Le 5 juillet dernier, un certain Amine interpellait la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) via Tweeter sur la différence faite par l’association entre antisémitisme et islamophobie.
Une question pertinente à laquelle la LICRA a répondu en « petit nègre », dévoilant ainsi sa double éthique et son mépris communautaire :
S’en est suivi un bref échange au cours duquel le représentant de la LICRA a une fois de plus démontré tout son complexe de supériorité, avant d’être finalement recadré par un internaute :
Vaincu dans le débat d’idée, sur le fond comme sur la forme, la LICRA s’est alors piteusement excusée.
Un échange anecdotique qui a néanmoins le mérite de montrer l’arrogance, le mépris communautaire, la double éthique et la vacuité de l’argumentation de la LICRA dès lors que s’engage un débat contradictoire à armes égales, c’est-à-dire hors de la 17e chambre du Tribunal de grande instance et des plateaux de télévision, où la police de la pensée joue habituellement à domicile.