont si jolies. On vante un petit monstre moche et méchant, et on met de côté les magnifiques blondes du Nord, intelligentes, ouvertes, et pas farouches.
Si les ingénieurs sociaux du mondialisme poussent un peu leur logique, Greta devrait finir dans un film porno qui fera s’époumoner d’exaltation l’intelligentsia de gauche à la tête de nos médias. Gang-bang pour le climat ! Fuck le fascisme !
Les Suédois ont Greta Thunberg, nous on a Bertoulle Beaurebec. Bertoulle Beaurebec ? Vous ne savez pas qui c’est ? Le Parisien en a fait un portrait dithywambique.
« Je suis une salope heureuse, une pute cultivée et réfléchie. » Les mots sont bruts, percutants. Dans les premières pages de « Balance ton corps », le livre qu’elle a publié il y a quelques mois, Bertoulle Beaurebec se définit ainsi. En utilisant ce qui pourrait ressembler à des oxymores. [...]
Afroféministe, artiste, performeuse, fakir, avaleuse d’épée, cracheuse de feu, « pansexuelle » (le fait d’être attiré, sentimentalement ou sexuellement, par un individu de n’importe quel sexe ou genre) désormais lesbienne, écrivaine, Bertoulle Beaurebec est aussi travailleuse du sexe. Escort jusqu’à récemment, elle tourne également régulièrement dans des films porno.
Eh ben ça n’a pas loupé, Arte lui a consacré un sujet dans l’émission féministo-socialo-sioniste 28 Minutes :
Putain, quel talent ! Van Gogh peut aller se coucher.