Alors que l’INSEE vient de publier les chiffres de la natalité en France en annonçant un léger rebond, des femmes et des hommes font le choix de ne pas faire d’enfants par conviction écologique.
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Dans ce contexte des femmes et des hommes font de la non parentalité un choix de vie, pour certains il ne faut pas rajouter de pression démographique, pour d’autres impossible de mettre au monde un enfant sur une planète dans cet état. On les appelle les « child free » ou encore les « ginks » (« green inclinations, no kids »).
Une association s’engage sur ce sujet
Démographie responsable, « une association écologiste et décroissante qui milite pour la stabilisation puis la lente diminution de la population humaine ». Vous trouvez sur leur site un compteur de la population mondiale… qui monte seconde par seconde… l’objectif : nous interpeller sur la croissance et donc la pression démographique.
C’est d’ailleurs un sujet à évoquer pour Hélène, 33 ans, journaliste :elle ne fera pas d’enfant par choix, et pour elle il faut oser parler démographie pour sauver la planète des humains.
Faire des enfants c’est mauvais pour la planète ?
Je ne sais pas si vous vous souvenez d’une infographie de l’AFP en 2017 qui avait été largement commentée : « Réduire son empreinte carbone »… avec des gestes. Changer ses ampoules, le plus petit, et le plus important : « avoir un enfant en moins »… Forcément ça fait réagir et l’agence avait précisé avoir relayé une étude parue dans la revue Environmental Research Letters dont un des auteurs avait d’ailleurs justifié ce choix : il s’agit surtout de ne pas faire un enfant dans cette société de surconsommation…
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