La pseudo-conscience politique du XXIe siècle en occident consiste donc à ne pas être nazi. Soral avait déjà constaté avec Jusqu’où va-t-on descendre que certains avaient réussi à l’amener au niveau du trou de balle.
Désormais il faut en outre proclamer bien fort que l’on est un grand résistant, quand bien même les casques à boulons ont rouillé et que tout l’attirail du NSDAP a été enterré depuis plus de soixante-dix ans dans les ruines de Berlin.
Quelle mascarade grotesque ! Les fascismes pourtant prospèrent. Celui des multinationales, des marchés, des réglementations tatillonnes, des appétits égoïstes, de l’Union Européenne et des parlements qui s’assoient sur les référendums, des guerres impériales dites démocratiques, de la censure idéologique au nom d’un corpus d’imbécillités niaiseuses, celui aussi de l’obsession génétique au service de la fabrication mercantile d’humains.
L’absurde autoritaire fleurit à chaque coin de rue, entre prétendue « théorie » du genre et autres écritures « inclusives ». Pour maintenir un tel degré d’âneries incohérentes, les kapos se croient obligés de pelleter encore plus de charbon dans la chaudière. Ce qui a terme ne peut que précipiter leur chute.
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