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Élie Semoun s’attaque à Blanche Gardin et à la liberté d’expression

C’est l’histoire d’un humoriste oublié qui s’attaque à l’humoriste numéro un du moment. C’était déjà le cas quand Élie critiquait Dieudonné, à qui il reprochait de faire de la politique. Là, il reproche à Blanche de faire aussi de la politique. Depuis quand c’est interdit de faire de la politique, de rire et de comprendre ?

 

La leçon de sionisme du Pr Dubocu

Lui, son créneau, ce serait plutôt le sociétal pour les 8-12 ans, tant son humour est dépassé. D’ailleurs, il ne tient plus que par la série affligeante des Ducobu, un divertissement pour attardés mentaux bien dans la ligne de l’époque. En face, même si Blanche ne se revendique pas politique, elle est complètement dans l’air du temps, mais version réseaux sociaux.

Elle incarne la fille sans valeur(s) qui essaye de réfléchir à ce qu’il se passe, et qui dit des horreurs sans s’en rendre compte. Elle est tout simplement irrésistible. Et elle n’a pas le melon : elle a refusé 200 000 euros de Netflix pour apparaître huit heures dans la bande des LOL, qui rit sort !. Il s’agit de people (de l’entre-soi) plus ou moins drôles qui s’amusent à se faire rire, ou pas.

Sa dignité sauvée, Blanche a passé la vitesse supérieure en balançant le fameux « depuis le 7 Octobre, je suis antisémite », une vanne stratosphérique à la Dieudonné qui a dû faire cinq fois le tour de la Terre. Une grenade dégoupillée dans l’univers de la culture ouatée, une tête chimique sale dans le terrier des bien-pensants, un coup de sabre dans le silence des moutons.

 

 

Terrorisés par la vitesse d’exécution des réseaux sociaux, les stars, notamment de l’humour, n’osent plus mettre le nez dehors, vu qu’elles sont toutes ou presque inféodées au macronisme, au sionisme ou au socialisme sauce Hidalgo. Une vraie bande de faux-culs flippés qui ne fait plus rire grand-monde. D’ailleurs, Élie Semoun, avec son humour potache qui a oublié de grandir – un cas de nanisme idéologique –, a dû annuler nombre de ses galas, pendant que Blanche fait salle comble partout.

Comme il ne peut pas s’attaquer à elle sur le plan artistique, il choisit le terrain politique, où il n’est pas très solide non plus. C’est un sioniste, certes gentil, c’est-à-dire de gauche, mais israéliste quand même. C’est dans les colonnes du JDD, un canard sioniste de gauche devenu sioniste de droite, que l’ex-humoriste a pleurniché.

Élie est pour la liberté d’expression, sauf celle de Guillaume Meurice, de Dieudonné et de Blanche Gardin quand ils vont trop loin, par exemple dans le racisme et l’antisémitisme, mais comprendre surtout l’antisémitisme. Élie, lui, a droit aux sketchs racistes anti-arabes ou anti-portugais. Normal, quand on tient les poids et les mesures...

Suite à cette intervention malheureuse, Marcel en 4-4-2 a lancé le boycott des spectacles d’Élie Semoun. On lui souhaite bonne chance, sauf que le grand public ne va déjà plus le voir sur scène, à part les enfants au cinéma. Dans une bluette pour écoliers en vacances, ça passe, mais humoristiquement, et encore plus politiquement, le comédien n’est plus crédible.

Un copycomic de Marcel ?

Blanche reprend le flambeau

 






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62 Commentaires

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  • Dieudonné a écrit le spectacle "Le mur", qu’Elie Semoun s’est pris dans la tronche : le mur qui sépare le petit artiste du grand, le talent du génie. Talent tout relatif, génie incontestable : cet ancien duo en est la thèse et l’antithèse (dont découle une synthèse). Ce qui fait un humoriste, un bon j’entends, c’est sa liberté en tant qu’auteur, sa liberté de ton, le choix de ses thèmes (faire rire avec son temps, être à la page). Un humoriste a vocation à repousser les limites (son ennemi est l’auto-censure), et a pour fonction de faire rire en faisant réfléchir, de faire s’interroger ses contemporains sur le monde. Ce monde, totalement déglingué, complètement taré. Le monde et ses failles, le monde et sa connerie, le monde et sa haine crasse, ses drames et ses tragédies : rire de ce monde en général, et de certains en particulier, qui nous opposent tout ce qui a de plus détestable. Elie Semoule se trompe, et lourdement, se vautre, comme certains disent ici, il n’est plus un humoriste, mais un censeur, à l’égal du philosophe qui prend parti, jusqu’à en provoquer des guerres. Le monde...du spectacle, est un terrain vague, un espace vide, vide de sens, de substance, il se regarde, s’auto-plébiscite, il parade, bref : se meurt et s’enterre, bien profond. Tout aussi profond que le fuck que je leur adresse : qu’ils aillent tous se faire enc...’fin bon... !!! (Pour paraphraser le génie).

     

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  • #3451281

    Elle est objectivement nulle, bien que ce soit une femme, donc pour beaucoup un dieu vivant. (au physique moyen quand même). Résumé de plusieurs de ses sketches : elle raconte qu’elle se fait enculer et compare l’auteur (les ?) à un singe essayant un autre trou ; se fait doigter mais reste choquée à vie parce qu’il a gardé son alliance ; n’aime pas qu’on lui tienne la tête quand elle fait une fellation "parce qu’elle sait dans quel sens ça va" (gné ?).
    On dirait une thérapi(n)e : rigolo hein ?!
    L’autre est encore plus inexistant mais bon le RSA c’est pas pour eux hein.

     

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    • #3451545

      Effectivement c’est une femme qui tente de faire carrière dans l’humour.
      Il n’est ni obligé d’en faire une icône pour autant, ni condamner les gens qui apprécient son « travail ».
      Pour une femme, le travail a vocation d’accouchemement.
      Malgré quelques souvenirs de sketchs qui datent, elle n’a pas beaucoup d’intérêt pour moi, ni Dieudo en ce moment.
      Seulement un fait de société qui peut être de bonne volonté raisonnée : la critique du sionisme.
      On aura avoir un pseudo combinant les auteurs misogynes les plus prestigieux, une femme peut essayer d’être pertinente si la critique est constructive.

       
    • #3451548

      Lorsqu’un discours avec si peu de dialectictique débute avec le terme « objectivement » de façon péremptoire, le reste est vide si ce n’est que de la subjectivité.

       
    • #3451581

      toi tu n’as encore rien compris au deuxième degré : ce qui n’est pas drôle au premier degré devient désopilant au deuxième (exemple le discours d’un sioniste). Blanche Gardin joue des personnages, comme Dieudo

       
    • #3451688

      Si l’on a pas compris le rôle de femme dépressive qu’adopte Blanche Gardin dans ses sketchs et citer des extraits de manière méprisante, il est compliqué d’être objectif.
      Sans nécessairement se bidonner, il possible d’apprécier encore l’humour grinçant.
      Par ailleurs, le vrai sujet objectif est la réaction tribale d’Elie Semmoun.

       
  • #3451313

    Certains n’arrivent pas à comprendre qu’un artiste d’Etat ne justifie par aucun talent sa place. C’est presque risible !

    L’assistanat des groupes de presse, du cinéma, des intermittents, produit la même chose que le RSA.

    L’explication de ne durer ou pas dans le métier "d’artistes" est complétement idiote. Dans l’humour, le comique troupier il y a toujours eu une gamme complète de genre et de thème.
    La question est du travail, voir même de la souffrance.

    Un artiste doit foutre sa peau et ses tripes en jeu, c’est ainsi qu’il va se renouveler quelque soit son genre.

    Les aides sont une malédiction. Seimoun depuis 20 ans surfe un peu sur les mêmes pitreries et des comédies pour les QI d’enfants. Sans cela il aurait creuser d’autres voies comme Dieudo.

     

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  • #3451381

    Certains aiment la flagellation visiblement, il attaque en tant qu’humoriste mais pleurera en tant que juif quand on s’en prendra a lui, comme les supporters du Maccabi Tel-Aviv.

     

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  • #3451437

    Souvenez vous, qu’Élie Semoun avait fait du chantage à l’antisémitisme à Renaud Camus, et on voyait qu’il avait un plaisir sadique, en voyant l’autre patauger dans ses excuses, ça se lisait dans ses yeux, c’était dans ’’Tout Le Monde En Parle’’ du 23/11/2002 (trouvable sur YouTube ou l’INA) ; pas étonnant venant d’un Sayanim.

     

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  • #3451478

    #kissmyasselie

     

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  • #3451500

    Elie, change de public ! Va à Tel-Aviv...

     

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  • #3451541

    c’est bien ses choix politiques et idéologiques que l’on lui reproche.
    A quoi bon fustiger son (manque de) talent, ses salles vides,

    Si on réfute les méthodes "de gauche" qui dénigre ou cancel l’individu, la moindre des choses c’est de ne pas faire pareil...

     

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  • #3451699

    Pour la partie se voulant subversive, on sent que l’écriture a été inspirée, on dirait du pseudo-Dieudo inversé ; de l’humour aux frais de ceux qui ne sont rien, des sans-dents et des sans grades.

    A en juger par sa compréhension de l’affaire du blasphème au prépuce sur Rance Inter, Elie ce n’est pas Radio Londres où les Français parlaient aux Français, c’est Radio Tel Aviv où les Goyim se rient des Goyim.

    Quant à Blanche Gardin, comme dirait Coluche, qu’est ce que c’est que cette goya qui vient manger dans la gamelle de nos très chers humoristes casher sans faire sa téchouva pro-sioniste ?!?

    Quoi que l’on en pense, malgré son logiciel gauchiste sur le mode binaire " le RN c’est caca", Blanche a bien compris où se trouvent les enjeux en terme de liberté et de démocratie, elle permet à son niveau de faire progresser le vulgum pecus en le soumettant au plaisir aristocratique de déplaire aux gardiens de la révolution, car la France a aussi ses gardiens de la révolution, et comme en Iran ils censurent les hérésies et contrôlent et règlementent les tenues vestimentaires des femmes conformément à leur conception du progrès.

    Donc laissons Elie patauger dans la Semoun de blé dur sur le dos des cocus de la liberté, et cultivons notre Gardin !

     

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  • #3453019

    Le plus marrant avec Elie Sémoun, c’est son physique de diablotin malfaisant. Et ça c’est ma formulation perso pour éviter de dire un gros mot...

     

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