Près d’un mois après les événements du Trocadéro, les commerçants sont toujours en colère. Vitres brisées, magasins pillés, rideaux de fer endommagés...
Aucun d’entre eux n’a oublié le soir du 13 mai, lorsque le rassemblement pour fêter la victoire du Paris Saint-Germain en championnat de France a viré au cauchemar.
Les dégâts ont été considérables : au total, le coût des réparations atteint 1 million d’euros, selon le chiffrage des commerçants, confirmant nos estimations (nos éditions du 16 mai 2013). Pour le moment, les démarches qu’ils ont entreprises auprès de leurs assurances n’ont pas abouti.
Alors, pour faire entendre leur voix, ils ont créé, quelques jours après les événements, l’Association des commerçants du Trocadéro (ACT). Réunis vendredi au café Kléber, l’un des établissements les plus touchés par les violences, une dizaine d’entre eux ont fait part de leur colère face à l’inaction de l’administration.
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