@ Crazy Horse : je ne crois pas que les commentaires aient dans l’idée de "casser du syndicaliste", ni de remettre en cause le fait que des salariés puissent être représentés face au patronat pour défendre leurs intérêts.
Plus précisément il s’agit de répondre à l’argumentaire affligeant de la CGT : Alain Soral serait indirectement un raelien par l’entremise de la nièce du beau-frère de Dieudonné, lui-même cousin par alliance de Louis-Ferdinand Céline.
Sur la forme, l’esthétique de ce magistral powerpoint (sommet de l’art graphique, n’en doutons pas) pourrait passer pour une représentation du réseau neuronal de leurs auteurs.
Et pour se connaitre soi-même, c’est très simple, il suffit d’observer sa manière de juger l’autre.
En outre, il est intéressant de constater que certains secteurs de l’économie, notamment la presse, le cinéma, et le livre sont sous contrôle communautaire, y compris leur représentation syndicale. Les plus lucides adeptes de la Temura méditerons avec profit le mot CONFEDERATION, tout y est en 4 mots.
Le tragique (au sens œdipien du terme) c’est que tout ces collabo-tribalistes font le jeu de ceux-là mêmes qui les amèneront à leur perte (morale puis salariale) provoquée par l’économie du pantalon à un jambe et leur soutien inconditionnel (quand même !) à l’inversion des valeurs de leurs maîtres.
Il suffit de regarder les ventes de la presse et de l’édition pour se convaincre que la destruction programmée de la classe moyenne par l’impôt et les taxes n’augure rien de bon pour le commerce de la culture, faute de pouvoir d’achat.
Il semble moins probable que Leonarda se mettent à lire Emmanuel Kant avant que les travailleurs défendus par la CGT se retrouvent à pôle emploi. Quoique cette probabilité puisse exister dans le monde quantique.