Il a une vision simpliste de la droite/gauche, comme je l’a concevais il y a deux ans : la droite, les riches et la gauche, les pauvres. Malheureusement, c’est plus compliquée que celà.
Actuellement, l’iddée dominante défendue dans notre système est la démocratie libérale ou le modialisme dominé par les marchés. Afin que la ligne politique soit stable, il faut au minimum 2 partis qui défendent l’idéologie avec une majorité et une opposition au parlement. En effet, le PS et l’UMP font l’usage d’un bel exemple. En outre, ils sont en désaccord sur des détails (homoséxualité, avortement) mais ne remettent jamais en question l’économie de marché où la "démocratie libérale" n’est que seulement appliqué aux hyper-riches ou aux entreprises côtés en bourse (car les petites et moyennes entreprise comme les artisants ont du mal à subsister).
Idéologiquement, le clivage droite/gauche (UMP/PS) n’existe pas. Par contre, il l’existe bien sûr en termes politiques, où les heurts ne se résume qu’à une politique politicienne (une guerre d’images).
C’est ainsi qu’à l’assemblée nationale, il n’y a que 2 ou 3 ouvriers et agriculteurs et le reste sont des cadres supérieurs (médecins, avocats...) ou des lobbyistes (Dassault et autres).
C’est alors, dès qu’un parti politique s’écarte ou affronte cette doctrine dominante, ce parti est qualifié par les médias de masse d’extrême droite ou d’extrême gauche (ou sont parfois des idiots utiles au système).
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