Au lendemain de l'#élection de #Bolsonaro au #Brésil, rappelons-nous des mots de @DominiqueReynie sur @franceculture : "Le #populisme n'est pas un mouvement populaire, c'est une entreprise #politique." ➡️ https://t.co/rpL7PMYpQf pic.twitter.com/y8NkJ5hcud
— Sciences Po (@sciencespo) 29 octobre 2018
Sans déconner, heureusement que Domi est là pour nous prévenir. On a failli, comme des gros cons qu’on est, tomber dans le piège du populisme qu’est pas un mouvement populaire mais une manipulation politique ! Faut être au minimum prof à Sciences Po pour pouvoir comprendre ça.
Saut que là ça marche pas ton truc Domi : Salvini, dès qu’il bouge un pouce, y a toute la foule qui débarque pour le selfire et le remercier alors que quand Macron-le-cramé déboule quelque part, même les faux militants de LReM ne bougent plus leur cul. On dirait que y a un bug dans ton Système.
Définition du populisme selon Domi :
« l’exploitation politique de la crainte de perdre son patrimoine matériel et immatériel. [...] Une partie des Européens vit désormais avec la crainte d’un déclassement collectif, crainte pouvant se combiner avec celle d’un déclassement personnel ».
Quelle découverte ! Quelle lucidité ! Ses élèves à Sciences Po ont de la chance, chaque jour ils doivent apprendre des choses inédites et pénétrantes. Et puis Domi a encore plus de chance : non seulement il peut gaver ses ouailles avec son estouffade libérale européiste, mais en plus il a une fenêtre de tir sur C dans l’air, l’émission quotidienne de débats entre copains du Système, et il est récurrent sur France Culture, la radio de propagande d’État qui n’a jamais invité le moindre mal-pensant. Et tout ça avec notre fric.
Et après on s’étonne que ce misérable entre-soi ne produise que de la consanguinité politique, du mensonge moisi et de la basse accusation. Les peuples, qui sont évidemment au fond de leur cœur populistes dans le bon sens du terme, passeront un jour de courage électoral sur le corps de tous ces agents comme des bulldozers.
Il n’y a pas de faillite des intellectuels, il n’y a que des traîtres à la nation.