"Le problème est économique" dit l’ex-policière qui n’a pas compris grand chose. Le problème est racial.
Vous avez tort tous les deux :
Le problème n’est pas économique.
Le problème n’est pas racial.
Il est les deux à la fois, et bien plus encore.
D’abord, je ne dirai pas "racial" mais plutôt migratoire, car c’est un problème de flux et non d’origine. Faire entrer 200 000 étrangers (minimum) chaque année dans un pays au bord du gouffre, ça n’a aucun sens, et s’ils avaient été Belges ou Suisses par exemple, cela n’aurait rien changé au problème.
Ensuite, tu rentres dans n’importe quelle boulangerie, la baguette est passée de 1 Fr à > 1 €. Tout a été multiplié par 6,5 sauf les salaires, bien entendu... et tu prétends que cela ne fait pas parti du problème ? C’est Faux. On nous impose une monnaie qui nous coupe l’herbe sous le pied, de la même manière que la Ripoublique a imposé le FCFA aux pays "de merde" dont tu parlais, les empêchant ainsi de se développer correctement.
D’ailleurs si nous avions tous les poches pleines de fric, le problème de l’immigration serait perçu bien différemment, c’est sûr. C’est parce que les français dans leur grande majorité, ne s’en sortent plus et qu’au même moment, ils doivent donner de leur poches à d’autres, qui pose problème. Car Charité bien ordonnée commence par soi-même.
En fait, c’est la conjonction des Deux qui compose le Problème.
Et encore, même pas entièrement, mais une partie non négligeable tout de même.
Un peuple déprimé arrête de consommer, arrête de travailler, arrête de se reproduire.
C’est faux... Certes, quand on est déprimé, on est généralement seul, ce qui n’aide évidemment pas à la reproduction... Néanmoins, la dépression n’a jamais freiné la consommation, bien au contraire, ni même le travail, sauf peut-être à l’instant précis où le dépressif décidera d’en finir.
Oui la France est le pays qui consomme le plus d’anti dépresseurs, néanmoins le dépressif va le plus souvent, sur-consommer une drogue (ça peut être n’importe quoi : de la mal-bouffe, etc....) pour supporter sa souffrance.