La doctrine officielle d’un réchauffement global de la planète, qui serait provoqué par l’activité humaine, n’est qu’un ensemble hétéroclite de dogmes imposés, d’opinions préconçues et de fausse science.
Le canular du réchauffement global provoqué par l’homme est en train d’être imposé par décret au monde entier. La fausse science manipulée pour étayer cette théorie ne représente qu’un fascisme rampant dont l’objectif est d’interdire tout véritable débat ouvert. Cela révèle le fait que cette hystérie du changement climatique n’est qu’une farce sinistre destinée à briser les libertés publiques et à imposer le pouvoir centralisé du Nouvel Ordre Mondial.
Dans une interview accordée à un journal tchèque, Vaclav Klaus, Président de la République Tchèque, a accusé le dogme du "politiquement correct" d’empêcher un plus grand nombre de scientifiques et d’hommes d’Etat de rendre public leur scepticisme concernant la cause humaine du réchauffement climatique. C’est précisément la situation où nous sommes parvenus. Au milieu d’une absence bizarre de sens commun, les institutions établies et la gauche officielle ont réussi à étouffer tout débat sérieux et contradictoire sur le réchauffement global. Ils accompagnent leurs arguments d’une sorte de prétention nébuleuse, selon laquelle le fait d’exprimer un désaccord avec les théories officielles traduit une attitude bigote, rétrograde et même raciste.
Le fait même que les avocats du réchauffement global provoqué par l’homme aient besoin de recourir à une accusation de racisme, dans un débat scientifique sur le changement climatique, prouve amplement que leurs arguments sont superficiels et vulnérables.
En novembre dernier, nous avions déjà publié un article sur le réchauffement global, et montré que ce réchauffement était essentiellement provoqué par l’activité solaire. Nous avions dit, d’une manière quelque peu ironique, que ceux qui exprimaient des doutes sur les causes humaines du réchauffement global seraient bientôt comparés aux négationnistes de l’Holocauste par les médias et les leaders culturels autoproclamés, qui exigent une adhésion totale à la religion officielle concernant le changement climatique.
Voici ce que nous écrivions : "L’affirmation que le réchauffement global serait dû à l’activité humaine est imposée à l’opinion publique avec une telle violence, surtout en Europe, que le simple fait d’exprimer le moindre doute revient presque, dans certains cas, à être accusé de négationnisme de l’Holocauste. Le lavage de cerveau insipide que nous subissons de la part de la télévision, des journaux et des têtes pensantes exaltées, est tellement puissant que les sceptiques du réchauffement global sont obligés de porter une "étoile jaune" symbolique. Ils ne peuvent exprimer leurs doutes qu’à voix basse et en des termes conciliants, sous peine d’être accablés d’injures, harangués et hués par une armée de bienpensants convaincus qu’ils sont en train de sauver leur Terre Mère chaque fois qu’ils recyclent leur bouteille de bière ou qu’ils jettent leurs papiers sales dans la poubelle consacrée à cet effet."
Mais il ne s’agit plus d’une plaisanterie !
La semaine dernière, Ellen Goodman, du Boston Globe, a écrit un éditorial dénonçant tous ceux qui osaient commettre le sacrilège de manifester leur désaccord avec le rapport sur le changement climatique établi par l’IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change : "Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique"), à l’initiative de l’ONU. Voici un extrait de son papier : "J’aimerais dire que nous avons atteint le point où le réchauffement global ne peut plus être nié. Disons que ceux qui nient le réchauffement global (NDT : causé par l’homme) sont à mettre sur le même plan que ceux qui nient l’Holocauste, sauf que ceux-ci nient le passé, alors que ceux-là nient le présent et le futur."
Cette attaque en règle révèle ce qui est au cœur du programme des défenseurs du réchauffement global. Comme cette clique de fanatiques grotesques du pouvoir mondial ne peut pas s’opposer sérieusement aux arguments incontestables prouvant que le changement climatique actuel est essentiellement dû à l’activité solaire et aux cycles cosmiques naturels à long terme, elle doit se résoudre aux méthodes de la propagande et à de viles attaques personnelles, pour renverser le cours de l’opinion publique.
Au cours d’un débat sur la BBC, l’un des membres du Panel de l’ONU avait exhorté les téléspectateurs à examiner tous les arguments en présence, et à étudier, outre les causes humaines, les autres causes du réchauffement climatique. Il avait été accueilli par les huées de l’auditoire, et on lui avait coupé la parole. On considère à présent comme un sacrilège le fait de simplement mettre en doute le dogme officiel sans cesse rabâché, comme un disque rayé, par des automates victimes du lavage de cerveau officiel.
Ils hurlent qu’ils ne peuvent pas se permettre d’avoir un tel débat contradictoire, prétendant que la fin de la planète est proche, et affirmant que les incrédules doivent être symboliquement cloués au pilori de l’opinion publique, dans l’intérêt même de la survie du genre humain.
Mais ceux qui ont de la mémoire et encore assez de nerfs pour penser par eux-mêmes se rappellent qu’en matière de climat, les prophètes de malheur ont prouvé depuis des décennies qu’ils s’étaient trompés. A la fin des années 60 et au début des années 70, l’hystérie à la mode, en matière de changement climatique, qui prédisait aussi la fin de l’humanité comme à présent, tournait autour du concept du refroidissement global ! Déjà, on avait négligé la prise en compte des fluctuations à long terme des températures, ainsi que le fait que la terre venait d’achever un cycle appelé "petite époque glaciaire."
Un écrivain, John Bender, a excellemment compilé les citations faites depuis les dernières décennies par des spécialistes environnementaux, qui nous prédisaient que le ciel allait nous tomber sur la tête, et qui ont été par la suite complètement discrédités. Gardez ces citations en mémoire, quand vous entendrez quelqu’un répéter inlassablement les slogans qui lui ont été endoctrinés par les pouvoirs dominants.
"Le refroidissement continuel et rapide de la terre depuis la seconde guerre mondiale est en rapport avec l’augmentation de la pollution de l’air associée à l’industrialisation, à la mécanisation, à l’urbanisation et à l’explosion de la population" (Reid Bryson, "Global Ecology ; Readings towards a Rational Strategy for Man" - 1971).
"La bataille pour nourrir l’humanité est perdue. Dans les années 70, le monde va connaître des famines. Des centaines de millions de personnes vont mourir de faim, en dépit de tous les programmes d’urgence déjà entrepris. La seule solution est le contrôle démographique" (Paul Ehrlich, "The Population Bomb" - 1968).
"Je suis prêt à parier de l’argent que l’Angleterre n’existera plus en l’an 2000" (Paul Ehrlich en 1969).
"Dans dix ans, toute vie animale importante dans les mers aura disparu. Des zones côtières importantes devront être évacuées en raison de la puanteur provenant des poissons morts" (Paul Ehrlich, "Earth Day" - 1970).
"Avant 1985, l’humanité va entrer dans une époque de raréfaction des ressources. On ne pourra presque plus faire face à l’approvisionnement de nombreuses ressources minérales de base" (Paul Ehrlich en 1976).
"La tendance actuelle au refroidissement réduira la productivité de l’agriculture pour tout le restant de ce siècle" (Peter Gwynne, Newsweek, 1976).
"De nombreux signes évidents prouvent que le climat de la terre a commencé à changer de manière radicale. Ces changements peuvent occasionner une réduction draconienne de la production alimentaire. Presque toutes les nations de la terre devront en subir les répercussions politiques. Cette chute de la production alimentaire pourrait commencer très prochainement… Les preuves de ces prédictions ont commencé à s’accumuler de manière tellement massive que les météorologistes ont beaucoup de mal à suivre" (Newsweek du 28 avril 1975).
"Le refroidissement actuel a déjà tué des centaines de milliers de personnes. S’il continue, et si personne ne prend des mesures énergiques, il provoquera une famine mondiale, un chaos généralisé et même une nouvelle guerre mondiale. Tout cela pourrait survenir avant l’an 2000" (Lowell Ponte, "The cooling" - 1976).
"Si la tendance actuelle se poursuit, le monde sera confronté en 1990 à un refroidissement moyen des températures d’environ quatre degrés, et même de onze degrés d’ici l’an 2000… C’est environ le double de ce qui serait nécessaire pour nous plonger dans un nouvel âge glaciaire" (Kenneth E.F. "Watt on Air Pollution and Global Cooling, Earth Day", 1970).
L’IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) est un organisme politique, pas une organisation scientifique. Ses proclamations sont donc purement destinées à permettre d’atteindre des objectifs politiques. Le document qu’il a publié le 2 février dernier, et qui a fait l’objet, pendant des journées entières, d’une couverture intense et dévote de la part des médias officiels, n’était qu’un manifeste politique s’appuyant sur un projet scientifique qui n’a même pas été mené à bien. Que vaut une "expérience scientifique" dont les conclusions ont été publiées avant même que les tests aient été réalisés ? Le document affirme qu’une "recherche scientifique" est en train d’être menée pour confirmer des conclusions politiques déjà établies à l’avance.
Le document déclare : "Les seules modifications (autres que mineures ou de pure forme) qui seront apportées aux conclusions du Groupe de Travail ou du Panel ne seront que celles qui seront nécessaires pour assurer la cohésion des recommandations faites aux pouvoirs politiques."
Les Nations Unies ont déjà décidé que le réchauffement global des températures était dû à l’activité humaine, car ils sont en train de publier un rapport inachevé qui ne fait que refléter leurs conclusions décidées à l’avance. Peut-on être plus "indépendant" que cela ?
Le rapport de l’IPCC s’appuyait sur un ramassis de virtuoses des relations publiques qui n’avaient rien à voir avec la confirmation scientifique du réchauffement global, mais qui étaient suffisamment nombreux pour donner au spectateur fortuit l’impression que tout le monde était d’accord sur les causes humaines de ce réchauffement. On alla jusqu’à éteindre pendant cinq minutes les illuminations de la Tour Eiffel, et même à utiliser Jane Goodall, experte anglaise des primates, qui a imité à cette occasion le cri sauvage d’un chimpanzé tropical.
Comme l’a déclaré le Président Tchèque Vaclav Klaus, "le réchauffement global est un mythe mensonger. Tout scientifique sérieux le confirme. Il n’est pas honnête de faire référence au panel de l’ONU. L’IPCC n’est pas une institution scientifique, c’est un organisme politique, une sorte d’organe non-gouvernemental proche des Verts. Ce n’est ni un forum de scientifiques impartiaux, ni un groupe équilibré de scientifiques. Ce sont des scientifiques politisés, réunis parce qu’ils avaient une opinion toute faite, pour exécuter une tâche définie à l’avance."
Les avocats de la cause humaine du réchauffement se donnent beaucoup de peine pour insister sur le fait que des géants pétroliers comme Exxon-Mobil offrent des milliers de dollars pour financer des études contredisant les théories de l’ONU. Ils affirment que de telles études ne peuvent être que partiales. Mais ils ignorent le fait que ce sont l’ONU elle-même et des hommes comme Ted Turner, ardent défenseur des causes humaines du réchauffement, et partisan d’une réduction draconienne de la population mondiale, qui ont financé l’étude de l’OPCC. Ted Turner a même fait don d’un milliard de dollars à l’ONU à cet effet. N’est-ce pas faire preuve de partialité ? N’est-ce pas la preuve que des scientifiques ont été grassement payés pour produire des "preuves" permettant d’étayer une opinion préconçue ? Une "taxe carbone" imposée par la crainte du changement climatique ira directement dans les caisses d’organisations dépendant des Nations Unies. N’est-ce pas la preuve que l’ONU joue un rôle majeur pour faire croire que le réchauffement global est causé par des facteurs humains ?
En outre, Greenpeace est en train de recruter des "organisateurs pour la campagne du réchauffement global," chargés d’agir auprès des membres du Congrès, afin de les convaincre des causes humaines du réchauffement. Si vous pensez donc que vos dons à cette organisation permettront de sauver les baleines ou de protéger les forêts tropicales, vous vous trompez lourdement ! Ils serviront en partie à financer des manœuvres qui finiront par se retourner contre vous, sous la forme de lourdes taxes sur les émissions de dioxyde de carbone. Ces taxes ne serviront à rien pour éviter le réchauffement global, mais iront remplir les poches des Nations Unies et du gouvernement mondial.
Tous les scientifiques ne sont pas prêts à sacrifier leur impartialité pour tromper l’opinion publique. Le Docteur Christ Landsea démissionna de l’OPCC, en déclarant : "Je ne peux pas, en toute bonne foi, continuer à contribuer à un processus qui me semble motivé par des idées préconçues, et qui n’est pas scientifiquement fondé."
Landsea est l’un des nombreux experts en climatologie, météorologues, géologues et autres scientifiques, qui ont osé braver les quolibets et les moqueries, pour démontrer que les avocats des causes humaines du réchauffement climatique ont utilisé des subterfuges et des manipulations faussement scientifiques pour étayer leur point de vue.
Timothy Ball, Président du Projet des Ressources Naturelles, et ancien professeur de climatologie à l’Université de Winnipeg, au Canada, a récemment publié un document remarquable, dans lequel il explique comment cette illusion a été fabriquée et entretenue, et comment ceux qui se rendent compte de cette farce sont mis au rang des parias, pour la seule raison qu’ils ont manifesté leur désaccord. Ball explique cela bien mieux que moi, et je n’hésite donc pas à citer largement son article : "Le réchauffement global, tel que nous l’imaginons, n’existe pas. Et je ne suis pas le seul à essayer d’ouvrir les yeux aux gens, pour qu’ils voient la vérité. Mais bien peu écoutent, malgré le fait que j’aie été l’un des premiers Docteurs en Climatologie Canadiens, et que j’aie une expérience approfondie dans ce domaine, surtout en matière de reconstruction des périodes climatiques de l’Histoire, et aussi en matière d’impact des changements climatiques sur l’Histoire des hommes et sur la condition humaine. Peu écoutent, bien que je sois titulaire d’un Doctorat en Sciences de l’Université de Londres, et que j’aie enseigné la climatologie à l’Université de Winnipeg. Pour un certain nombre de raisons (en fait, pour beaucoup de raisons), le monde n’écoute pas. Et voici pourquoi.
"Croyez-le ou non, le réchauffement global n’est pas dû au fait que l’homme produise du dioxyde de carbone (CO2). Il s’agit là du plus grand mensonge organisé de toute l’histoire de la Science ! Nous perdons beaucoup de temps, d’énergie et de milliards de dollars, tout en provoquant inutilement la crainte et la consternation, à propos d’un problème qui ne repose sur aucune base scientifique.
"Aucun être humain sensible ne cherche le conflit, surtout avec des gouvernements. Mais si ne nous ne recherchons pas la vérité, nous sommes perdus, en tant qu’individus ou en tant que sociétés. C’est pour cela que je continue à dire qu’il n’existe aucune preuve que l’activité humaine soit responsable du changement climatique. Récemment, Yuri A. Izrael, Vice-Président de l’IPCC, panel intergouvernemental commandité par l’ONU, a confirmé cette affirmation. Comment donc la monde entier en est venu à croire ce mensonge ?
"C’est peut-être pour la même raison qu’il y a 30 ans, lorsque nous avions considéré que le refroidissement global était la plus grande menace pour l’humanité : c’est une question de foi ! Lowell Ponte avait écrit en 1976 : "C’est une évidence brute : le refroidissement global de la planète représente pour l’humanité le défi le plus important qu’elle ait dû relever depuis dix mille ans, sur les plans social, politique et adaptatif. Votre engagement en faveur des décisions que nous allons prendre concernant ce problème est d’une importance vitale. Il s’agit de notre survie, et de la survie de nos enfants comme de toute l’espèce humaine."
"A l’époque, j’étais tout autant opposé à l’idée du danger mortel représenté par ce refroidissement global, que je le suis aujourd’hui au danger du réchauffement global. Permettez-moi de dire que je ne conteste pas qu’il y ait actuellement un réchauffement climatique. Notre monde s’est réchauffé depuis 1680, époque du maximum de ce qui a été appelé le "petit âge glaciaire," qui s’est poursuivi jusqu’à présent. Ces changements climatiques correspondent à une variabilité naturelle, et peuvent être facilement expliqués par les modifications de l’activité solaire. Il ne se passe actuellement rien d’inhabituel.
"Depuis que j’ai obtenu mon Doctorat de climatologie de l’Université de Londres, ma carrière a connu deux cycles climatiques. Les températures ont baissé entre 1940 et 1980. Au début des années 70, tout le monde était d’accord sur le fait qu’il y avait un refroidissement global. Cela prouve aussi qu’un consensus général n’est pas nécessairement un fait scientifique. Au début des années 90, les températures semblent augmenter à nouveau, et tout le monde est à présent d’accord sur le réchauffement global. Il semble que je vais assister à un autre cycle avant mon départ à la retraite, car les principaux mécanismes climatologiques, comme les tendances générales des températures, indiquent qu’un nouveau refroidissement se prépare.
"Il est certain que si nous acceptons passivement l’opinion générale, cela nous procurera moins de stress et d’attaques personnelles, et cela favorisera notre carrière personnelle. Ce que j’ai expérimenté dans ma vie personnelle au cours des dernières années m’a fait comprendre pourquoi certains préfèrent ne pas s’exprimer publiquement. Ils pensent à la sécurité de leur carrière et ont peur des représailles. Même à l’Université, où l’on est censé encourager la liberté de parole et la recherche de la sagesse, les scientifiques demeurent silencieux."
Personne ne conteste que nous soyons en train d’assister à un réchauffement global. Mais si nous refusons de croire qu’il ait un rapport quelconque avec l’activité de cette boule de feu géante qui brille au centre de notre système solaire, et que nous ne pouvons même pas fixer sans être aveuglés, nous ne faisons qu’étaler notre grossière ignorance.
Comment expliquer le fait que presque toutes les planètes de notre système solaire connaissent simultanément les mêmes changements de température, et les mêmes modifications rapides de leur climat ? Cela ne devrait-il pas nous suggérer que le réchauffement global actuel est un cycle naturel qui dépend de l’évolution du soleil, et de l’intervention de divers phénomènes célestes ? Al Gore peut-il me contredire sur ce point ?
Mars, Pluton, Jupiter, Saturne, Triton, comme dans bien d’autres coins et recoins de notre système solaire, sont en train de connaître une période de réchauffement, et de modifications rapides de leur climat. Quelle est l’influence des activités humaines sur Jupiter ?
La terre, et ses voisins célestes, sont en train de se réchauffer parce que le soleil brille plus intensément en ce moment qu’au cours des 1000 dernières années. C’est la conclusion d’une étude officielle sur le système solaire, réalisée par l’Institut Max Planck, de Gôttingen en Allemagne,.
En outre, on a découvert que les rayons cosmiques, provenant des étoiles qui ont explosé, contribuent d’une manière substantielle à la formation de nos nuages et de l’effet de serre, comme le London Times l’a publié hier.
C’est aussi un fait que la terre, au cours des âges passés, a souvent connu des périodes successives de climat chaud, humide et stable, et de climat froid, sec et venteux, bien avant que le premier combustible fossile ait été brûlé. Les changements auxquels nous assistons actuellement sont comparables à une promenade dans un parc tranquille, au regard des bouleversements violents que notre robuste planète a connus dans le passé.
Je ne dis pas cela pour défendre les cartels pétroliers, ni les Néo-Conservateurs démolisseurs qui gouvernent l’Amérique, et qui ont tous le plus grand intérêt à ignorer le réchauffement global, qu’il soit produit par l’activité humaine ou non.
Je ne veux donc pas nier le fait que la terre soit en train de se réchauffer progressivement. Mais comment concilier le fait que ce réchauffement se produise dans tout le système solaire, avec l’explication que ce réchauffement est causé par l’activité humaine sur notre planète ? Nos fumées de combustion terrestres auraient-elles subrepticement atteint Triton, en passant par quelque trou noir ?
D’innombrables autres héros de la Science ont risqué leur réputation et leur carrière, au nom de la vérité, pour dénoncer cette fraude du réchauffement causé par l’activité humaine, et pour affronter ce fascisme rampant qui utilise la notion de politiquement correct pour confisquer le débat. Ils ont résisté au dogme orthodoxe et risqué de se voir privés de leurs avantages, comme l’ont fait les plus éminents climatologues de la Météorologie Nationale. Voici certaines déclarations perspicaces faites par ces braves :
"Je travaille dans la Météorologie depuis 1978, et je connais des dizaines de météorologues de la radio et de la télévision dans tout le pays. Notre travail essentiel est d’étudier une masse de données brutes, pour déterminer des prévisions météo pour la semaine suivante. Je ne connais pas un seul spécialiste de la Météorologie à la télévision qui ait gobé cette théorie du réchauffement provoqué par l’activité humaine. Je sais qu’il doit y en avoir quelques-uns, mais je n’ai pas réussi à les trouver. Des milliards de dollars de crédits tombent dans les poches de tous ceux qui défendent cette théorie. Si vous n’adhérez pas à ce mensonge, les crédits sont coupés. Ne vous y trompez pas, il s’agit de sommes colossales. Suivez toujours où va l’argent, et vous comprendrez ce qui se passe ! Même la présentatrice télé sur la chaîne Météo reçoit probablement un bon salaire pour animer une émission en prime time sur les changements climatiques. Si vous ne défendez pas les causes humaines du réchauffement, on vous supprime votre émission, et votre salaire avec. Il n’y a rien de mal à gagner de l’argent, mais quand l’argent permet d’acheter des conclusions scientifiques, alors là nous avons un problème. Pour beaucoup, le réchauffement global n’est qu’une grosse pompe à fric. Depuis que Dieu a créé cette planète, le climat de notre terre n’a pas cessé de varier. Il va toujours varier, et le réchauffement auquel nous assistons depuis dix ans n’est pas très différent du réchauffement des années 30, ou de toute autre période antérieure. N’oublions pas que nous sommes à la fin d’une période glaciaire, au cours de laquelle la glace couvrait presque toute l’Amérique du Nord et l’Europe du Nord." (James Spann, météorologue de la chaîne de télévision ABC).
"Il ne s’agit pas de 2.500 spécialistes qui seraient arrivés à un consensus. Je le sais, j’y ai participé. Tout auteur écrit une ou deux pages en association avec quelqu’un d’autre. Ils voyagent dans le monde entier plusieurs fois par an, pendant plusieurs années, pour écrire leur papier. Les conclusions transmises aux politiques ont été rédigées par environ 13 scientifiques, mais, au bout du compte, le document final a été rédigé par les représentants des gouvernements, des organisations environnementales et des groupements industriels, chacun d’entre eux recherchant son propre intérêt." (Dr Richard Lindzen, Professeur de Science Atmosphérique au MIT, à propos du rapport de l’IPCC).
"Le climat change tout le temps. Le fait que le climat change ne constitue pas en soi une menace pour l’humanité." (Dr Fred Singer, Physicien de l’Atmosphère à l’Université George Mason).
La théorie du réchauffement global provoqué par l’activité humaine encourage l’arrogance de l’humanité et alimente le sentiment de sa propre importance, lui faisant croire qu’elle maîtrise son destin, comme celui de la terre. Sur le plan individuel, cela permet aux hommes de flatter leur ego, et de se féliciter quand ils recyclent leurs cannettes de bière ou leurs bouteilles de vin, croyant sauver ainsi la planète. Cela leur fait aussi croire qu’ils peuvent exercer leur jugement à l’encontre de tous ceux qui ne se comportent pas comme eux.
Les angoisses engendrées par l’annonce d’une tragédie climatique imminente permettent aussi d’alimenter les médias, et d’évoquer d’autres problèmes environnementaux importants, comme celui des OGM, ou celui des clonages de chimères effectués par des scientifiques fous, alors que les abus et pratiques scandaleuses de sociétés comme Monsanto passent inaperçus.
Le réchauffement global est encore cité comme un argument pour excuser les surveillances et les contrôles accrus auxquels nous sommes soumis, qu’il s’agisse des puces RFID, des contrôles GPS par satellite, ou des taxes à la pompe à essence.
Certains extrémistes environnementaux, comme le Dr Erik Pianka, défendent l’idée d’une réduction massive des "éléments défectueux" de la population mondiale, par des épidémies ou du terrorisme bactériologique d’Etat, dans le but de "sauver" la terre de ce mal représenté par l’espèce humaine. Il y a toujours eu une alliance étroite entre ceux qui veulent contrôler la population mondiale, à la manière nazie ou par des génocides, et les défenseurs acharnés de l’environnement.
Le monde ploie sous l’obligation d’adhérer à cette propagande mensongère massive, alors que les scientifiques qui s’efforcent de révéler cette fraude sont réduits au silence, ridiculisés ou licenciés. Les forcenés du contrôle mondial, aux Nations Unies, et leurs chefs intellectuellement limités, ont pour objectif d’utiliser cette hystérie du changement climatique pour imposer des mesures draconiennes de contrôle de la société et de mise en place d’un gouvernement mondial. Ils ont décidé que "l’affaire était entendue," et que le réchauffement global était causé par l’activité humaine. Toutefois, leurs tentatives insensées de réduire au silence toute expression de la moindre opposition ne font que trahir les faiblesses de leurs propres mantras, et finiront par provoquer leur chute.
Paul Joseph Watson
L’original peut être consulté en Anglais : http://www.prisonplanet.com
Source : http://www.paroledevie.org
Le canular du réchauffement global provoqué par l’homme est en train d’être imposé par décret au monde entier. La fausse science manipulée pour étayer cette théorie ne représente qu’un fascisme rampant dont l’objectif est d’interdire tout véritable débat ouvert. Cela révèle le fait que cette hystérie du changement climatique n’est qu’une farce sinistre destinée à briser les libertés publiques et à imposer le pouvoir centralisé du Nouvel Ordre Mondial.
Dans une interview accordée à un journal tchèque, Vaclav Klaus, Président de la République Tchèque, a accusé le dogme du "politiquement correct" d’empêcher un plus grand nombre de scientifiques et d’hommes d’Etat de rendre public leur scepticisme concernant la cause humaine du réchauffement climatique. C’est précisément la situation où nous sommes parvenus. Au milieu d’une absence bizarre de sens commun, les institutions établies et la gauche officielle ont réussi à étouffer tout débat sérieux et contradictoire sur le réchauffement global. Ils accompagnent leurs arguments d’une sorte de prétention nébuleuse, selon laquelle le fait d’exprimer un désaccord avec les théories officielles traduit une attitude bigote, rétrograde et même raciste.
Le fait même que les avocats du réchauffement global provoqué par l’homme aient besoin de recourir à une accusation de racisme, dans un débat scientifique sur le changement climatique, prouve amplement que leurs arguments sont superficiels et vulnérables.
En novembre dernier, nous avions déjà publié un article sur le réchauffement global, et montré que ce réchauffement était essentiellement provoqué par l’activité solaire. Nous avions dit, d’une manière quelque peu ironique, que ceux qui exprimaient des doutes sur les causes humaines du réchauffement global seraient bientôt comparés aux négationnistes de l’Holocauste par les médias et les leaders culturels autoproclamés, qui exigent une adhésion totale à la religion officielle concernant le changement climatique.
Voici ce que nous écrivions : "L’affirmation que le réchauffement global serait dû à l’activité humaine est imposée à l’opinion publique avec une telle violence, surtout en Europe, que le simple fait d’exprimer le moindre doute revient presque, dans certains cas, à être accusé de négationnisme de l’Holocauste. Le lavage de cerveau insipide que nous subissons de la part de la télévision, des journaux et des têtes pensantes exaltées, est tellement puissant que les sceptiques du réchauffement global sont obligés de porter une "étoile jaune" symbolique. Ils ne peuvent exprimer leurs doutes qu’à voix basse et en des termes conciliants, sous peine d’être accablés d’injures, harangués et hués par une armée de bienpensants convaincus qu’ils sont en train de sauver leur Terre Mère chaque fois qu’ils recyclent leur bouteille de bière ou qu’ils jettent leurs papiers sales dans la poubelle consacrée à cet effet."
Mais il ne s’agit plus d’une plaisanterie !
La semaine dernière, Ellen Goodman, du Boston Globe, a écrit un éditorial dénonçant tous ceux qui osaient commettre le sacrilège de manifester leur désaccord avec le rapport sur le changement climatique établi par l’IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change : "Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique"), à l’initiative de l’ONU. Voici un extrait de son papier : "J’aimerais dire que nous avons atteint le point où le réchauffement global ne peut plus être nié. Disons que ceux qui nient le réchauffement global (NDT : causé par l’homme) sont à mettre sur le même plan que ceux qui nient l’Holocauste, sauf que ceux-ci nient le passé, alors que ceux-là nient le présent et le futur."
Cette attaque en règle révèle ce qui est au cœur du programme des défenseurs du réchauffement global. Comme cette clique de fanatiques grotesques du pouvoir mondial ne peut pas s’opposer sérieusement aux arguments incontestables prouvant que le changement climatique actuel est essentiellement dû à l’activité solaire et aux cycles cosmiques naturels à long terme, elle doit se résoudre aux méthodes de la propagande et à de viles attaques personnelles, pour renverser le cours de l’opinion publique.
Au cours d’un débat sur la BBC, l’un des membres du Panel de l’ONU avait exhorté les téléspectateurs à examiner tous les arguments en présence, et à étudier, outre les causes humaines, les autres causes du réchauffement climatique. Il avait été accueilli par les huées de l’auditoire, et on lui avait coupé la parole. On considère à présent comme un sacrilège le fait de simplement mettre en doute le dogme officiel sans cesse rabâché, comme un disque rayé, par des automates victimes du lavage de cerveau officiel.
Ils hurlent qu’ils ne peuvent pas se permettre d’avoir un tel débat contradictoire, prétendant que la fin de la planète est proche, et affirmant que les incrédules doivent être symboliquement cloués au pilori de l’opinion publique, dans l’intérêt même de la survie du genre humain.
Mais ceux qui ont de la mémoire et encore assez de nerfs pour penser par eux-mêmes se rappellent qu’en matière de climat, les prophètes de malheur ont prouvé depuis des décennies qu’ils s’étaient trompés. A la fin des années 60 et au début des années 70, l’hystérie à la mode, en matière de changement climatique, qui prédisait aussi la fin de l’humanité comme à présent, tournait autour du concept du refroidissement global ! Déjà, on avait négligé la prise en compte des fluctuations à long terme des températures, ainsi que le fait que la terre venait d’achever un cycle appelé "petite époque glaciaire."
Un écrivain, John Bender, a excellemment compilé les citations faites depuis les dernières décennies par des spécialistes environnementaux, qui nous prédisaient que le ciel allait nous tomber sur la tête, et qui ont été par la suite complètement discrédités. Gardez ces citations en mémoire, quand vous entendrez quelqu’un répéter inlassablement les slogans qui lui ont été endoctrinés par les pouvoirs dominants.
"Le refroidissement continuel et rapide de la terre depuis la seconde guerre mondiale est en rapport avec l’augmentation de la pollution de l’air associée à l’industrialisation, à la mécanisation, à l’urbanisation et à l’explosion de la population" (Reid Bryson, "Global Ecology ; Readings towards a Rational Strategy for Man" - 1971).
"La bataille pour nourrir l’humanité est perdue. Dans les années 70, le monde va connaître des famines. Des centaines de millions de personnes vont mourir de faim, en dépit de tous les programmes d’urgence déjà entrepris. La seule solution est le contrôle démographique" (Paul Ehrlich, "The Population Bomb" - 1968).
"Je suis prêt à parier de l’argent que l’Angleterre n’existera plus en l’an 2000" (Paul Ehrlich en 1969).
"Dans dix ans, toute vie animale importante dans les mers aura disparu. Des zones côtières importantes devront être évacuées en raison de la puanteur provenant des poissons morts" (Paul Ehrlich, "Earth Day" - 1970).
"Avant 1985, l’humanité va entrer dans une époque de raréfaction des ressources. On ne pourra presque plus faire face à l’approvisionnement de nombreuses ressources minérales de base" (Paul Ehrlich en 1976).
"La tendance actuelle au refroidissement réduira la productivité de l’agriculture pour tout le restant de ce siècle" (Peter Gwynne, Newsweek, 1976).
"De nombreux signes évidents prouvent que le climat de la terre a commencé à changer de manière radicale. Ces changements peuvent occasionner une réduction draconienne de la production alimentaire. Presque toutes les nations de la terre devront en subir les répercussions politiques. Cette chute de la production alimentaire pourrait commencer très prochainement… Les preuves de ces prédictions ont commencé à s’accumuler de manière tellement massive que les météorologistes ont beaucoup de mal à suivre" (Newsweek du 28 avril 1975).
"Le refroidissement actuel a déjà tué des centaines de milliers de personnes. S’il continue, et si personne ne prend des mesures énergiques, il provoquera une famine mondiale, un chaos généralisé et même une nouvelle guerre mondiale. Tout cela pourrait survenir avant l’an 2000" (Lowell Ponte, "The cooling" - 1976).
"Si la tendance actuelle se poursuit, le monde sera confronté en 1990 à un refroidissement moyen des températures d’environ quatre degrés, et même de onze degrés d’ici l’an 2000… C’est environ le double de ce qui serait nécessaire pour nous plonger dans un nouvel âge glaciaire" (Kenneth E.F. "Watt on Air Pollution and Global Cooling, Earth Day", 1970).
L’IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) est un organisme politique, pas une organisation scientifique. Ses proclamations sont donc purement destinées à permettre d’atteindre des objectifs politiques. Le document qu’il a publié le 2 février dernier, et qui a fait l’objet, pendant des journées entières, d’une couverture intense et dévote de la part des médias officiels, n’était qu’un manifeste politique s’appuyant sur un projet scientifique qui n’a même pas été mené à bien. Que vaut une "expérience scientifique" dont les conclusions ont été publiées avant même que les tests aient été réalisés ? Le document affirme qu’une "recherche scientifique" est en train d’être menée pour confirmer des conclusions politiques déjà établies à l’avance.
Le document déclare : "Les seules modifications (autres que mineures ou de pure forme) qui seront apportées aux conclusions du Groupe de Travail ou du Panel ne seront que celles qui seront nécessaires pour assurer la cohésion des recommandations faites aux pouvoirs politiques."
Les Nations Unies ont déjà décidé que le réchauffement global des températures était dû à l’activité humaine, car ils sont en train de publier un rapport inachevé qui ne fait que refléter leurs conclusions décidées à l’avance. Peut-on être plus "indépendant" que cela ?
Le rapport de l’IPCC s’appuyait sur un ramassis de virtuoses des relations publiques qui n’avaient rien à voir avec la confirmation scientifique du réchauffement global, mais qui étaient suffisamment nombreux pour donner au spectateur fortuit l’impression que tout le monde était d’accord sur les causes humaines de ce réchauffement. On alla jusqu’à éteindre pendant cinq minutes les illuminations de la Tour Eiffel, et même à utiliser Jane Goodall, experte anglaise des primates, qui a imité à cette occasion le cri sauvage d’un chimpanzé tropical.
Comme l’a déclaré le Président Tchèque Vaclav Klaus, "le réchauffement global est un mythe mensonger. Tout scientifique sérieux le confirme. Il n’est pas honnête de faire référence au panel de l’ONU. L’IPCC n’est pas une institution scientifique, c’est un organisme politique, une sorte d’organe non-gouvernemental proche des Verts. Ce n’est ni un forum de scientifiques impartiaux, ni un groupe équilibré de scientifiques. Ce sont des scientifiques politisés, réunis parce qu’ils avaient une opinion toute faite, pour exécuter une tâche définie à l’avance."
Les avocats de la cause humaine du réchauffement se donnent beaucoup de peine pour insister sur le fait que des géants pétroliers comme Exxon-Mobil offrent des milliers de dollars pour financer des études contredisant les théories de l’ONU. Ils affirment que de telles études ne peuvent être que partiales. Mais ils ignorent le fait que ce sont l’ONU elle-même et des hommes comme Ted Turner, ardent défenseur des causes humaines du réchauffement, et partisan d’une réduction draconienne de la population mondiale, qui ont financé l’étude de l’OPCC. Ted Turner a même fait don d’un milliard de dollars à l’ONU à cet effet. N’est-ce pas faire preuve de partialité ? N’est-ce pas la preuve que des scientifiques ont été grassement payés pour produire des "preuves" permettant d’étayer une opinion préconçue ? Une "taxe carbone" imposée par la crainte du changement climatique ira directement dans les caisses d’organisations dépendant des Nations Unies. N’est-ce pas la preuve que l’ONU joue un rôle majeur pour faire croire que le réchauffement global est causé par des facteurs humains ?
En outre, Greenpeace est en train de recruter des "organisateurs pour la campagne du réchauffement global," chargés d’agir auprès des membres du Congrès, afin de les convaincre des causes humaines du réchauffement. Si vous pensez donc que vos dons à cette organisation permettront de sauver les baleines ou de protéger les forêts tropicales, vous vous trompez lourdement ! Ils serviront en partie à financer des manœuvres qui finiront par se retourner contre vous, sous la forme de lourdes taxes sur les émissions de dioxyde de carbone. Ces taxes ne serviront à rien pour éviter le réchauffement global, mais iront remplir les poches des Nations Unies et du gouvernement mondial.
Tous les scientifiques ne sont pas prêts à sacrifier leur impartialité pour tromper l’opinion publique. Le Docteur Christ Landsea démissionna de l’OPCC, en déclarant : "Je ne peux pas, en toute bonne foi, continuer à contribuer à un processus qui me semble motivé par des idées préconçues, et qui n’est pas scientifiquement fondé."
Landsea est l’un des nombreux experts en climatologie, météorologues, géologues et autres scientifiques, qui ont osé braver les quolibets et les moqueries, pour démontrer que les avocats des causes humaines du réchauffement climatique ont utilisé des subterfuges et des manipulations faussement scientifiques pour étayer leur point de vue.
Timothy Ball, Président du Projet des Ressources Naturelles, et ancien professeur de climatologie à l’Université de Winnipeg, au Canada, a récemment publié un document remarquable, dans lequel il explique comment cette illusion a été fabriquée et entretenue, et comment ceux qui se rendent compte de cette farce sont mis au rang des parias, pour la seule raison qu’ils ont manifesté leur désaccord. Ball explique cela bien mieux que moi, et je n’hésite donc pas à citer largement son article : "Le réchauffement global, tel que nous l’imaginons, n’existe pas. Et je ne suis pas le seul à essayer d’ouvrir les yeux aux gens, pour qu’ils voient la vérité. Mais bien peu écoutent, malgré le fait que j’aie été l’un des premiers Docteurs en Climatologie Canadiens, et que j’aie une expérience approfondie dans ce domaine, surtout en matière de reconstruction des périodes climatiques de l’Histoire, et aussi en matière d’impact des changements climatiques sur l’Histoire des hommes et sur la condition humaine. Peu écoutent, bien que je sois titulaire d’un Doctorat en Sciences de l’Université de Londres, et que j’aie enseigné la climatologie à l’Université de Winnipeg. Pour un certain nombre de raisons (en fait, pour beaucoup de raisons), le monde n’écoute pas. Et voici pourquoi.
"Croyez-le ou non, le réchauffement global n’est pas dû au fait que l’homme produise du dioxyde de carbone (CO2). Il s’agit là du plus grand mensonge organisé de toute l’histoire de la Science ! Nous perdons beaucoup de temps, d’énergie et de milliards de dollars, tout en provoquant inutilement la crainte et la consternation, à propos d’un problème qui ne repose sur aucune base scientifique.
"Aucun être humain sensible ne cherche le conflit, surtout avec des gouvernements. Mais si ne nous ne recherchons pas la vérité, nous sommes perdus, en tant qu’individus ou en tant que sociétés. C’est pour cela que je continue à dire qu’il n’existe aucune preuve que l’activité humaine soit responsable du changement climatique. Récemment, Yuri A. Izrael, Vice-Président de l’IPCC, panel intergouvernemental commandité par l’ONU, a confirmé cette affirmation. Comment donc la monde entier en est venu à croire ce mensonge ?
"C’est peut-être pour la même raison qu’il y a 30 ans, lorsque nous avions considéré que le refroidissement global était la plus grande menace pour l’humanité : c’est une question de foi ! Lowell Ponte avait écrit en 1976 : "C’est une évidence brute : le refroidissement global de la planète représente pour l’humanité le défi le plus important qu’elle ait dû relever depuis dix mille ans, sur les plans social, politique et adaptatif. Votre engagement en faveur des décisions que nous allons prendre concernant ce problème est d’une importance vitale. Il s’agit de notre survie, et de la survie de nos enfants comme de toute l’espèce humaine."
"A l’époque, j’étais tout autant opposé à l’idée du danger mortel représenté par ce refroidissement global, que je le suis aujourd’hui au danger du réchauffement global. Permettez-moi de dire que je ne conteste pas qu’il y ait actuellement un réchauffement climatique. Notre monde s’est réchauffé depuis 1680, époque du maximum de ce qui a été appelé le "petit âge glaciaire," qui s’est poursuivi jusqu’à présent. Ces changements climatiques correspondent à une variabilité naturelle, et peuvent être facilement expliqués par les modifications de l’activité solaire. Il ne se passe actuellement rien d’inhabituel.
"Depuis que j’ai obtenu mon Doctorat de climatologie de l’Université de Londres, ma carrière a connu deux cycles climatiques. Les températures ont baissé entre 1940 et 1980. Au début des années 70, tout le monde était d’accord sur le fait qu’il y avait un refroidissement global. Cela prouve aussi qu’un consensus général n’est pas nécessairement un fait scientifique. Au début des années 90, les températures semblent augmenter à nouveau, et tout le monde est à présent d’accord sur le réchauffement global. Il semble que je vais assister à un autre cycle avant mon départ à la retraite, car les principaux mécanismes climatologiques, comme les tendances générales des températures, indiquent qu’un nouveau refroidissement se prépare.
"Il est certain que si nous acceptons passivement l’opinion générale, cela nous procurera moins de stress et d’attaques personnelles, et cela favorisera notre carrière personnelle. Ce que j’ai expérimenté dans ma vie personnelle au cours des dernières années m’a fait comprendre pourquoi certains préfèrent ne pas s’exprimer publiquement. Ils pensent à la sécurité de leur carrière et ont peur des représailles. Même à l’Université, où l’on est censé encourager la liberté de parole et la recherche de la sagesse, les scientifiques demeurent silencieux."
Personne ne conteste que nous soyons en train d’assister à un réchauffement global. Mais si nous refusons de croire qu’il ait un rapport quelconque avec l’activité de cette boule de feu géante qui brille au centre de notre système solaire, et que nous ne pouvons même pas fixer sans être aveuglés, nous ne faisons qu’étaler notre grossière ignorance.
Comment expliquer le fait que presque toutes les planètes de notre système solaire connaissent simultanément les mêmes changements de température, et les mêmes modifications rapides de leur climat ? Cela ne devrait-il pas nous suggérer que le réchauffement global actuel est un cycle naturel qui dépend de l’évolution du soleil, et de l’intervention de divers phénomènes célestes ? Al Gore peut-il me contredire sur ce point ?
Mars, Pluton, Jupiter, Saturne, Triton, comme dans bien d’autres coins et recoins de notre système solaire, sont en train de connaître une période de réchauffement, et de modifications rapides de leur climat. Quelle est l’influence des activités humaines sur Jupiter ?
La terre, et ses voisins célestes, sont en train de se réchauffer parce que le soleil brille plus intensément en ce moment qu’au cours des 1000 dernières années. C’est la conclusion d’une étude officielle sur le système solaire, réalisée par l’Institut Max Planck, de Gôttingen en Allemagne,.
En outre, on a découvert que les rayons cosmiques, provenant des étoiles qui ont explosé, contribuent d’une manière substantielle à la formation de nos nuages et de l’effet de serre, comme le London Times l’a publié hier.
C’est aussi un fait que la terre, au cours des âges passés, a souvent connu des périodes successives de climat chaud, humide et stable, et de climat froid, sec et venteux, bien avant que le premier combustible fossile ait été brûlé. Les changements auxquels nous assistons actuellement sont comparables à une promenade dans un parc tranquille, au regard des bouleversements violents que notre robuste planète a connus dans le passé.
Je ne dis pas cela pour défendre les cartels pétroliers, ni les Néo-Conservateurs démolisseurs qui gouvernent l’Amérique, et qui ont tous le plus grand intérêt à ignorer le réchauffement global, qu’il soit produit par l’activité humaine ou non.
Je ne veux donc pas nier le fait que la terre soit en train de se réchauffer progressivement. Mais comment concilier le fait que ce réchauffement se produise dans tout le système solaire, avec l’explication que ce réchauffement est causé par l’activité humaine sur notre planète ? Nos fumées de combustion terrestres auraient-elles subrepticement atteint Triton, en passant par quelque trou noir ?
D’innombrables autres héros de la Science ont risqué leur réputation et leur carrière, au nom de la vérité, pour dénoncer cette fraude du réchauffement causé par l’activité humaine, et pour affronter ce fascisme rampant qui utilise la notion de politiquement correct pour confisquer le débat. Ils ont résisté au dogme orthodoxe et risqué de se voir privés de leurs avantages, comme l’ont fait les plus éminents climatologues de la Météorologie Nationale. Voici certaines déclarations perspicaces faites par ces braves :
"Je travaille dans la Météorologie depuis 1978, et je connais des dizaines de météorologues de la radio et de la télévision dans tout le pays. Notre travail essentiel est d’étudier une masse de données brutes, pour déterminer des prévisions météo pour la semaine suivante. Je ne connais pas un seul spécialiste de la Météorologie à la télévision qui ait gobé cette théorie du réchauffement provoqué par l’activité humaine. Je sais qu’il doit y en avoir quelques-uns, mais je n’ai pas réussi à les trouver. Des milliards de dollars de crédits tombent dans les poches de tous ceux qui défendent cette théorie. Si vous n’adhérez pas à ce mensonge, les crédits sont coupés. Ne vous y trompez pas, il s’agit de sommes colossales. Suivez toujours où va l’argent, et vous comprendrez ce qui se passe ! Même la présentatrice télé sur la chaîne Météo reçoit probablement un bon salaire pour animer une émission en prime time sur les changements climatiques. Si vous ne défendez pas les causes humaines du réchauffement, on vous supprime votre émission, et votre salaire avec. Il n’y a rien de mal à gagner de l’argent, mais quand l’argent permet d’acheter des conclusions scientifiques, alors là nous avons un problème. Pour beaucoup, le réchauffement global n’est qu’une grosse pompe à fric. Depuis que Dieu a créé cette planète, le climat de notre terre n’a pas cessé de varier. Il va toujours varier, et le réchauffement auquel nous assistons depuis dix ans n’est pas très différent du réchauffement des années 30, ou de toute autre période antérieure. N’oublions pas que nous sommes à la fin d’une période glaciaire, au cours de laquelle la glace couvrait presque toute l’Amérique du Nord et l’Europe du Nord." (James Spann, météorologue de la chaîne de télévision ABC).
"Il ne s’agit pas de 2.500 spécialistes qui seraient arrivés à un consensus. Je le sais, j’y ai participé. Tout auteur écrit une ou deux pages en association avec quelqu’un d’autre. Ils voyagent dans le monde entier plusieurs fois par an, pendant plusieurs années, pour écrire leur papier. Les conclusions transmises aux politiques ont été rédigées par environ 13 scientifiques, mais, au bout du compte, le document final a été rédigé par les représentants des gouvernements, des organisations environnementales et des groupements industriels, chacun d’entre eux recherchant son propre intérêt." (Dr Richard Lindzen, Professeur de Science Atmosphérique au MIT, à propos du rapport de l’IPCC).
"Le climat change tout le temps. Le fait que le climat change ne constitue pas en soi une menace pour l’humanité." (Dr Fred Singer, Physicien de l’Atmosphère à l’Université George Mason).
La théorie du réchauffement global provoqué par l’activité humaine encourage l’arrogance de l’humanité et alimente le sentiment de sa propre importance, lui faisant croire qu’elle maîtrise son destin, comme celui de la terre. Sur le plan individuel, cela permet aux hommes de flatter leur ego, et de se féliciter quand ils recyclent leurs cannettes de bière ou leurs bouteilles de vin, croyant sauver ainsi la planète. Cela leur fait aussi croire qu’ils peuvent exercer leur jugement à l’encontre de tous ceux qui ne se comportent pas comme eux.
Les angoisses engendrées par l’annonce d’une tragédie climatique imminente permettent aussi d’alimenter les médias, et d’évoquer d’autres problèmes environnementaux importants, comme celui des OGM, ou celui des clonages de chimères effectués par des scientifiques fous, alors que les abus et pratiques scandaleuses de sociétés comme Monsanto passent inaperçus.
Le réchauffement global est encore cité comme un argument pour excuser les surveillances et les contrôles accrus auxquels nous sommes soumis, qu’il s’agisse des puces RFID, des contrôles GPS par satellite, ou des taxes à la pompe à essence.
Certains extrémistes environnementaux, comme le Dr Erik Pianka, défendent l’idée d’une réduction massive des "éléments défectueux" de la population mondiale, par des épidémies ou du terrorisme bactériologique d’Etat, dans le but de "sauver" la terre de ce mal représenté par l’espèce humaine. Il y a toujours eu une alliance étroite entre ceux qui veulent contrôler la population mondiale, à la manière nazie ou par des génocides, et les défenseurs acharnés de l’environnement.
Le monde ploie sous l’obligation d’adhérer à cette propagande mensongère massive, alors que les scientifiques qui s’efforcent de révéler cette fraude sont réduits au silence, ridiculisés ou licenciés. Les forcenés du contrôle mondial, aux Nations Unies, et leurs chefs intellectuellement limités, ont pour objectif d’utiliser cette hystérie du changement climatique pour imposer des mesures draconiennes de contrôle de la société et de mise en place d’un gouvernement mondial. Ils ont décidé que "l’affaire était entendue," et que le réchauffement global était causé par l’activité humaine. Toutefois, leurs tentatives insensées de réduire au silence toute expression de la moindre opposition ne font que trahir les faiblesses de leurs propres mantras, et finiront par provoquer leur chute.
Paul Joseph Watson
L’original peut être consulté en Anglais : http://www.prisonplanet.com
Source : http://www.paroledevie.org