encore une fois, c’est la sempiternelle histoire de qui veut l’Uber et l’argent d’Uber !

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On dirait que les “dark kitchens” sont des copies de ce qui se faisait à Hong Kong jusqu’au milieu des années 90 dans un quartier aujourd’hui disparu, la Walled City.
Des dizaines d’ateliers minuscules fabriquant de la nourriture dans une chaleur incroyable.

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Très compliqué de trouver une simple brasserie ou bistrot à prix abordable aujourd’hui en France car trop de taxes en tout genre, c’est un gouffre financier pour le propriétaire.
Et pourtant lorsque vous allez chez nos voisins proches, il y en a foison, et on mange copieusement dans un pub anglais ou un stube allemand à des prix corrects.

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Y’aura-t-il une uberisation de la fistiniére ?

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La vie avenir de nos enfants , va être jolie
Airbnb pour dormir, ubereat pour bouffer, bullshit job pour le pognon, et onlyfan pour les joies du sexe
Je regrette presque mes 20 ans

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Je confirme l´analyse de AS de 2006. J´ai quitté Paris il y a 1 an et demi et j´y suis actuellement pour quelques jours...
Tout est effectivement en voie "d´Amelie Poulainisation" ! Tout le centre (les 4 arrondissements) est envahi de touristes friqués. La Samaritaine devenue le dernier temple de l´archi luxe (baskets à 600 balles !) est fréquentée que par les richards multinationaux. Partout les employés (musées, restaus, bistrots...) sont des exotiques uberisés. Partout des offres sur affiches géantes de divertissements culturels chers.
Oui, Paris est massacrée, violée et dévisagée à coup de clinquant et de gadgets en toc. C´est désolant et attristant au possible...
Et la Hidalgo, comme le Macron, est toujours à la manœuvre ! Il faut vraiment se débarrasser de toute urgence de ces agents toxiques !!!

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Je ne commanderai jamais de plats livrés par des types qui haïssent les français, je ne tiens pas à avaler de crachats.

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Il ne faut pas jeter le bb avec L’eau du bain. De tous temps, les artisans avaient leur camionnettes pour vendre leurs produits er faisaient la tournée des villages, des communes . On achetait tout, nourriture, vêtement, outil, jouet, ....c’était bien pratique surtout pour les personnes isolées, âgées, handicapées, où c’était un service appréciable.

Aujourd’hui, faire ses courses dans un supermarché est vraiment le summum de la perte de temps ! On est loin de la convivialité des marchés qui ont beaucoup disparu d’ailleurs à cause des grandes surfaces.

Le danger de l’uberisation se situe ailleurs : esclavagisme, faux emplois, qualité merdique de ce qui est vendu comme de ceux qui livrent, n’importe qui peut faire n’importe quoi dans n’importe quel métier, aucune professionnalisation, ....

Mais on a la même chose au niveau de l’exploitation à outrance et les dangers routiers que ça engendre, pour toutes les entreprises de livraison courriers et colis en dehors de la Poste.

Cela ne remplacera jamais la sortie restaurant, qui est une autre démarche. Mais se faire livrer du frais , de bonne qualité par des restaurateurs eux mêmes, ( ca existe ), est mieux que de manger des plats préparés industriels donc la malbouffe.

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quand on trouvera la formule pour ubériser les services et la fonction publique et pour moi, c’est tout a fait réalisable, par exemple dans l’enseignement, dans la banque, la culture ect..... les cadres bobo, se remettrons à eplucher des patates, plutot que de commander un uber pour le prix d’un repas dans une brasserie .
Je ne vois pas comment on pourra continuer avec d’un coté un sous prolétariat et une classe dite intellectuelle surpayée pour le travail qu’elle fournie .

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Le problème majeur est la fermeture des restaurants qui ne pourront plus compétionner financièrement avec le dark resto. Bientôt 1 resto sur 5 restera ouvert comme on voit déjà partout, de Montréal à Paris, un pan énorme de la culture disparaît, on devrait tous être triste et révolté.

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