Le problème, quand le haut injecte du chaos en bas dans l’idée cachée de conserver son pouvoir, c’est que le chaos peut vous revenir en pleine gueule.
C’est ce qui arrive en ce moment à nos élites, qui sont en perdition : les résultats des élections sont de plus en plus critiqués, de moins en moins gobés ; la légitimité des dirigeants est violemment niée sur les RS ; les ingénieries sociales sont retournées comme des crêpes en 24 heures par l’IC (intelligence collective) du Net ; la propagande prend de moins en moins car elle est de plus en plus grossière ; le niveau de conscience, et donc de résistance des populations, monte doucement mais sûrement ; tout ce qui vient d’en haut se fait flinguer, à tort ou à raison.
Pire, les puissances elles-mêmes qui constituent l’élite ou le pouvoir mondialiste si délétère commencent à entrer en conflit les unes avec les autres. Trop de chaos tue le chaos ? On l’espère, mais en attendant, les apprentis sorciers reçoivent la monnaie de leur pièce. Démonstration.
1 – La carpette Biden renvoyée dans ses 22 par Bezos
Capital écrit, ce 4 juillet 2022 :
Le ton monte entre Jeff Bezos et Joe Biden. Le multimilliardaire a estimé que le président américain se fourvoyait en appelant les distributeurs d’essence à faire baisser les prix rapidement, poussant dimanche plusieurs responsables de la Maison-Blanche à défendre Joe Biden.
« Mon message aux entreprises qui exploitent des stations-service et qui fixent les prix à la pompe est simple : nous sommes en temps de guerre et de péril mondial », a écrit le président américain sur Twitter samedi.
« Réduisez le prix que vous facturez à la pompe pour refléter le coût que vous payez pour le produit. Et faites-le maintenant ». Pour le fondateur d’Amazon, ce raisonnement relève « soit d’une tentative de diversion, soit d’une profonde incompréhension de la dynamique de base du marché ». « L’inflation est un problème bien trop important pour que la Maison-Blanche continue à faire des déclarations comme celle-ci », a-t-il réagi samedi sur le réseau social.
En d’autres termes, moins choisis, Biden vient de se prendre une claque par la nouvelle puissance économique américaine, les GAFAM. Sans légitimité populaire, ce président élu sur une fraude massive montre ce qu’il est : la marionnette d’un pouvoir profond.
2 – Finky ou le grippage du logiciel de chaos du pouvoir profond français
À force d’entendre que la droite nationale est toxique, puis que la gauche antinationale est toxique, alors qu’elle était parée de toutes les vertus auparavant, les Français vont se demander un jour si ce ne sont pas ceux qui donnent des brevets de toxicité qui sont finalement toxiques.
Finkielkraut est l’exemple parfait du sioniste qui montait les immigrés contre les Français il y a 40 ans, et qui monte aujourd’hui les Français contre les immigrés, cela marche aussi avec le couple chrétiens/musulmans, l’essentiel étant de semer le chaos entre ces communautés.
Le conflit triangulé commence à se dérégler, vu le nombre de députés de la droite nationale et de la gauche antinationale, bref, des populistes, entrés à l’Assemblée le 20 juin 2022 ! Le logiciel de chaos du pouvoir profond bat de l’aile, c’est le moins qu’on puisse dire. Résultat des courses pour le finkysme : deux gros pôles populistes !
Ferrari : Est-ce que vous mettez ces deux pôles politiques sur le même plan ou pas ?
Finky : Non, je dirais deux choses, il faut que je dise les deux sinon ça va s’enflammer sur les réseaux sociaux [Tu nous connais bien, NDLR]. La France insoumise me paraît plus toxique aujourd’hui que le Rassemblement national. Et j’inclus les partis qui se sont laissé assujettir à La France insoumise puisque cette fameuse NUPES a inscrit à son programme l’abrogation de la loi séparatisme. Et donc l’antisémitisme, sa terre d’asile ce n’est plus le Rassemblement national, c’est La France insoumise.
Finky s’en prend quand même à Thierry Mariani, député apparenté RN :
« Tropisme pro-russe et anti-américanisme forcené c’est cela, la nouvelle idéologie de l’extrême droite, et cette idéologie me semble très condamnable. »
La stratégie du pouvoir profond, si nous pouvons la lire chez E&R, est de moins en moins claire pour le Français moyen qui écoute les infos de la propagande : Marine c’est mal parce que c’est la fille de son père qui lui est méchant, mais Marine c’est bien parce qu’elle s’en prend aux musulmans, mais Marine c’est pas bien pasque elle a soutenu Poutine, mais quand même elle a mis un genou à terre sur l’antisionisme, patati et patata dans tous les sens.
De l’autre côté (gauche), c’est pas mieux : vive l’antiracisme, oui mais bon, faut pas non plus trop sanctifier les musulmans, les Arabes, qui sont liés aux racailles et aux djihadistes, hein. Pour vaincre le nationalisme français, les forces du pouvoir profond ont construit une gauche antiraciste qui leur explose aujourd’hui en pleine gueule. Au bout du compte, c’est la double peine pour Finky et ses amis.
Vue d’en bas, cette double stratégie, ou stratégie tordue, ne peut être comprise que comme un début de panique, du moins un éclatement de la structure du pouvoir profond en deux camps. Et qui dit éclatement dit affaiblissement, mais aussi agressivité.
3 – Bachelot au secours de Brigitte
Du côté de l’Élysée et de la régence, ça ne sent pas la sérénité non plus. Le couple présidentiel, attaqué sur les RS par des propos prétendument transphobes, cherche des alliés de poids, mais ne trouve que des alliés pesants.
Brigitte Macron transgenre ? La réaction violente de Roselyne Bachelot à la rumeur https://t.co/qohKuHgjUS
— MSN France (@MSNFrance) July 4, 2022
msn.com résume les propos de l’ancien mlnistre de la Culture (!) chez Jordan de Luxe :
Roselyne Bachelot a évoqué la relation qu’elle entretient avec Brigitte Macron, la Première dame de France.
« Je l’aime beaucoup. On fait beaucoup de sorties ensemble. Brigitte est une femme cultivée, délicieuse, sympathique, vraiment drôle », a-t-elle confié. Jordan de Luxe est ensuite revenu sur les rumeurs qui ont laissé entendre qu’elle était un homme. De quoi faire réagir l’ancien ministre de la Culture.
« C’est infect, et d’ailleurs, j’en ai voulu à certaines féministes. Qu’on ne partage pas les idées du président Macron, c’est le jeu de la démocratie (...) mais qu’on s’attaque à son épouse ou un de ses proches, et de cette façon aussi basse, aussi triviale, aussi ordurière, et qu’un certain nombre de mes compagnes de combats féministes n’aient pas dit : “Là, on arrête”... », a-t-elle déploré. Selon elle, Brigitte Macron a été "beaucoup touchée" par ces bruits de couloir, même si elle ne lui en a pas parlé, parce que c’est « une femme extrêmement pudique, qui ne met jamais ces choses-là en avant. Je ne l’ai jamais entendue se plaindre de cela, c’est une femme courageuse ».
L’impression donnée par ces trois cas est que la stratégie du chaos lancée par les forces mondialistes trouve ses limites naturelles. Les montagnards le savent : c’est toujours au pic ou au col que l’on commence à redescendre. Mais sommes-nous déjà arrivés en haut, c’est-à-dire au maximum des destructions mondialistes ?
Pas sûrs, mais les signes de résistance des peuples et du Réel sont encourageants.