Suite à un abondant courrier (plus de 6 millions de lettres de dénonciation), nous avons dû, à regret, rhabiller la pétasse de une (qui a du coup perdu son emploi). Voici donc le nouveau En bref avec moins de peau et plus de textile, moins de démagogie sexiste et plus de contenu politique, donc nettement plus chiant, on va pas se mentir. Et pour vous prouver qu’on n’est pas des menteurs, on va tout de suite attaquer cette 5e ou 6e chronique samedimadaire avec le problème des Miss France à gros seins. Un sujet que personne n’ose aborder, et pour cause : ça doit toucher au pouvoir profond, les loges macroniques, les illuminations, les lubies, tout ça.
Il nous a semblé important de saisir à pleines mains cette évolution à la fois biologique et sociologique : avant, les candidates avaient une petite poitrine haut perchée, aujourd’hui on voit des filles qui la ramènent un peu trop avec leurs nibards de ouf. Elles les secouent sous le nez du jury !
Quelle démagogie, quelle provocation ! Heureusement que le jury est généralement constitué de personnes raisonnables et bigleuses avec des relents de féminisme et d’homosexualité, parce que sinon...
- Non mais regardez celle de droite, cette paire de toupets !
Si on avait été 100 % féministes (l’homme est féministe mais pas à plein temps, juste avant de s’accoupler, après il redevient très rapidement un salaud, le temps de reprendre son souffle), on aurait mis en avant une photo de femme cérébrale qui réussit, par exemple notre ministre de la Justice, Nicole Belloubet.
- Pour se détendre, Nicole gutture dans un pommeau de douche
On lui jette pas la pierre, pas facile d’être ministre de la justice d’un gouvernement profondément injuste !
Nous devrions mettre plus souvent en avant (et pas derrière) les femmes qui ont des qualités autres que la beauté physique, même si beaucoup d’hommes ne regardent que ça au départ, avant de s’intéresser à l’âme et éventuellement au cœur.
Dans le genre, un certain Éric Zemmour ne montre pas le bon exemple : il drague à tout va et parfois il est obligé d’aller dans des maisons spéciales pour assouvir ses instincts de mâle dominant de droite. Mais il a été puni de sa gourmandise : privé de Nutella le petit Riri !
Nutella ne diffusera plus de publicités avant les émissions d'Eric Zemmour https://t.co/wOGhExFUUs pic.twitter.com/qtyxlB01Fa
— BFM Eco (@bfm_eco) October 8, 2019
L’incroyable punition : plus de pub Nutella pour ceux qui suivaient Z&N sur Paris Première, la chaîne aux deux abonnés. Sociologiquement, ce sont les femmes en manque d’affection et les adolescentes fatigantes qui bouffent du Nutella à la louche. Il serait étonnant que ces goinfreuses constituent le public de Zemmour face à Naulleau, l’homme qui est tombé dans le sionisme quand il était vieux. Depuis que le mauvais Éric – celui qui parle mal des femmes et de la gauche – reçoit du bois dans les médias bien-pensants, le bon Éric – celui qui a été hanounisé – n’arrête pas de se justifier, alors qu’on lui a rien demandé.
Consterné d'entendre ce matin sur France Inter Léa Salamé et Sonia Devillers qualifier Zemmour&Naulleau d'"émission d'Eric Zemmour sur Paris Première". Chacun pourra vérifier ce soir qu'il s'agit d'une émission de débat où j'apporte chaque semaine la contradiction à mon opposant.
— Eric Naulleau (@EricNaulleau) October 9, 2019
C’est l’âme de Naulleau qui souffre. Mais on est dans un automne politique où ce ne sont pas les feuilles mais les masques qui tombent : le grand masquier perd ses feuilles et des vérités crues apparaissent : Gad Elmaleh vole des vannes, Patrick Bruel harcèle les masseuses, Éric Naulleau renonce à l’intelligence, et notre bon vieux Premier ministre Édouard Philippe apparaît pour ce qu’il est, le chien méchant de la Bourgeoisie. On parle de radicalisation à tout va, mais le pouvoir français a tombé le masque et révélé sa vraie nature, violente, égoïste, menteuse.
Attendez ! On revient sur Zemmour parce qu’après Nutella, la Trierweiler nous en a sorti une bonne, reprise aussitôt de volée par notre bimbo sioniste préférée :
Valerie Trierweiler vient d'annoncer qu'elle ne mettrait plus les pieds sur @CNEWS CNEWS parce que la chaîne offre une place de chroniqueur à Zemmour.
J'espère que vous avez tous sorti les paquets de mouchoirs car je ne suis pas certaine que le monde va s'en remettre.
— Noémie Halioua (@NaomiHalll) October 10, 2019
Que celui qui n’a jamais été con une fois dans sa vie lui jette la première roquette. Comme il n’y a plus de frontières, entre les sexes, les pays, la morale et l’immorale, tout est permis.
Mais il n’est pas interdit de fermer les yeux, par exemple devant cette pub :
Le petit Glux lui aussi a franchi les limites de la connosphère en demandant à vitrifier Erdogan et son armée, pour une fois pas dans la radio de sa meuf, la mandibulaire Léa Salami :
#Turquie
"Il nous traite comme des chiffe-molles, on est ses otages. #Erdogan nous parle comme on parle à des esclaves (...) L'Europe doit se ressaisir (...) On a des moyens d'action"
@rglucks1 député européen, @placepublique_ #BourdinDirect pic.twitter.com/5Qb2UfFoQ0— RMC (@RMCinfo) October 11, 2019
Y a pas que dans les bahuts du 9-3 que le niveau baisse... Le mouvement est général. Avant, la gauche et la droite échangeaient des arguments travaillés à fleurets mouchetés ; aujourd’hui on se balance des pelletées de merde à travers la gueule, la preuve avec le combat de poids moyens Rost contre Messiha :
Jean Messiha (RN) menacé de mort par le rappeur Rost (Chroniqueur) au sortir d'un débat sur CNews « Ce sont des gens comme toi qu’il faut assassiner » ! pic.twitter.com/Z5mmhuiRT1
— En Cause (@EnCausee) October 10, 2019
Le niveau de violence verbale monte, et la Tolérance se barre doucement sur la pointe des pieds. Tous ceux qui ont accès aux médias mainstream en profitent pour se lâcher, ici c’est Gad Elmaleh qui essaye de récupérer son image pourtant en mille morceaux. Il ne s’en remettra jamais mais il ne le sait pas. On a changé d’époque, l’époque est à la révolution, dans le vrai sens du terme : rien ne sera plus jamais comme avant.
#attentatPrefecture : @gadelmaleh "Comme des millions de gens en France, je me dis quelque part, la répétition de ce fameux « on savait…il y avait…on nous avait dit… » […] c’est frustrant pour nous, on en a marre, on a envie que les choses se fassent pour prévenir" #RTLMatin pic.twitter.com/T3SFFpWRJ5
— RTL Pro : RTL - RTL2 - FUN RADIO (@RTL_presse) October 11, 2019
Gad expert en antiterrorisme... il a piqué ça aux Américains ? Des fois on se dit qu’on ne vit pas dans le même monde que ces créatures du démon. Heureusement, il y a désormais le monde virtuel.
La grande vie... virtuelle
Dans Horizon, les Blancs ont des avatars blancs et les Noirs des avatars Noirs. Il est drôle de constater que les grands réacteurs d’antiracisme que sont les GAFA sont d’un racialisme forcené. Pourquoi la Blanche ne se rêve-t-elle pas en Noire et la Noire en Blanche ?
Facebook c’est bien la multinationale de tous les racismes, de toutes les discriminations car sur Facebook, un Blanc reste un Blanc et un Noir un Noir. C’est tout simplement dégueulasse. On a le droit de changer de sexe, alors pourquoi pas de couleur de peau ou de discrimination ?
La vie virtuelle où l’on souffre moins, où l’on se sent mieux, c’est un univers qui existe déjà et qui n’est pas (encore trop) exploité par les ordures mondialistes. Ça s’appelle l’imaginaire, c’est le produit de l’imagination et de la souffrance humaines, c’est le rêve de l’homme confronté au réel décevant qui produit des mondes enchanteurs qui sont parfois plus vrais que nature.
Quand des artistes ou des scientifiques rêvent leur monde et le créent, le réinjectent dans le réel, alors le monde devient un petit peu meilleur. Quand c’est une Greta qui raconte des connasseries sous l’influence de ses parents tordus ou une ado qui rêve d’être Nabilla, c’est de l’imaginaire de pacotille qui va dans le sens de l’exploitation de l’homme par l’homme, et plus précisément du con par le salaud.
Bonus
Pour nos lecteurs myopes qui veulent vérifier que Megan Fox est bien correctement rhabillée :