Attention, toutes ces images sont choquantes, mais ne vous méprenez pas : vous ne verrez pas de scènes d’accouplement ou de violences, et vous serez choqués quand même. Car le progressisme est fait pour perturber l’esprit, le tordre, le retourner, pour finalement lui faire prendre le Mal pour le Bien, et le Bien pour le Mal.
Montez dans le petit train de l’inversion des valeurs, accrochez-vous bien à la barre, respirez un bon coup, c’est parti.
Les rétrogrades sont les deux dames en noir qui n’acceptent pas le changement. Ouh, les vieilles rétrogrades !
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Poupée en vente sur Amazon. Normalement, quand c’est cher, il faut attendre qu’il y ait un retour, une occasion.
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Cette chose nous explique qu’il n’y aura pas de paix tant que tous ne seront pas égaux. À lui ?
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Cette vidéo de Chèvrenko sur le site d’Euronews montre que le capitalisme s’accommode très bien du scandale. Mais on préfère nettement la nana de la pub aux créatures juchées sur les tranches de courgettes d’un escroc à l’art contempourri.
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Les féministes se trouvent des martyres par bottes de douze. Ce coup-ci, ce sont les lesbiennes de Jamaïque qui se font violer pour les guérir d’être lesbiennes, nous apprend l’association Vangardist. On oublie que sur cette île, tout n’est pas que luxe, calme et volupté : le taux d’homicides y est record (47 pour 100 000 habitants, soit le 5e rang mondial !), et ce sont les hommes qui morflent en majorité. Mais ça, c’est sûrement moins vendeur.
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Bien résumé : Le Figaro et ses valeurs, Le Monde et les siennes. Quand on sait qui possède Le Monde, on ne s’étonne pas.
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On n’entend plus parler de la petite fille qui a jeté un sort au monde pas assez (ou trop) climatisé à son goût. L’opération mondialiste a floppé, mais elle a été remplacée par une opération plus pénible encore, le Grand Reset, du coup on regrette un peu le Greta Reset.
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La femme d’aujourd’hui se réapproprie son clitoris, que personne n’a jamais voulu lui chourer, à part les exciseuses africaines, mais ça, Yseult et Assa n’en parlent pas. Pourtant, si des Blancs faisaient ça...
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Quelqu’un a shooté le présentoir antiraciste à la FNAC. On remarque que ça ne part pas beaucoup. Soit les antiracistes ne savent pas lire, soit ces livres sont chiants. Ou les deux.
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Dans la série des Grands Discriminés, après (on n’a pas dit au-dessus, ça pourrait être mal pris) les racisés, on a les trans. Personnellement, on n’en voit pas beaucoup dans la vie quotidienne et en général, les trans, comme les routiers, sont sympas. Et intéressants : leur souffrance ou leur ambiguïté identitaire leur donne en quelque sorte une double culture. Quand on pense qu’il y en a qui chialent leur race parce qu’ils ont une double culture...
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On a choisi cette photo assez connue pour le symbole : le bureau du Président occupé par une informatrice à journaux people qui a été condamnée. Marrant, non ? Un mammouth aurait chié sur le bureau que ça n’aurait pas été pire.
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Cette image montre deux choses en une : d’abord un défilé de mode, mais avec la Blanche qui doit souffrir la tête à l’envers et servir de brouteuse à la Noire. C’est une tenue (un truc maçonnique ?) antiraciste. Normalement, la Blanche n’a pas le droit de péter sinon la Noire lui arrache le clito avec les dents. Prenant-prenant !
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C’est la nouvelle version de Blanche-Neige, c’est connu mais ça résume, comme dirait Sefyu. Pauvres petits enfants qui vont se taper des contes de merde écrits ou plutôt réécrits par des homos, des pédos et des trans. On imagine des révoltes très genrées dans les maternelles, des livres déchirés, des feux avec la maîtresse LGBT au milieu...
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Là, on ne sait pas trop quoi dire, sinon paraphraser Soral qui parlait de la féminisation des métiers du tertiaire et donc de la dévirilisation des hommes qui y bossaient. On est loin du terrassier et du bûcheron, voilà.
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Celle-ci, on l’avait déjà sortie mais on ne résiste pas à faire une doublette. On n’a pas pris la peine de noter (c’est-à-dire dénoncer) les auteurs du texte et du dessin, on ne veut pas leur faire de tort, mais si on nous demande de torcher une merde pareille, on préfère mourir de faim. La survie a des limites.
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Alors lui, il a toujours pas pigé que la laïcité, à la Pierre Bergé, à la Val, à la Charlie, ça ne recouvre que les intérêts croisés des forces occultes, c’est-à-dire les réseaux maçonniques et les réseaux sionistes. Quand on n’a pas compris ça, on en reste au degré zéro de la politique. Gauchiste, quoi.
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C’est le cirque Plume, nous dit-on. Bon, on se demande si ça valait vraiment le coup de remplacer le cirque d’antan. En même temps, les animaux y étaient pas très bien traités (sauf les fauves de Frédéric Edelstein), donc un partout balle au centre. Mais le cirque dit moderne rappelle furieusement le théâtre gauchiant.
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Il faut un certain courage pour être soi-même, et on imagine que ce mec, si c’en est un, a dû subir un bombardement de quolibets à peu près équivalent au tonnage de bombes tombé sur le Viêt Nam de 65 à 75. Rien que pour ça, il a notre admiration. Mais on peut aussi, si on y arrive, être courageux d’autres manières. Par exemple en défendant une femme, un enfant, un ancien dans la rue pendant une agression (sauf si les mecs sont 50 en face et armés de kalachs, on n’est pas cons non plus).
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On aimerait dire qu’on a gardé la meilleure pour la fin, mais c’est pas exactement ça. On a exhumé la mère Trottoir dans une nouvelle tentative de sortir la tête de l’eau médiatique, mais le coup des règles n’a pas permis à la Haas de reprendre les rênes du féminisme, rênes qui, ne l’oublions pas, riment avec pognon [1].