Moins de la moitié des Français qui se déplacent pour aller déposer leur bulletin dans l’urne le font pour de très bonnes raisons.
Les électeurs qui votent à gauche sont, dans la majorité des cas des fonctionnaires et autres planqués associatifs, qui ont intérêt à ce que leurs représentants politiques soient élus. Les électeurs qui votent à droite sont des patrons, petits et grands, des gens qui travaillent dans le monde de la profession libérale et autres nantis qui ne sont pas touchés par la crise.
La plus grande partie du reste de la population a désormais conscience que le vote - à droite ou à gauche et partisan pour les intéressés - ne changera rien à leur vie quotidienne. Ils sentent qu’il y a problème, mais par paresse intellectuelle, mentalité grégaire, etc, ils ne peuvent discerner où le bât blesse. Pire encore, ils s’entêtent dans une fuite en avant en étant persuadé que tout retour à un ordre pré-existant est impossible : l’immigration massive, même si elle demeure coûteuse et dangereuse à la collectivité, doit continuer, la zone euro ne peut éclater, car cela signifierait le chaos ! Bien évidemment, les hommes politiques - leurs sbires, en dessous et leurs mentors, au dessus - entretiennent cet état d’esprit !
Seuls une poignée d’esprits libres, qui s’informent par les moyens détournés de la presse et la de culture alternatives - pas la pseudo-frange composée de gaucho-trotskistes qui sont des "capitalist litlle helpers", conscients ou pas, d’ailleurs - savent que si les données ne changent pas, la société et le monde va droit dans le mur ! Mais trop peu nombreux, les malheureux ne peuvent que constater les dégâts et ils sont impuissants à les changer !
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