Je suis médecin gynécologue-accoucheur, ancien interne des hôpitaux, praticien hospitalier et médecin libéral, depuis trois ans en retraite.
Dès le début de la Covid, j’ai soupçonné qu’on nous racontait des histoires. Je me suis instinctivement méfié de cet ARN messager qui, par l’enzyme transcriptase-reverse pouvait se transformer en ADN s’intégrant au génome (et lui faisant fabriquer partout ou presque la nuisible protéine "spike"). Tout médecin était capable de se représenter cela, ayant fait un peu de biologie moléculaire en 2° année d’études. J’ai donc refusé le vaccin et l’ai déconseillé à mon épouse, à nos enfants, à leurs conjoints, et à toute personne qui m’a demandé mon avis. Nous avons pour la plupart eu "le-Covid-sur-test", comme le dit si bien Pierre Chaillot, et nous avons bien sûr tous guéri en quelques jours (malgré agueusie/anosmie en quelques jours de plus chez certains) de la non-maladie ou virose variable ou banale (rhume, grippe, etc.) Tout le bla-bla gouvernemental, médiatique et médical (professeurs des plateaux-télé, Ordres départementaux et Ordre national, sociétés savantes, hôpitaux, etc.), c’était du flan, en relation avec les consignes mondialistes et une coupable naïveté de ceux qui étaient censés savoir et auraient dû se méfier (nombreux médecins ayant cédé aux injonctions...)
Ensuite, voilà maintenant qu’arrive sur les abris-bus la nouvelle consigne vaccinale pour les "papillomavirus" vers les adolescents garçons et filles. C’est une autre fichaise,(cette fois en raison des adjuvants : aluminium etc.), imparfaitement efficace et donc délétère, sauf pour les profits de l’industrie. Elle met en danger les enfants (heureusement dans une proportion très faible mais les complications peuvent être gravissimes). Une femme qui fait son frottis tous les deux-trois ans ne risque rien quant au cancer du col utérin car ce dépistage-là, anodin, dépiste (très rarement) une dysplasie qui, passé un certain stade, justifie une petite intervention appelée "conisation" qui la guérit définitivement. Je n’ai jamais conseillé ni pratiqué, une seule vaccination de ce type (Gardasil@) pendant les quinze dernières années de mon exercice, les vaccins de ce type étant apparus vers 2005.
En revanche, j’ai vacciné ou fait vacciner des dizaines de jeunes filles contre la rubéole, vaccin anodin protégeant à 100% contre la grave rubéole foetale.
Être médecin c’est, s’agissant des vaccins, faire la part des choses au service exclusif des patients.
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