il me semble que jamais l’humain n’a renoncé à un progrès technique de façon volontaire ; il existe une théorisation de ce principe...
La science-fiction reste du domaine de l’imagination et même si elle anticipa quelques évolutions, avait elle prévu le "smartphone" et sa révolution ?

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Nous ne voulons pas qu’elle pense par elle même la machine,
elle est au service de l’Homme et donc on lui demande de simplement
vaquer à ses calculs, puisqu’en qualité de machine, c’est tout
ce que nous nous attendons d’elle.

Comment une bande de cloches issues de la ripoublique de Sous-france
peuvent-elles vraiment fixer le débat ????

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Le vacciné pense que les machines pensent, ou bien ?

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Il faudrait avant tout définir ce qu’est l’IA, qui, rappelons le, existe depuis au moins 50 ans dans le domaine de l’informatique.

La nouvelle IA engloberait la faculté de créer des photos truquées. C’est intéressant ! Ça voudrait dire que l’IA est une mystification de la réalité. Ce n’est pas très bon ! Ça décrédite a priori tous ceux, et toutes les entreprises, qui enfourcheraient ce nouvel « outil ».

Sur l’aspect traduction automatique : compte tenu de la nullité de nombreuses traductions, on doit d’ores et déjà exclure de licencier les traducteurs professionnels. La supervision d’un traducteur restera INDISPENSABLE, surtout pour les texte complexes ou sensibles, i.e. ceux du DOMAINE DES IDÉES, et ceux réunissant plusieurs domaines de connaissance (droit, médecine, politique, art, religion, philosophie …).

Il reste que l’IA – dans le domaine de la traduction – restera quasiment indispensable.

Sur le Covid, je suis très curieux des synthèses qu’apportera cette IA. En toute logique, elle ne devrait tenir compte que des données officielles. Le contraire serait rassurant, mais tellement improbable !

Enfin, dans le DOMAINE DES IDÉES (et en dehors de l’aspect traduction), il n’y a RIEN à attendre de l’IA.

Wikipedia l’a bien montré depuis 20 ans, il n’est qu’un outil orwellien, non seulement un dictionnaire biaisé, mais une encyclopédie d’articles de presse revisités.

Une IA réellement intelligente devrait mentionner une Bibliographie complète des sources, et une bibliographie complète des sources refusées. Autant dire qu’une telle IA est impossible à réaliser.

Il faudrait donc que chaque texte d’IA déclare son identité ou son profil, et ses intérêts, via une fiche permettant de situer sa mouvance intellectuelle. Cela ne semble pas gagné. Et si cela prend la forme des déclarations des agences de presse, le passé récent prouve que cela ne serait guère crédible.

L’IA semble donc être une tentative de mainmise des yankees :
 sur une nouvelle économie jugée très prometteuse,
- sur une nouvelle représentation du monde géopolitique.

Cette nouvelle IA est une extension de Wikipedia, mais c’est surtout la future encyclopédie du Mondialisme. Son but est l’Effacement du Monde.

Rappelons que dès 1748, Montesquieu dans « L’esprit des Lois » – considérable succès de librairie dans toute l’Europe – avait d’avance dénoncé le Mondialisme en constatant le rôle de la Culture, et du Climat d’un pays.

L’IA veut-elle bruler Montesquieu ?

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Le film The Forbin Project (1970) est à redécouvrir...

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lorsque une machine sera dotée d’une morale, d’un esprit, connaitra la douleur, le plaisir, saura être équilibré quand il le faut, là ça sera sérieux. On a de la marge encore, mais ils peuvent rapidement faire des machines tueuses primaires, comme les drones suicides, c’est surtout ce genre d’utilisation le danger au présent.

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Penser qu’il puisse y avoir le moindre soupçon d’intelligence dans une machine est la preuve d’un manque total d’intelligence. Mais bon, ces gens là pensent aussi qu’on peut changer un homme en femme et inversement. Alors…

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Débat sur l’Humain : L’Humanité pourra-t-elle penser par elle-même ?

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Une ia ne peut classer avec un semblant de conscience que des informations qu’on lui donne comme telles, les prendre librement sur le net pour elle n’a aucun sens, elle ne fait pas la différence entre la fiction et le réel, Terminator peut lui sembler aussi réel que Jean-Michel Trogneux (un seul de ces deux personnage est réel gentil petite ia, peux-tu me dire lequel ?) sur un plan historique tant qu’on ne lui a pas spécifié le contraire par une ligne de code, elle ne peut évoluer que dans un cadre restreint, la sortir de ce cadre est très dangereux surtout si on lui donne les clés pour interagir avec le monde.

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J’ai l’impression que personne n’a les idées claires sur la nature de la relation de l’informatique à l’humain et au réel. Cette relation est la même que la relation de la Pensée au réel ou de la Vie au monde physique : il n’y en pas, cette relation n’existe pas. En effet l’informatique ne connait qu’elle même, le code n’interagit qu’avec lui-même, les entrées-sorties apparaissant sous forme déjà codée à certains emplacement de la mémoire. Donc en elle-même elle n’a strictement rien à voir avec l’intelligence, la conscience, les émotions, la pensée. Et c’est pareil pour la Pensée : les idées ne connaissent que d’autres idées et rien d’autre ; et pareil pour la Vie : l’ADN ne connait que lui-même c’est à dire des boucles de rétro-action au sein de la cellule aboutissant à l’ADN.

Philosophiquement on a à faire à des domaines de construction de l’Etre et chacun est une monade qui ne connait qu’elle-même.

La seule différence est le débit d’êtres : il est beaucoup plus rapide de construire une espèce qu’un système solaire et infiniment plus rapide de construire une théorie qu’une espèce et googolplexiquement plus rapide de construire un jeu de données qu’une théorie.

Les domaines à haut débit vont dès lors avoir tendance à "mouler" de l’extérieur les moins rapides et c’est la seule relation que les domaines de l’Etre ont entre eux : l’informatique va reproduire en code tout le réel, la Pensée va le faire sous formes de théories, la Vie va explorer sous forme d’organismes les possibilités offertes par la physique et la chimie.

Cependant chaque domaine est tenu en laisse par le précédent par des contraintes : l’informatique est intentionnelle, chaque programme répond à une intention humaine, la Pensée est troupale et sexuée ie se déploie dans le cadre donné par le questionnement sur la différence sexuelle et surtout l’idéologie, la soumission au Bien qui fait troupeau, la Vie est tenue par les limites physico-chimiques sur Terre.

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